Bannière liberation Rennes 2.jpg

A l'occasion des 80 ans de la libération de Rennes, (re)découvrez l'ensemble des
contributions autour de la Seconde Guerre mondiale et de la libération sur Wiki-Rennes.

« Voie par date de délibération » : différence entre les versions

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche
 
(27 versions intermédiaires par 4 utilisateurs non affichées)
Ligne 8 : Ligne 8 :
=== Sous [[Toussaint Rallier du Baty]] ===
=== Sous [[Toussaint Rallier du Baty]] ===


{{Citation|texte=''Le 12 décembre de la même année ([[1726]], ndlr) le Conseil de Rennes prend un Arrêt pour dénommer les nouvelles rues et place de la Ville de Rennes. Afin de montrer la toute puissance royale aux Bretons, considérés comme indisciplinés, les dénominations de voies devront partir de la [[place du Parlement de Bretagne]], symbole du pouvoir, et où est érigée la statue équestre. Le rue la plus proche du [[Parlement de Bretagne]] prend le nom de rue Royale ([[rue Nationale]]), puis dans son prolongement la rue Dauphine ([[rue Lafayette]]), l'éventuel héritier de la couronne de France et pour compléter l'ordre hiérarchique [[rue de Toulouse]]. Louis Alexandre de Bourbon, Comte de Toulouse qui est un des fils légitimé de Louis XIV, est alors gouverneur de Bretagne et donc représentant du Roi en Bretagne. Pour affirmer ce pouvoir, la voie face au Parlement et perpendiculaire à la place prend le nom de rue de Bourbon ([[rue Edith Cavell]]) et dans son prolongement rue de Bretagne ([[rue Jean Jaurès]]). Et pour la voie partant du bas de la Place du Parlement et rejoignant la place Royale ([[place de la Mairie]]), il est décidé de donner le nom du Premier Président du Parlement et serviteur zélé du pouvoir Royal : [[rue de Brilhac]]. Dans son prolongement, un symbole de la Bretagne : [[rue de l'Hermine|l'Hermine]]. Ce même jour, d'autres affirmations du pouvoir du Roi en dénommant l'Intendant de Bretagne à l'époque Fédeau de Brou, ainsi que des Lieutenants du Roi, beaux-frères du Comte de Toulouse : [[rue Châteaurenault|Château-Renault]], [[rue d'Estrées|d'Estrées]], [[rue de Coëtquen|Coëtquen]], et [[rue Ferdinand Buisson|Volvire]]. Les défenseurs de la Bretagne au XIVème siècle héritent des voies les plus éloignées de la Place du Parlement et proches de la vieille ville : [[rue Beaumanoir|Beaumanoir]], [[rue de Montfort|de Montfort]], [[rue de Clisson|de Clisson]] et [[rue Du Guesclin|Du Guesclin]].''|auteur=Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole|origine=Notice sur la [[rue de Brilhac]]|collecteur=Manu35|date=2017}}
{{Citation|texte=''Le 12 décembre de la même année (1726, ndlr) le Conseil de Rennes prend un Arrêt pour dénommer les nouvelles rues et place de la Ville de Rennes. Afin de montrer la toute puissance royale aux Bretons, considérés comme indisciplinés, les dénominations de voies devront partir de la [[place du Parlement de Bretagne]], symbole du pouvoir, et où est érigée la statue équestre. Le rue la plus proche du [[Parlement de Bretagne]] prend le nom de rue Royale ([[rue Nationale]]), puis dans son prolongement la rue Dauphine ([[rue Lafayette]]), l'éventuel héritier de la couronne de France et pour compléter l'ordre hiérarchique [[rue de Toulouse]]. Louis Alexandre de Bourbon, Comte de Toulouse qui est un des fils légitimé de Louis XIV, est alors gouverneur de Bretagne et donc représentant du Roi en Bretagne. Pour affirmer ce pouvoir, la voie face au Parlement et perpendiculaire à la place prend le nom de rue de Bourbon ([[rue Edith Cavell]]) et dans son prolongement rue de Bretagne ([[rue Jean Jaurès]]). Et pour la voie partant du bas de la Place du Parlement et rejoignant la place Royale ([[place de la Mairie]]), il est décidé de donner le nom du Premier Président du Parlement et serviteur zélé du pouvoir Royal : [[rue de Brilhac]]. Dans son prolongement, un symbole de la Bretagne : [[rue de l'Hermine|l'Hermine]]. Ce même jour, d'autres affirmations du pouvoir du Roi en dénommant l'Intendant de Bretagne à l'époque Fédeau de Brou, ainsi que des Lieutenants du Roi, beaux-frères du Comte de Toulouse : [[rue Châteaurenault|Château-Renault]], [[rue d'Estrées|d'Estrées]], [[rue de Coëtquen|Coëtquen]], et [[rue Ferdinand Buisson|Volvire]]. Les défenseurs de la Bretagne au XIVème siècle héritent des voies les plus éloignées de la Place du Parlement et proches de la vieille ville : [[rue Beaumanoir|Beaumanoir]], [[rue de Montfort|de Montfort]], [[rue de Clisson|de Clisson]] et [[rue Du Guesclin|Du Guesclin]].''|auteur=Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole|origine=Notice sur la [[rue de Brilhac]]|collecteur=Manu35|date=2017}}


* 12 décembre 1726 : [[rue Baudrairie]] - [[rue Beaumanoir]] - [[rue de Brilhac]] - [[rue Châteaurenault]] - [[rue de Coëtquen]] - [[rue de Clisson]] - [[rue Du Guesclin]] - [[rue d'Estrées]] - [[rue de l'Hermine]] - [[rue de la Monnaie]] - [[rue de Montfort]] - [[rue d'Orléans]] - [[place Rallier du Baty]] - [[rue de Rohan]] - [[place Saint-Sauveur]]
* 12 décembre 1726 : [[rue Baudrairie]] - [[rue Beaumanoir]] - [[rue de Brilhac]] - [[rue Châteaurenault]] - [[rue de Coëtquen]] - [[rue de Clisson]] - [[rue Du Guesclin]] - [[rue d'Estrées]] - [[rue de l'Hermine]] - [[rue de la Monnaie]] - [[rue de Montfort]] - [[rue d'Orléans]] - [[place Rallier du Baty]] - [[rue de Rohan]] - [[place Saint-Sauveur]]
=== Sous Yves-Vincent de La Motte-Fablet<ref>[[rue Motte Fablet]]</ref> ===
* vers 1783 : [[rue Motte Fablet]]<ref>selon Paul Banéat dans "Le Vieux Rennes"</ref>
* vers 1785 : [[rue de Bertrand]]
* 1788 : [[rue Tronjolly]]


=== Sous la Commune ===
=== Sous la Commune ===
Ligne 19 : Ligne 26 :


* 24 mai 1833 : [[rue de Juillet]] - [[rue Leperdit]] - [[place de la Mairie]] (?)
* 24 mai 1833 : [[rue de Juillet]] - [[rue Leperdit]] - [[place de la Mairie]] (?)
=== Sous [[Ange de Léon]] ===
* vers 1860 : [[rue de l'Hôtel Dieu]]<ref>selon Paul Banéat dans "Le Vieux Rennes"</ref>


=== Sous [[Armand Robinot de Saint-Cyr]]<ref>[[quai Robinot de Saint-Cyr]]</ref> ===
=== Sous [[Armand Robinot de Saint-Cyr]]<ref>[[quai Robinot de Saint-Cyr]]</ref> ===
Ligne 36 : Ligne 46 :


* 15 juin 1885 : [[rue Victor Hugo]]
* 15 juin 1885 : [[rue Victor Hugo]]
* vers 1886 : [[rue de La Bletterie]]


* 10 décembre 1886 : [[rue de La Motte Picquet]] - [[rue Lobineau]] - [[boulevard de Metz]] - [[rue Papu]] - [[rue Joseph Sauveur]] - [[boulevard de Strasbourg]] - [[rue Vaneau]]
* 10 décembre 1886 : [[rue de La Motte Picquet]] - [[rue Lobineau]] - [[boulevard de Metz]] - [[rue Papu]] - [[rue Joseph Sauveur]] - [[boulevard de Strasbourg]] - [[rue Vaneau]]
Ligne 51 : Ligne 63 :


* 5 décembre 1892 : [[rue de Redon]]
* 5 décembre 1892 : [[rue de Redon]]
* 1893 (non officielle) : [[rue Saint-Alphonse]]
* vers 1896 : [[avenue Gros Malhon]]


=== Sous [[Auguste Poulin]] ===
=== Sous [[Auguste Poulin]] ===
Ligne 62 : Ligne 78 :
== Première moitié du XXe siècle ==
== Première moitié du XXe siècle ==
=== Sous [[Eugène Pinault]] ===
=== Sous [[Eugène Pinault]] ===
La carte ci-dessous localise les voies dénommées sous l'administration Pinault.
{{#display_points:
    48.105501, -1.650593 ~[[boulevard Villebois-Mareuil]]~;
    48.114760, -1.673808 ~[[place Saint-Melaine]]~;
    48.110207, -1.672688 ~[[quai Dujardin]]~;
    48.108427, -1.691805 ~[[rue Liothaud]]~;
    48.108692, -1.690789 ~[[rue Mauduit Duplessix]]~;
    48.106757, -1.695108 ~[[rue Jean Guy]]~;
    48.108492, -1.679167 ~[[rue Jules Simon]]~;
    48.109488, -1.664691 ~[[rue Joseph Durocher]]~;
    48.113238, -1.681090 ~[[rue Pongérard]]~;
    48.112619, -1.681249 ~[[allée Rallier du Baty]]~;
    48.119154, -1.678215 ~[[rue Saint-Martin]]~;
    48.099239, -1.683266 ~[[rue Alain Bouchart]]~;
    48.099241, -1.678770 ~[[rue Ginguené]]~;
    48.108489, -1.670240 ~[[rue de Léon]]~;
    48.113926, -1.680826 ~[[rue de Penhoët]]~;
    48.114988, -1.679454 ~[[rue de Bonne Nouvelle]]~;
    48.111367, -1.703437 ~[[boulevard Marbeuf]]~;
    48.112166, -1.685748 ~[[rue de la Cordelière]]~;
    48.108624, -1.686321 ~[[rue Jacques Gabriel]]~;
    48.104478, -1.691623 ~[[rue Pierre Hévin]]~;
    48.112703, -1.673424 ~[[rue Martenot]]~;
    48.108309, -1.668854 ~[[rue de La Bourdonnaye]]~;
    48.122077, -1.664917 ~[[rue François Lanno]]~;
    48.116004, -1.675656 ~[[rue de La Borderie]]~
|height=450|width=600|zoom=13|searchmarkers=all|markercluster=on|showtitle=on|pagelabel=yes}}
* 9 juin 1900 : [[boulevard Villebois-Mareuil]]
* 9 juin 1900 : [[boulevard Villebois-Mareuil]]


Ligne 125 : Ligne 168 :




* 24 juillet 1923 (nomenclature des voies de Rennes) [[rue Pierre Abélard]] - [[rue Pierre Amys]] - [[rue de l'Arsenal]] - [[rue des Artificiers]] - [[rue Jean-Baptiste Barré]] - [[rue de Belfort]] - [[rue de Belleville]] - [[rue Claude Bernard]] - [[allée Bisson]] - [[rue Auguste Blanqui]] - [[rue des Frères Blin]] - [[rue du Bois Rondel]] - [[rue Père Bourdon]] - [[rue Salomon de Brosse]] - [[rue de Buféron]] - [[rue de la Caliorne]] - [[rue du Canal]] - [[rue Corentin Carré]] - [[rue Jacques Cassard]] - [[rue des Chalais]] - [[rue du Champ de la Justice]] - [[allée du Champ de la Vigne]] - [[rue de Châteaugiron]] - [[rue de Châtillon]] - [[rue Chicogné]] - [[boulevard de Cleunay]] - [[rue de Coëtlogon]] - [[rue Henri Collignon]] - [[rue Michel Colomb]] - [[rue Thomas Connecte]] - [[rue Cornic]] - [[passage du Couëdic]] - [[rue de la Crèche]] - [[rue Lucien Decombe]] - [[rue Henri Delaborde]] - [[rue René Desfontaines]] - [[rue Camille Desmoulins]] - [[rue Monseigneur Duchesne]] - [[rue Charles Duclos]] - [[allée Doyen Antoine Dupuis]] - [[rue François Elleviou]] - [[rue Noël du Fail]] - [[allée Ferdinand]] - [[square Alain Fergent]] - [[rue Julien Geoffroy]] - [[rue Glais-Bizoin]] - [[rue Pierre Gourdel]] - [[rue Père Grignion]] - [[allée de Guichen]] - [[rue Guillotin de Corson]] - [[rue Jean Jouvenet]] - [[rue Kéralio]] - [[allée de Kerguelen]] - [[rue Leconte de Lisle]] - [[rue Le Guen de Kérangal]] - [[rue Guillaume Lejean]] - [[rue Michel Le Nobletz]] - [[rue Lenoir]] - [[rue Adolphe Leray]] - [[rue Levot]] - [[rue du Louis d'Or]] - [[rue Malaguti]] - [[rue Marteville]] - [[rue Pierre Martin]] - [[rue Père Maunoir]] - [[rue Maupertuis]] - [[rue Élisa Mercœur]] - [[rue Moreau de Jonnès]] - [[rue Dom Morice]] - [[rue Charles Müller]] - [[rue Nadault de Buffon]] - [[rue Nominoë]] - [[rue Jean Ogée]] - [[allée Adolphe Orain]] - [[rue des Ormeaux]] - [[pont Pasteur]] - [[rue de la Petite Touche]] - [[rue de Piré]] - [[rue des Planches]] - [[rue de Plélo]] - [[allée Geoffroy de Pontblanc]] - [[rue Porcon de la Barbinais]] - [[rue Louis Postel]] - [[allée Joseph Quérard]] - [[rue Docteur Regnault]] - [[rue Guillaume Regnier]] - [[rue Richard-Lenoir]] - [[rue Zacharie Roussin]] - [[rue Clémence Royer]] - [[rue Frédéric Sacher]] - [[rue de Saint-Brieuc]] - [[rue de la Serpette]] - [[galeries du Théâtre]] - [[rue Louis Tiercelin]] - [[boulevard de Verdun]] - [[rue du Verger]] - [[rue de Vern]] - [[rue Jules Verne]] - [[rue de Vouziers]]
* 24 juillet 1923 (nomenclature des voies de Rennes) [[rue Pierre Abélard]] - [[rue Pierre Amys]] - [[rue de l'Arsenal]] - [[rue des Artificiers]] - [[rue Jean-Baptiste Barré]] - [[rue de Belfort]] - [[rue de Belleville]] - [[rue Claude Bernard]] - [[allée Bisson]] - [[rue Auguste Blanqui]] - [[rue des Frères Blin]] - [[rue du Bois Rondel]] - [[rue Père Bourdon]] - [[rue Salomon de Brosse]] - [[rue de Buféron]] - [[rue de la Caliorne]] - [[rue du Canal]] - [[rue Corentin Carré]] - [[rue Jacques Cassard]] - [[rue des Chalais]] - [[rue du Champ de la Justice]] - [[allée du Champ de la Vigne]] - [[rue de Châteaugiron]] - [[rue de Châtillon]] - [[rue Chicogné]] - [[boulevard de Cleunay]] - [[rue de Coëtlogon]] - [[rue Henri Collignon]] - [[rue Michel Colomb]] - [[rue Thomas Connecte]] - [[rue Cornic]] - [[passage du Couëdic]] - [[rue de la Crèche]] - [[rue Lucien Decombe]] - [[rue Henri Delaborde]] - [[rue René Desfontaines]] - [[rue Camille Desmoulins]] - [[rue Monseigneur Duchesne]] - [[rue Charles Duclos]] - [[allée Doyen Antoine Dupuis]] - [[rue François Elleviou]] - [[rue Noël du Fail]] - [[allée Ferdinand]] - [[square Alain Fergent]] - [[rue de Gaillon]] - [[rue Julien Geoffroy]] - [[rue Glais-Bizoin]] - [[rue Pierre Gourdel]] - [[rue Père Grignion]] - [[allée de Guichen]] - [[rue Guillotin de Corson]] - [[rue Jean Jouvenet]] - [[rue Kéralio]] - [[allée de Kerguelen]] - [[rue Leconte de Lisle]] - [[rue Le Guen de Kérangal]] - [[rue Guillaume Lejean]] - [[rue Michel Le Nobletz]] - [[rue Lenoir]] - [[rue Adolphe Leray]] - [[rue Levot]] - [[rue du Louis d'Or]] - [[rue Malaguti]] - [[rue Marteville]] - [[rue Pierre Martin]] - [[rue Père Maunoir]] - [[rue Maupertuis]] - [[rue Élisa Mercœur]] - [[rue Moreau de Jonnès]] - [[rue Dom Morice]] - [[rue Charles Müller]] - [[rue Nadault de Buffon]] - [[rue Nominoë]] - [[rue Jean Ogée]] - [[allée Adolphe Orain]] - [[rue des Ormeaux]] - [[pont Pasteur]] - [[rue de la Petite Touche]] - [[rue de Piré]] - [[rue des Planches]] - [[rue de Plélo]] - [[allée Geoffroy de Pontblanc]] - [[rue Porcon de la Barbinais]] - [[rue Louis Postel]] - [[allée Joseph Quérard]] - [[rue Docteur Regnault]] - [[rue Guillaume Regnier]] - [[rue Richard-Lenoir]] - [[rue Zacharie Roussin]] - [[rue Clémence Royer]] - [[rue Frédéric Sacher]] - [[rue de Saint-Brieuc]] - [[rue de la Serpette]] - [[galeries du Théâtre]] - [[rue Louis Tiercelin]] - [[boulevard de Verdun]] - [[rue du Verger]] - [[rue de Vern]] - [[rue Jules Verne]] - [[rue de Vouziers]]


=== Sous [[Alfred Daniel]] ===
=== Sous [[Alfred Daniel]] ===
Ligne 139 : Ligne 182 :


=== Sous [[Jean Lemaistre]]<ref>[[rue Jean Lemaistre]]</ref> ===
=== Sous [[Jean Lemaistre]]<ref>[[rue Jean Lemaistre]]</ref> ===
Quinze des quarante-huit personnalités honorées par Jean Lemaistre sont décédées entre 1929 et 1935, les années de sa mandature. Seules trois rues ne font pas référence à une personnalité.
* 16 janvier 1931 : [[rue Victor Rault]]
* 16 janvier 1931 : [[rue Victor Rault]]


* 11 décembre 1931 : [[rue d'Aiguillon]] - [[rue Baudelaire]] - [[rue Bourgault-Ducoudray]] - [[rue René Brice]] - [[rue Brindejonc des Moulinais]] - [[boulevard Georges Clemenceau]] - [[boulevard Émile Combes]] - [[rue Courteline]] - [[rue Diderot]] - [[rue François Duine]] - [[rue Docteur Ferrand]] - [[rue Francisco Ferrer]] - [[place Maréchal Foch]] - [[rue Jules Guesde]] - [[rue Joüon des Longrais]] - [[rue Jeanne Jugan]] - [[rue Kératry]] - [[rue Lafond]] - [[rue Le Brix]] - [[rue Pierre Legrand]] - [[rue Isidore Louveau]] - [[rue Capitaine Maignan]] - [[rue Octave Mirbeau]] - [[rue Auguste Pavie]] - [[rue Camille Pelletan]] - [[rue Barthélémy Pocquet]] - [[rue de la Pompe]] - [[rue Alexandre Ribot]] - [[rue Roger-Marvaise]] - [[rue Edmond Rostand]] - [[rue Marcel Sembat]] - [[allée Verlaine]] - [[boulevard de Vitré]]
* 11 décembre 1931 : [[rue d'Aiguillon]] - [[rue Baudelaire]] - [[rue Bourgault-Ducoudray]] - [[rue René Brice]] - [[rue Brindejonc des Moulinais]] - [[boulevard Georges Clemenceau]] - [[boulevard Émile Combes]] - [[rue Courteline]] - [[rue Diderot]] - [[rue François Duine]] - [[rue Docteur Ferrand]] - [[rue Francisco Ferrer]] - [[place Maréchal Foch]] - [[rue Jules Guesde]] - [[rue Joüon des Longrais]] - [[rue Jeanne Jugan]] - [[rue Kératry]] - [[rue Lafond]] - [[rue Le Brix]] - [[rue Pierre Legrand]] - [[rue Isidore Louveau]] - [[rue Capitaine Maignan]] - [[rue Octave Mirbeau]] - [[rue Auguste Pavie]] - [[rue Camille Pelletan]] - [[rue Barthélémy Pocquet]] - [[rue de la Pompe]] - [[rue Alexandre Ribot]] - [[rue Roger-Marvaise]] - [[rue Edmond Rostand]] - [[rue Marcel Sembat]] - [[allée Verlaine]] - [[boulevard de Vitré]]


La délibération suivante honore deux personnages politiques d'envergure nationale décédés très peu de temps auparavant, en février et mars 1932.
* 1 avril 1932 : [[rue Ferdinand Buisson]] - [[avenue Aristide Briand]]
* 1 avril 1932 : [[rue Ferdinand Buisson]] - [[avenue Aristide Briand]]


La délibération suivante honore deux personnages décédés peu de temps auparavant, en septembre 1931 et en mars 1933.
* 16 juin 1933 : [[rue Arthur Fontaine]] - [[rue Sergent Guihard]]
* 16 juin 1933 : [[rue Arthur Fontaine]] - [[rue Sergent Guihard]]


Ligne 211 : Ligne 257 :


=== Quatrième mandat ===
=== Quatrième mandat ===
Cette seconde délibération en 1971 concerne uniquement des voies situées dans la Zone d'Activités Sud-Est, aujourd'hui dénommée [[Écopôle sud-est]], lancée en 1966, qui s'étend sur les communes de Rennes (75 ha), Cesson-Sévigné (107 ha) et Chantepie (31 ha). Il s'agit de la plus grande zone de Bretagne.
* 15 avril 1971 : [[rue du Bignon]] - [[allée de la Bourgonnette]] - [[rue du Breil]] - [[rue de la Frébardière]] - [[allée de la Guerinière]] - [[rue de la Hatterie]] - [[rue du Hoguet]] - [[rue du Noyer]] - [[rue de la Sauvaie]] - [[rue de la Tremblaie]] - [[rue des Veyettes]]
* 15 avril 1971 : [[rue du Bignon]] - [[allée de la Bourgonnette]] - [[rue du Breil]] - [[rue de la Frébardière]] - [[allée de la Guerinière]] - [[rue de la Hatterie]] - [[rue du Hoguet]] - [[rue du Noyer]] - [[rue de la Sauvaie]] - [[rue de la Tremblaie]] - [[rue des Veyettes]]


Ligne 246 : Ligne 293 :


=== Premier mandat ===
=== Premier mandat ===
La dénomination de plusieurs voies liées à L'Espagne marquent l'arrivée de la démocratie en Espagne - après le règne dictatorial de Franco - par l'élection de sénateurs et députés.
La dénomination de plusieurs voies liées à l'Espagne marquent l'arrivée de la démocratie en Espagne - après le règne dictatorial de Franco jusqu'en 1975 - par l'élection de sénateurs et députés.
* 25 juillet 1977 : [[jeux d'Altamira]] - [[jardins d'Andalousie]] - [[promenade de Castille]] - [[allée des Cévennes]] - [[promenade de Faro]] - [[jardins de Guernica]] - [[allée des Hardriers]] - [[allée de Lanester]] - [[allée de Lanvaux]] - [[chemin de Lausanne]] - [[allée de Quiberon]] - [[passage du Rouergue]] - [[promenade de Syracuse]]
* 25 juillet 1977 : [[jeux d'Altamira]] - [[jardins d'Andalousie]] - [[promenade de Castille]] - [[allée des Cévennes]] - [[promenade de Faro]] - [[jardins de Guernica]] - [[allée des Hardriers]] - [[allée de Lanester]] - [[allée de Lanvaux]] - [[chemin de Lausanne]] - [[allée de Quiberon]] - [[passage du Rouergue]] - [[promenade de Syracuse]]


Ligne 259 : Ligne 306 :
* 28 mars 1978 : [[rue Capitaine Alfred Dreyfus]]
* 28 mars 1978 : [[rue Capitaine Alfred Dreyfus]]


* 29 mai 1978
* 29 mai 1978 : prolongement de l'[[avenue du Haut Sancé]] - raccourcissement de l'[[avenue de Bréquigny]]


* 30 octobre 1978 : [[promenade des Bonnets Rouges]] - [[allée Jean Guihery]] - [[allée André Ménard]] - [[square de la Rance]] - [[square de Sendaï]]
* 30 octobre 1978 : [[promenade des Bonnets Rouges]] - [[allée Jean Guihery]] - [[allée André Ménard]] - [[square de la Rance]] - [[square de Sendaï]]
Ligne 326 : Ligne 373 :
* 10 janvier 1994 : [[promenade Nicolas Borie]] - [[allée Marc Elder]] - [[square Yves Montand]] - [[rue du Pré de Bris]] - [[rue du Pré du Mail]] - [[avenue Charles et Raymonde Tillon]]
* 10 janvier 1994 : [[promenade Nicolas Borie]] - [[allée Marc Elder]] - [[square Yves Montand]] - [[rue du Pré de Bris]] - [[rue du Pré du Mail]] - [[avenue Charles et Raymonde Tillon]]


* 9 mai 1994 : [[rue du Clos Simon]] - [[rue des Conrois]] - [[allée du Lavais]] - [[allée des Matelouères]] - [[square Anne-Marie Tanguy]] - [[rue Louis Pétri]] - [[allée de la Prairie Neuve]] - - [[allée du Verger Thébault]]
* 9 mai 1994 : [[rue du Clos Simon]] - [[rue des Conrois]] - [[allée du Lavais]] - [[allée des Matelouères]] - [[square Anne-Marie Tanguy]] - [[rue Louis Pétri]] - [[allée de la Prairie Neuve]] - [[allée du Verger Thébault]]


En prévision du démarrage du site Rennes Atalante Champeaux en 1995, quatre voies sont dénommées
En prévision du démarrage du site Rennes Atalante Champeaux en 1995, quatre voies sont dénommées
Ligne 348 : Ligne 395 :
* 8 juillet 1999 : [[rue Maurice Delahaye]] - [[rue Victor Janton]] - [[allée Auguste-Louis Jobbé Duval]] - [[rue Docteur Yves Louvigné]] - [[rue Georges Maillols]] - [[pont de la Mission]] - [[rue du Pont Lagot]]
* 8 juillet 1999 : [[rue Maurice Delahaye]] - [[rue Victor Janton]] - [[allée Auguste-Louis Jobbé Duval]] - [[rue Docteur Yves Louvigné]] - [[rue Georges Maillols]] - [[pont de la Mission]] - [[rue du Pont Lagot]]


* 4 octobre 1999 : [[chemin Robert de Boron]] - [[chemin Pierre Flatrès]] - [[jardin de Gergovie]] - [[allée Henri Guérin]] - [[promenade du Lavoir]] - [[promenade Marcel-Henri Lebouc]] - [[square Francis Pellerin]] - [[avenue des Préales]] - [[jardin du Séchoir]] - [[quai Eric Tabarly]] - [[rue Pierre-Henri Teitgen]]
* 4 octobre 1999 : [[chemin Robert de Boron]] - [[chemin Pierre Flatrès]] - [[jardin de Gergovie]] - [[allée Henri Guérin]] - [[promenade du Lavoir]] - [[promenade Marcel-Henri Lebouc]] - [[square Francis Pellerin]] - [[avenue des Préales]] - [[route de Sainte-Foix]] - [[jardin du Séchoir]] - [[quai Eric Tabarly]] - [[rue Pierre-Henri Teitgen]]


* 10 avril 2000 : [[promenade d'Aunis]] - [[square du Boulonnais]] - [[square du Comtat Venaissin]] - [[promenade du Comté de Foix]] - [[promenade du Comté de Nice]] - [[square de Corse]] - [[allée Ermengarde d'Anjou]] - [[square Ile-de-France]] - [[promenade de Lituanie]] - [[rue Jules Maillard de la Gournerie]] - [[square de la Marche]] - [[chemin Hippolyte Mazé]] - [[chemin Motte Goulven]] - [[rue Pierre Nougaro]] - [[promenade du Ruisseau]] - [[square du Saumurois]] - [[rue du Pâtis Tatelin]] - [[allée Mère Teresa]] - [[square Villebois-Mareuil]]
* 10 avril 2000 : [[promenade d'Aunis]] - [[square du Boulonnais]] - [[square du Comtat Venaissin]] - [[promenade du Comté de Foix]] - [[promenade du Comté de Nice]] - [[square de Corse]] - [[allée Ermengarde d'Anjou]] - [[square Ile-de-France]] - [[promenade de Lituanie]] - [[rue Jules Maillard de la Gournerie]] - [[square de la Marche]] - [[chemin Hippolyte Mazé]] - [[chemin Motte Goulven]] - [[rue Pierre Nougaro]] - [[promenade du Ruisseau]] - [[square du Saumurois]] - [[rue du Pâtis Tatelin]] - [[allée Mère Teresa]] - [[square Villebois-Mareuil]]
Ligne 392 : Ligne 439 :


* 12 novembre 2008 : [[rue des Seiz Breur]]
* 12 novembre 2008 : [[rue des Seiz Breur]]


== Sous [[Daniel Delaveau]] ==
== Sous [[Daniel Delaveau]] ==
Ligne 421 : Ligne 466 :
== Sous [[Nathalie Appéré]] ==
== Sous [[Nathalie Appéré]] ==


=== Premier mandat ===
* 15 septembre 2014 : [[rond-Point Colonel Diègue Santa]]
* 15 septembre 2014 : [[rond-Point Colonel Diègue Santa]]


Ligne 443 : Ligne 489 :
* 1 avril 2019<ref>https://metropole.rennes.fr/13-noms-de-femmes-pour-des-rues-rennaises</ref><ref>https://metropole.rennes.fr/des-passerelles-dans-la-ville</ref> : [[promenade Hubertine Auclert]] - [[Elisa Napoleone Baciocchi|passerelle Elisa-Napoléone Baciocchi]] - [[Adrienne Bolland|allée Adrienne Bolland]] - [[rue Yvette Chassagne]] - [[Pauline de La Choüe de la Mettrie|passerelle Pauline de La Choüe de la Mettrie]] - [[Ambroisine Garnier-Leray|rue Ambroisine Garnier-Leray]] - [[Alice Guy-Blaché|promenade Alice Guy-Blaché]] - [[Françoise Héritier|rue Françoise Héritier]] - [[Violette Jacquet-Silberstein|jardin Violette Jacquet-Silberstein]] - [[Rosa Luxembourg|promenade Rosa Luxembourg]] - [[Paulette Nardal|jardin Paulette Nardal]] - [[Élisabeth Vigée-Le Brun|passerelle Elisabeth Vigée-Le Brun]]
* 1 avril 2019<ref>https://metropole.rennes.fr/13-noms-de-femmes-pour-des-rues-rennaises</ref><ref>https://metropole.rennes.fr/des-passerelles-dans-la-ville</ref> : [[promenade Hubertine Auclert]] - [[Elisa Napoleone Baciocchi|passerelle Elisa-Napoléone Baciocchi]] - [[Adrienne Bolland|allée Adrienne Bolland]] - [[rue Yvette Chassagne]] - [[Pauline de La Choüe de la Mettrie|passerelle Pauline de La Choüe de la Mettrie]] - [[Ambroisine Garnier-Leray|rue Ambroisine Garnier-Leray]] - [[Alice Guy-Blaché|promenade Alice Guy-Blaché]] - [[Françoise Héritier|rue Françoise Héritier]] - [[Violette Jacquet-Silberstein|jardin Violette Jacquet-Silberstein]] - [[Rosa Luxembourg|promenade Rosa Luxembourg]] - [[Paulette Nardal|jardin Paulette Nardal]] - [[Élisabeth Vigée-Le Brun|passerelle Elisabeth Vigée-Le Brun]]


* 24 juin 2019 : [[Antoinette Caillot|passage Antoinette Caillot]]
* 24 juin 2019 : [[Antoinette Caillot|passage Antoinette Caillot]] <ref>[[Nombre des dénominations féminines données à des voies de Rennes depuis 1900]]</ref>
 
=== Deuxième mandat ===
* 8 février 2021 : [[parvis Agnès Varda]] - [[rue de Zagreb]]
 
* 29 mars 2021 : [[terrasse Bertina Lopes]] - [[promenade Wangari Muta Maathai]] - [[rue Joséphine Baker]] - [[rue Hélène Duc]] - [[place Juliette Gréco]] - [[allée Flora Nwapa]] - [[allée Marguerite Duras]] - [[allée Annaig Renault]]
 
* 6 décembre 2021 : [[route du Bois Harel]] - [[route des Pressoirs]]
 
* 16 mai 2022 : [[passage Catherine Leroy]] - [[jardin Trotula de Salerne]] - [[jardin Claudette Rousseau]] - [[allée Léonie Chaptal]] - [[allée Marthe Condat]] - [[rue Lise Meitner]] - [[passage Céline Jan Jouault]] - [[passerelle Ovida Delect]] - [[passage Alek Plunian]] - [[passage Henriette Ragon]] - [[allée Mary Wollstonecraft]] - [[allée Mary Shelley]] - [[parvis Philippe Pascal]] - [[rue de l'Ile de Sein]]
 
* 13 mars 2023 : [[groupe scolaire Miriam Makeba]] - [[square Simone et Jacques de Bollardière]] - [[rue Martha Desrumaux]] - [[square Joséphine Pencalet]] - [[promenade Augusta Bruchlen-Jouhaux]] - [[promenade Helen Keller]] - [[rue Anna Politkovskaia]] - [[rue Dulcie September]] - [[square Fidan 'Rojbîn' Doğan]] - [[square Thérèse Clerc]] - [[rond-Point Harriet Tubman]]
 
* 22 janvier 2024 : [[promenade Samuel Paty]]
 
Sur les 1 872 rues de Rennes, seules 167 rendront hommage à des femmes, les hommes ont leur nom écrit aux coins de 953 d’entre elles.
 
En mars 2023 à Rennes, 17% des rues qui portent un nom de personnalité font référence à un nom de femme.


== Dates à trouver ==
== Dates à trouver ==
* (A-B) : [[rue des Arts]] (pas de DCM) - [[boulevard Jeanne d'Arc]] (vers 1894) - [[rue Bertrand]] (mort en 1818, apparaît déjà dans registre de capitation de 1790) - [[pont Bagoul]] (ouvert en 1832, non-officiel?)
* (A-B) : [[rue des Arts]] (pas de DCM) - [[boulevard Jeanne d'Arc]] (vers 1894) - [[pont Bagoul]] (ouvert en 1832, non-officiel?)
* (C-D) : [[rue de la Cochardière]] (Vers 1826? avant 1914 sur plan) - [[rue Chicogné]] (avant 1855 sur plan) - [[quai Chateaubriand]] - [[rue des Carmes]] (après l'incendie de 1720?) - [[ruelle aux Chapeliers]] - [[avenue Chardonnet]] (longtemps dénommée non-officiellement) - [[rue Desaix]] (1892?)
* (C-D) : [[rue de la Cochardière]] (Vers 1826? avant 1914 sur plan) - [[rue Chicogné]] (avant 1855 sur plan) - [[quai Chateaubriand]] (entre 1841 et 1846) - [[rue de la Carrière]] - [[rue des Carmes]] (après l'incendie de 1720?) - [[ruelle aux Chapeliers]] - [[avenue Chardonnet]] (longtemps dénommée non-officiellement) - [[rue Desaix]] (1892?)
* (F-H) : [[rue de Fougères]] - [[avenue Gros Malhon]] (après 1885, avant 1908 sur plan) - [[rue de l'Hôtel Dieu]] (après la chute du Second Empire en 1870, sur plan de 1885) - [[place Hoche]] (vers 1890, avant 1914 sur plan)
* (F-H) : [[rue de Fougères]] - [[place Hoche]] (vers 1890, avant 1914 sur plan)
* (I-J) : [[passage d'Isly]] (?) - [[quai d'Ille-et-Rance]] - [[canal d’Ille-et-Rance]] (avant 1855 sur plan) - [[rue du Puits Jacob]] (avant 1914 sur plan, probablement dénommée entre 1883 et 1893)
* (I-J) : [[passage d'Isly]] (?) - [[quai d'Ille-et-Rance]] - [[canal d’Ille-et-Rance]] (avant 1855 sur plan) - [[rue du Puits Jacob]] (avant 1914 sur plan, probablement dénommée entre 1883 et 1893)
* (M) : [[contour de la Motte]] - [[rue Motte Fablet]] (ouverte en 1783) - [[rue Marceau]] (avant 1908 sur plan) - [[rue de la Mabilais]] (chemin en 1914 sur plan, rue en 1919 sur plan)
* (M) : [[contour de la Motte]] - [[rue Marceau]] (avant 1908 sur plan) - [[rue de la Mabilais]] (chemin en 1914 sur plan, rue en 1919 sur plan)
* (N-R) : [[allée Jules Noël]] (voie non officiellement dénommée par la ville) - [[rue de Nemours]] (20 août 1843 avec pont de Nemours?) - [[rue de la Palestine]] - [[rue de la Paillette]] - [[rue de la Paix]] - [[rue de Quineleu]] (entre 1883 et 1893) - [[rue de Riaval]] (1923?)
* (N-R) : [[allée Jules Noël]] (voie non officiellement dénommée par la ville) - [[rue de Nemours]] (20 août 1843 avec pont de Nemours?) - [[rue de la Palestine]] - [[rue de la Paillette]] - [[rue de la Paix]] - [[rue de Quineleu]] (entre 1883 et 1893) - [[rue de Riaval]] (1923?)
* (S) : [[contour Saint-Germain]] - [[rue de Saint-Malo]] - [[place Saint-Michel]] - [[allée Sainte-Sophie]] (entre 1870 et 1877) - [[rue de la Salle Verte]] (vers 1830)
* (S) : [[contour Saint-Germain]] - [[rue de Saint-Malo]] - [[place Saint-Michel]] - [[allée Sainte-Sophie]] (entre 1870 et 1877) - [[rue de la Salle Verte]] (vers 1830)
* (T-V) : [[rue du Thabor]] (entre 1885 et 1895) - [[rue Tournemine]] - [[place de la Trinité]] (vers 1845) - [[rue Tronjolly]] (''rue Philippe de Tronjolly'' dans le registre de capitation de 1787, date exacte en 1788) - [[rue de Viarmes]] - [[rue du Vieux Cours]] - [[rue de la Visitation]]
* (T-V) : [[rue du Thabor]] (entre 1885 et 1895) - [[rue Tournemine]] - [[place de la Trinité]] (vers 1845) - [[rue de Viarmes]] - [[rue du Vieux Cours]] - [[rue de la Visitation]]


== Références ==
== Références ==
<references/>
<references />

Version actuelle datée du 21 octobre 2024 à 08:02

Liste des créations de rues de Rennes à leur emplacement actuel, par administration ou mandat et par date de délibération du conseil municipal.

Une rue créée par une délibération D1 et dont l'intitulé a été changé par une délibération D2 est classée en D1.

Avant 1900

Sous Toussaint Rallier du Baty

« Le 12 décembre de la même année (1726, ndlr) le Conseil de Rennes prend un Arrêt pour dénommer les nouvelles rues et place de la Ville de Rennes. Afin de montrer la toute puissance royale aux Bretons, considérés comme indisciplinés, les dénominations de voies devront partir de la place du Parlement de Bretagne, symbole du pouvoir, et où est érigée la statue équestre. Le rue la plus proche du Parlement de Bretagne prend le nom de rue Royale (rue Nationale), puis dans son prolongement la rue Dauphine (rue Lafayette), l'éventuel héritier de la couronne de France et pour compléter l'ordre hiérarchique rue de Toulouse. Louis Alexandre de Bourbon, Comte de Toulouse qui est un des fils légitimé de Louis XIV, est alors gouverneur de Bretagne et donc représentant du Roi en Bretagne. Pour affirmer ce pouvoir, la voie face au Parlement et perpendiculaire à la place prend le nom de rue de Bourbon (rue Edith Cavell) et dans son prolongement rue de Bretagne (rue Jean Jaurès). Et pour la voie partant du bas de la Place du Parlement et rejoignant la place Royale (place de la Mairie), il est décidé de donner le nom du Premier Président du Parlement et serviteur zélé du pouvoir Royal : rue de Brilhac. Dans son prolongement, un symbole de la Bretagne : l'Hermine. Ce même jour, d'autres affirmations du pouvoir du Roi en dénommant l'Intendant de Bretagne à l'époque Fédeau de Brou, ainsi que des Lieutenants du Roi, beaux-frères du Comte de Toulouse : Château-Renault, d'Estrées, Coëtquen, et Volvire. Les défenseurs de la Bretagne au XIVème siècle héritent des voies les plus éloignées de la Place du Parlement et proches de la vieille ville : Beaumanoir, de Montfort, de Clisson et Du Guesclin. »

— Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole
Origine : Notice sur la rue de Brilhac • Recueilli par Manu35 • 2017licence

Sous Yves-Vincent de La Motte-Fablet[1]

Sous la Commune

Sous Philippe Jouin

Sous Ange de Léon

Sous Armand Robinot de Saint-Cyr[4]

Sous Pierre Martin

Sous Edgar Le Bastard

Sous Vincent Morcel

Sous Auguste Poulin

Sous Auguste Lajat

Première moitié du XXe siècle

Sous Eugène Pinault

La carte ci-dessous localise les voies dénommées sous l'administration Pinault.

Chargement de la carte...

Sous Jean Janvier

« Perpétuer le souvenir des hommes qui ont été utiles, c'est tout à la fois, acquitter la dette de la reconnaissance et faire une bonne action. C'est le but que doit se proposer une municipalité en choisissant les noms qu'elles donnent aux voies urbaines. À Rennes, de nombreuses nouvelles rues étaient sans appellation officielle : il importait pour la commodité des relations, que cette lacune fut comblée et la municipalité vient d'y pourvoir, en s'inspirant, généralement, des principes que nous venons de rappeler. Il est très difficile de répartir les noms au gré des préférences de chacun ; c'est même manifestement impossible. M. Dottin[5], dont on connaît la compétence, présidait la Commission, chargée de résoudre cette grosse difficulté.

Pour simplifier son travail, la commission de la dénomination des rues s'est mise d'accord sur les principes suivants:

  • 1° Ne modifier les noms existants qu'exceptionnellement et quand leur nom actuel pouvait induire en erreur ou ne répondait plus à sa destination primitive;
  • 2° Conserver les vieux noms pittoresques;
  • 3° Pour dénommer les rues, choisir les noms dans l'ordre suivant : en première ligne : les personnalités nées à Rennes ; en seconde ligne : les personnalités originaires du département ; en troisième ligne : les personnalités bretonnes.

D'autre part, les rues dont on avait à s'occuper se répartissaient en plusieurs groupes :

  • 1° rues nouvelles sans dénomination
  • 2° rues dont la dénomination usuelle n'a pas été reconnue officiellement
  • 3° rues dont la dénomination devait être changée
  • 4° rues dont le nom peut être étendu à un tronçon non encore dénommé. »

— L'Ouest-Eclair, numéro paru le 25 juillet 1923
Origine : "Une importante séance au conseil municipal", extrait sur la dénomination des rues, pp.4-5 • Recueilli par Manu35 • 2017licence


Sous Alfred Daniel

Sous Carle Bahon[6]

« Nous avons déjà eu l'occasion de signaler qu'à la suite d'une délibération du Conseil municipal (celle du 31 décembre 1928 évoquée ci-dessous, ndlr), cinquante nouvelles voies urbaines avaient reçu une dénomination généralement bien choisie. À la demande de plusieurs de nos lecteurs, nous en donnons le classement par cantons. [...] Rennes s'étend de plus en plus: ces dénominations étaient devenues absolument nécessaires; ces nouvelles rues sont appelées à prendre une grande extension; plusieurs sont déjà bien bâties; on peut s'en rendre compte en consultant le "Nouvel Annuaire d'Ille-et-Vilaine" pour 1929 qui, seul, les donne dans leur ordre alphabétique, avec les 386 anciennes. On devra sans doute, d'ici peu, pourvoir de noms officiels les diverses sections de la périphérie de Rennes (Chemin de Ronde) dont la population s'accroît également (voir les pages 878 et suivantes du Nouvel Annuaire). »

— L'Ouest-Eclair, numéro paru le 19 mars 1929
Origine : "Les nouvelles rues", extrait sur la dénomination des rues • Recueilli par Manu35 • 2017licence

Sous Jean Lemaistre[7]

Quinze des quarante-huit personnalités honorées par Jean Lemaistre sont décédées entre 1929 et 1935, les années de sa mandature. Seules trois rues ne font pas référence à une personnalité.

La délibération suivante honore deux personnages politiques d'envergure nationale décédés très peu de temps auparavant, en février et mars 1932.

La délibération suivante honore deux personnages décédés peu de temps auparavant, en septembre 1931 et en mars 1933.

Sous François Château

Sous Yves Milon

« "Les individus et les municipalités impliqués dans la Libération cherchèrent souvent au cours de la première année à instiller dans le patrimoine urbain une mémoire de la guerre. Les résistants[8] locaux fusillés furent les premiers à donner leur nom à une rue, venait ensuite le général de Gaulle [...] Un test a été réalisé pour Rennes. Métropole régionale, la Résistance y était présente ; un parc de rues important était a priori disponible, mais la présence des pouvoirs centraux induisait une vigilance accrue des autorités quant au respect des consignes de temporisation face aux dénominations nouvelles. En effet, mis à part le retour de la place de la Mairie à son nom originel le 16 septembre 1944, aucune dénomination nouvelle officielle pour une voie rennaise n'a été décidée avant 1949 ! C'est ici l'expression d'une prudence extrême de la part des pouvoirs publics, mais aussi le signe du respect de la mémoire collective dans le cadre d'un espace urbain qui se développait lentement. Ce qui tendrait à relativiser la volonté publique d'équiper l'espace public avec un mobilier mnémonique commémorant la Seconde Guerre mondiale au lendemain de l'Occupation." »

— Luc Capdevila
Origine : "Les Bretons au lendemain de l'Occupation", chapitre 18 : L'hommage rendu aux morts, les lieux de mémoire de l'immédiate après Libération, pp.317-331 • Recueilli par Manu35 • 2017licence

Sous Henri Fréville

Le maire Henri Fréville, historien de métier et lui-même ancien résistant durant la seconde guerre mondiale, sera notamment durant ses deux premiers mandats à l'origine de la dénomination de nombreuses voies de Rennes en hommage à d'anciens résistants. Les deux suivants seront davantage marqués par l'apparition de noms de rues liés à la géographie, parallèlement à la construction européenne.

Premier mandat

Second mandat

Troisième mandat

Quatrième mandat

Cette seconde délibération en 1971 concerne uniquement des voies situées dans la Zone d'Activités Sud-Est, aujourd'hui dénommée Écopôle sud-est, lancée en 1966, qui s'étend sur les communes de Rennes (75 ha), Cesson-Sévigné (107 ha) et Chantepie (31 ha). Il s'agit de la plus grande zone de Bretagne.

Sous Edmond Hervé

Premier mandat

La dénomination de plusieurs voies liées à l'Espagne marquent l'arrivée de la démocratie en Espagne - après le règne dictatorial de Franco jusqu'en 1975 - par l'élection de sénateurs et députés.

Second mandat

Marqué par le changement de typologie le 2 juin 1986 de toutes les impasses en allées - le terme d'impasse comportant une connotation de cul-de-sac, de voie fermée.

Troisième mandat

En prévision du démarrage du site Rennes Atalante Champeaux en 1995, quatre voies sont dénommées

Quatrième mandat

Cinquième mandat

  • 28 mars 2007

Sous Daniel Delaveau

  • 2 décembre 2013 pas de création de voie

Sous Nathalie Appéré

Premier mandat

Deuxième mandat

Sur les 1 872 rues de Rennes, seules 167 rendront hommage à des femmes, les hommes ont leur nom écrit aux coins de 953 d’entre elles.

En mars 2023 à Rennes, 17% des rues qui portent un nom de personnalité font référence à un nom de femme.

Dates à trouver

Références