Bannière liberation Rennes 2.jpg

A l'occasion des 80 ans de la libération de Rennes, (re)découvrez l'ensemble des
contributions autour de la Seconde Guerre mondiale et de la libération sur Wiki-Rennes.

Hymne à Rennes

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche


HYMNE à RENNES


En vers et pour tous


1

Il me plaît bien de l'écrire,

De Rennes sont les souvenirs

Qui, premiers, me reviennent

Car j'y naquis par bonne aubaine.


2

Depuis deux mille années pérenne,

Tu fus Condate et tu es Rennes,

Et c'est ici plaisir d'écrire

Pour te raconter, te décrire.


3

Toi qui t'étalais à loisir

Sur tes coteaux avec plaisir,

Tu te replias avec peine

Devant des barbares peu amènes.


4

Que tu sois née gauloise ou celte,

Tu fus romaine, monnaies l’attestent. [1]

De briques et schistes tu construisis

De rouges remparts de survie. [2]


5

Portes Mordelaises mises à part

On ne voit guère de tes remparts

Que ta gironde tour Duchesne[3]

Près d'un mur de briques romaines


6

Ils voulaient encore te prendre.

Gourvan, plutôt que de se rendre,

Mourant, triompha des Normands,

Et les repoussa fermement. [4]


7

Ville de rien, ville de catins

Ville de rapines, de malins,

Le jeune Marbode en langue latine

Te cassa des mots sur l’échine. [5]


8

Le géographe al Idrissi

Dit qu'on vivait bien ici,

A cette époque où Marbode

Commettait sa vilaine ode.


9

Une fois l’Anglais de t’investir

Mais ne put jamais s’introduire

Car Notre Dame fit un signe

De son doigt désignant la mine. [6]


10

A leurs Portes Mordelaises,

Les Rennais, de l'armée anglaise,

tirèrent de cochons grand profit

En suspendant une truie. [7]


11

Pour de Bretagne être duchesse,

De voir ses Rennais en liesse

La jeune Anne fut bien aise,[8]

Passant les Portes Mordelaises.[9]


12

S'étant enfin rendu Mercœur,

Tu offres tes clés et tes cœurs

Au roi Henri le quatrième

Qui désire tant que tu l'aimes. [10]

13

En l'an seize cent trente deux,

Ayant vu exaucer son vœu

Que la mort noire laissât ses gens

La cité fondit son argent.[11]


14

Contre le papier timbré

Levés, des Rennais furent livrés

Nombreux à mille et un tourments

Et mis à Vannes ton parlement.[12]


15

Rats, souris, puces et punaises,

Rapporte-t-on, vivaient à l'aise

Dans tes logis humides et sales,

L'écurie donnant sur la salle.[13]


16

L'an mille sept cent vingt, il agit , [14]

En te prenant huit cents logis.

L'ayant manqué, tardivement

L’incendie prit ton parlement. [15]


17

Maisons à pans et de torchis

Avaient fait place nette au granit.

Deux places tu t’offris royales[16]

Pour ton hôtel, ton présidial.


18

Enumérant tes incendies,

Certains répètent ce que l'on dit :

A Rennes, rien ne prend, sauf le feu[17]

Et pourtant ils y vivent heureux.


19

Egalité, fraternité

Et aux idées de liberté

Des villes tu fus la première

Cité révolutionnaire.[18]


20

Réunis à la Mabilais,

Ils signèrent un traité de paix,

Chefs des Chouans et chefs des Bleus

Mais, hélas, la paix fit long feu.[19]


21

Pour défaut de citoyenneté,

Sur ta place de l'Egalité,[20]

Sous le rasoir égalitaire,

Plus de trois cents têtes tombèrent


22

Tailleur brave, Jean Leperdit [21]

Justement célèbre se rendit

Pour avoir du cruel Carrier[22]

froissé la liste de papier.


23

Abattus les aigles d'Empire,

Bientôt arrive le pire,

Au logis parmi les siens

Voir s'installer un Prussien.[23]


24

Dix-huit-cent trente, en juillet,

Révoltés pour la liberté,

Furent tués à Paris dans la rue

Deux jeunes Rennais : Vanneau, Papu.[24]


25

Ton opéra, plein d’embonpoint,

Son ventre rond propose en vain

Aux courbes graciles, au campanile

De ton gracieux hôtel de ville.[25]


26

Les deux tours de ta cathédrale,

A trois ordres, monumentales,

Se dressent en granit, souveraines

Au-dessus de voûtes romaines.[26]


27

Sur ton pont Bagoul s'attardaient[27]

Des commères restant bavarder,

De bonnes histoires se disant

Et parfois même médisant.


28

Du gué de Baud à Saint-Martin,

Battant depuis le matin,

Les lavandières éreintées,

Aux bateaux-lavoirs papotaient.[28]


29

Tu vis la fin de grands travaux

Entrepris par monts et par vaux,

De la Rance à l'Ille reliant l'eau,

Te donnant comme port Saint-Malo.[29]


30

Tu traitas la Vilaine, lasse

D'enlacer tes parties trop basses

De ses bras nauséabonds,

En canal droit avec beaux ponts.[30]


31

Duguay-Trouin et Lamennais,[31]

Tu t’es fendue d’une ligne de quais

Au long desquels tu fais la fière

Comme si tu étais port de mer.[32]


32

Des écrivains te décrivirent

Triste, t'esquintant à loisir,

Et les guides de voyage

De les copier dans leurs pages.[33]


33

On a dit le Rennais chauvin

Mais de médire il est très vain.

Il défend sa ville tel un tigre

Et aussitôt il la dénigre.


34

Pour d'aucuns ce ne fut pas faute

De le vouloir en ville haute

Qu'au sud, loin de l'autre rive,

On décide que le train arrive.


35

En dix huit cent cinquante sept,

Tous les Rennais sont de la fête,

Délaissant un temps leurs affaires

Car voici le chemin de fer. [34]


36

Derrière ta gare, on amène

Celles condamnées à des peines

Et nombre des incarcérées

Rêvent de train, de voies ferrées.


37

En dix huit cent quatre-vingt un,

la Vilaine fit un tour vilain,

Inondant plus de quatre cents

Tristes logis de pauvres gens.[35]


38

D'Henri Quatre à Poincaré,[36] [37]

Tu reçus François Premier,[38]

Félix Faure, de Mac-Mahon,[39] [40]

Le troisième Napoléon.[41]


39

Et de tes garçons le lycée

Fut choisi siège du procès [42]

D’honneur terni du capitaine

Sali par le complot de haine.


40

Quarante et unième R. I. [43]

Parti défendre la patrie,

Pantalons rouges allèrent au feu,

Puis ce furent les capotes bleues.


41

Au Panthéon de la mairie,

Tués à la grande boucherie,

Tombés nombreux aux champs d'horreur,

Tes fils sont aux tableaux d'honneur.[44]


42

Devant la France, assise là,

Elle fut détruite à grand éclat

La Bretagne s'agenouillant

Heurtant des Bretons trop bouillants.[45]


43

Fête-Dieu ou mi-carême,

Ou le quarante et unième,

Fête des fleurs, dans cette ville

C'était tu regardes ou défiles.


44

Publiques, privées, évidemment

Chaque année séparément

Tes écoles aimaient parader

Et les parents de regarder.[46]


45

Des serres de verre à la roseraie

Au Thabor les enfants se jouaient [47]

Du garde manchot claudiquant [48]

Portant sifflet entre ses dents.


46

Bleus ou jaunes les tramways [49]

Ferraillaient, brinquebalaient

Sur les rails luisants et froids

De la mairie jusqu’aux octrois.


47

Fumant, soufflant le long des quais,

Portant fier son sobriquet,

Cloche sonnant, ton tortillard

Tanguait, ahanait vers Fouillard.[50]


48

Un dix-sept juin, à dix heures,

Passèrent des oiseaux de malheur,

Lâchant sur tes voies de triage

Les fientes d'un grand carnage.[51]


49

Nos trois couleurs plus de mise,

Hommes résédas et souris grises

Le lendemain furent dans tes rues.

La Marseillaise s’était tue.[52]


50

Pour un de leurs câbles scié

Fut fusillé Marcel Brossier

Et l'avis d'exécution

Lu avec consternation.[53]


51

Tombèrent au commandement :feu !

En mille neuf cent quarante deux,

A la butte de la Maltière,

Les vingt-cinq résistants fiers.[54]


52

En mars et mai quarante trois [55][56]

Aux bombes mortelles tu eus droit,

Et encore l'année suivante [57]

Où cessa cette tourmente.


53

Avenue Janvier, Saint-Hélier,[58]

Les cadeaux des bombardiers :

Des tas de ruines, des trous béants[59] [60]

Pour tout logis aux habitants.


54

Dans deux trains, ôtés de prison

Vers de germaniques horizons,

Les vrais résistants qu'ils étaient

Manquèrent de peu la liberté.[61]


55

Et au beau matin du quatre août,

Les Allemands mis en déroute,

Tu fêtas les Américains,[62]

Prête à de joyeux lendemains.


56

Peu à peu tu as rebâti

Puis en périphérie construit

Aux arrivants de grands ensembles

Qui leur plaisaient fort, ce me semble.


57

Tes communes périphériques

De ta vigueur si bénéfique

Profitèrent en facilitant

L'accueil de nouveaux habitants.[63]


58

Pompons rouges de Pont-Réan,[64]

Elèves de Coêtquidan,

De ton régiment les recrues

Battaient le pavé de tes rues.


59

Mac-Mahon et Colombier [65]

Furent transformés en quartiers,

Remplaçant les casernements

Pour accueillir des habitants.


60

Au fil des rues tu alignes

Immeubles de toutes origines.

Cà et là crèvent ton plafond

Un Eperon, des Horizons.[66]


61

L’enfant, puis l’adolescent,

Fut assidu pendant huit ans

Au collège à tuiles toscanes

Pour du bac avoir la peau d’âne.


62

Sous Saint-Melaine culminant [67]

Entraient en fac les étudiants,

Avocats, juges de demain

Dans cette ville pleine de robins.


63

Rennes... deux minutes d'arrêt,

Ici commence ma vie d'après

la Kabylie et ses djebels,

Vilaine, je te trouve belle. [68]


64

Rue d’Estrées et rue Le Bastard,[69]

Le soir venu jusque fort tard

Brûlaient, lueurs aguicheuses,

Cent enseignes lumineuses.


65

Au Royal ou bien au Français,

À huit cents ou mille assemblés

Les Rennais en leurs salles obscures [70]

Savouraient Blanche-Neige, Ben Hur.


66

Tes cafés-cidre ne sont plus

Et les pizzerias affluent.

Crêperies et galettes-saucisses

Font toujours encore nos délices.[71]


67

Les parcourant de haut en bas[72]

Afin de remplir leurs cabas

Les Rennais se retrouvent aux Lices

Le samedi, jour des délices. [73]


68

Toujours affluent tes habitants

Au beau stade, route de Lorient

Pour soutenir onze rouge et noir, [74]

Espérant bien la victoire.


69

Sitôt venu le mois de mai

Au Champ de Mars tu rassemblais

Outre Rennais, ruraux en noir

Nombreux pour visiter ta foire.


70

Où dans des champs bordés de haies

Poussaient tranquilles des pommiers

De tes lignes de production

Sortent les voitures aux chevrons. [75]


71

Tu fus toujours bien aise

Qu'on te dise cité gallèse

Mais, capitale, tu résonnes

Au nom breton de Roazhon.


72

Tes ardoises s’offrent à nos yeux

Tantôt grises, tantôt bleues

Du ciel changeant de nos saisons,

Tantôt crachin, tantôt rayons.[76]


73

L'an soixante-six, gorgée de pluies,

Saoule, la Vilaine sortit du lit, [77]

Et dégorgea au fil des rues

Tout le trop plein qu'elle avait bu.


74

Au lieu des bombardiers,

Ce sont les vols réguliers [78]

ainsi que vols à la demande

Sur Saint-Jacques-de-la-Lande.


75

De tes grandes heures le hérault,

On ôta le Gros de là-haut, [79]

Fatigué d'avoir égrené

Tant de décennies des Rennais.[80]


76

En mille neuf cent quatre-vingt-neuf,

Ce fut enfin le train tout neuf,

A grande vitesse te mettant

plus près de Paris par le temps.[81]


77

De retour la petite reine

Circule dans les rues de Rennes

Et les Rennais de pédaler

Sur des vélos au nom franglais.


78

On te disait cité austère

Avec tes arcades de pierres

Ville sévère, de grise mine,

Aux gros pavés, à l’ardoise fine.[82]


79

Tu as ôté de tes logis

Le maussade vieux torchis,

Révélant tous ces pans de bois,

De bien beaux ornements pour toi.


80

Ton Champ de Mars fut grignoté,

Des bâtisses ont empiété,

Le transformant, autorisées,

En esplanade minimisée.[83]


81

Maison de culture, Grand Huit,

Voire TNB par la suite, [84]

Salle Omnisports en Liberté [85]

Tes constructions ont muté.


82

Dits du Commerce ou Saint-Georges

De tes palais tu te rengorges.

A ton couvent des Jacobins

Tu prévois un nouveau destin.


83

Dans l'ancienne chapelle Saint-Yves,[86]

Elles sont nombreuses, admiratives,

Les personnes venues s'enquérir

De tes beautés, de tes loisirs.


84

Sur la place du Champ Jacquet[87]

Où il n'a rien d'un laquais,

En bronze au brave Leperdit

Sa stature épique tu rendis.


85

Quatre beautés, aucune rose,[88]

Sur tes places tu disposes

Des oeuvres d'art insolites

Tel de granit ce monolithe.


86

Comme abandonné, un touret

Cherche à se faire admirer.

Une tête sur un plateau d'eau [89]

Etonne vieux et ados.


87

Place Rallier du Baty,

Tout près du côté rebâti,

Tu proposes à l'oeil d'accoler

La chrysalide esseulée.[90]


88

Soixante-douze de granit gris,

Voici les colonnes d'Aurélie

Figées dans leur alignement,

Menhirs en rangs assurément.[91]


89

Si beaucoup de tes Rennais râlent,

Trouvant tes places minérales,

De Bréquigny à Maurepas [92]

Ils ont tant de parcs, n'est-ce-pas ?


90

C'est une habitude pérenne

De courir dans les rues de Rennes :

Octobre, les Rennais se foulent

Et à bonnes foulées déroulent.[93]


91

Aux sons des musiques tu vis.

La nuit, tu te réjouis,

Avec tes étudiants, danses

Et chaque année tu entres en transes.[94]


92

Mais des étudiants pas sages

Rue de la soif font grand tapage,[95]

T'accolant une renommée

Que Marbode eut bien aimée.[96]


93

A peine tes murs ravalés

Qu'aussitôt ils sont maculés

De gribouillis laids et abscons,

Tracés furtifs de jeunes cons.[97]


94

Chaque année, début juillet,

De tes Rennais on voit briller,

Les yeux que le sommeil fuit

Lors des tombées de la nuit. [98]


95

Et depuis des décennies

Tes rotatives chaque nuit

S'activent et, au petit matin,

Sort le plus grand quotidien. [99]


96

Telle Atalante, déesse mythique,

Des télécoms aux fibres optiques

Tu cours, mais laisses les pommes d’or.

Trois mille chercheurs ont fait ton fort. [100]


97

Aux Champs Libres tu proposes

Les livres dont tu disposes,

Du passé l'exposition,

Sciences en compréhension.[101]


98

Tu achevas en l’an deux mille

Pour ton transit automobile

De boucler enfin ta ceinture

Où tu laisses filer les voitures.


99

Se suivirent Château, Patay[102] [103]

Milon,[104] Fréville suivi d'Hervé[105] [106]

Auquel succède Delaveau,

Au fil des ans tes maires nouveaux.


100

Les ducs te firent cité ducale

Et de Bretagne la capitale.

Puis métropole un beau matin,

Tu t’offres un métropolitain.[107]


101

Val, Cityval, sans conducteur,

feront glisser leurs voyageurs

Sur voies à l'air ou souterraines,

De Saint-Jacques à Cesson par Rennes.


102

Cent quatrains, je vais arrêter

De raconter cette cité

Mais cinq cents suffiraient à peine

Pour décrire et vous narrer Rennes.


Étienne MAIGNEN

  1. Rue Postuminus
  2. remparts
  3. remparts de Rennes
  4. rue Gurvand
  5. allée Marbode
  6. basilique Saint-Sauveur
  7. Portes Mordelaises
  8. Boulevard de la Duchesse Anne
  9. Portes Mordelaises
  10. Henri IV à Rennes
  11. la peste à Rennes
  12. révolte du papier timbré
  13. 1636, ce qu'un voyageur voit de Rennes
  14. incendie de 1720
  15. Événements des 4 et 5 février 1994
  16. place de la Mairie place du Parlement de Bretagne
  17. À Rennes, rien ne prend, sauf le feu
  18. Journée des Bricoles
  19. Le traité de la Mabilais, une éphémère pacification
  20. Place du Parlement de Bretagne
  21. Jean Leperdit
  22. Carrier à Rennes
  23. occupation de Rennes par les Prussiens en 1815
  24. parc du Thabor
  25. Place de la Mairie
  26. cathédrale Saint-Pierre
  27. Le Pont Bagoul
  28. quai Lamennais
  29. le Pont Bagoul
  30. quai Lamartine
  31. quai Lamennais
  32. Quais et marins dans Rennes
  33. Rennes présentée au voyageur du 19e siècle
  34. Arrivée du chemin de fer à Rennes
  35. la grande crue de janvier 1881
  36. Henri IV à Rennes
  37. le président Poincaré à Rennes
  38. le dernier couronnement d'un duc à Rennes
  39. le président Félix Faure à Rennes
  40. le maréchal-président de Mac-Mahon à Rennes
  41. Napoléon III à Rennes
  42. Affaire Dreyfus
  43. avenue du 41ème Régiment d'Infanterie
  44. Hôtel de Ville
  45. Place de la Mairie
  46. fêtes populaires à Rennes entre 1919 et 1939
  47. Parc du Thabor
  48. Souvenirs du parc du Thabor
  49. Tramway
  50. T.I.V.
  51. Bombardement du 17 juin 1940
  52. 18 juin 1940 : les troupes allemandes à Rennes, ville traumatisée
  53. Marcel Brossier
  54. Butte des Fusillés de la Maltière
  55. bombardement du 8 mars 1943
  56. bombardement du 29 mai 1943
  57. bombardements des 9 et 12 juin 1944
  58. avenue Janvier
  59. bombardement du 8 mars 1943
  60. bombardements des 9 et 12 juin 1944
  61. le dernier train de résistants déportés quitte Rennes juste avant la libération
  62. Libération de Rennes
  63. aire urbaine
  64. quais et marins dans Rennes
  65. avenue du 41ème Régiment d'Infanterie
  66. Les Horizons
  67. Rue Saint-Melaine
  68. Retour d'Algérie à Rennes, une nuit de février 1961
  69. rue Le Bastard
  70. Anciennes salles de cinéma
  71. Galette saucisse
  72. Place des Lices
  73. Marché des Lices
  74. Résultats des matches de football, rue du Pré- Botté, un dimanche après-midi des années 50
  75. Usine PSA - La Janais
  76. Climat
  77. Inondation de Rennes en octobre 1966
  78. avril 1966 : 1er vol commercial Paris-Rennes
  79. Hôtel de Ville
  80. Les alliés à Rennes, 39ème minute de la vidéo
  81. 1989
  82. Rennes présentée au voyageur du 19e siècle
  83. Champ de Mars
  84. Théâtre National de Bretagne
  85. le Liberté
  86. rue Saint-Yves
  87. Place du Champ Jacquet
  88. Place de Bretagne
  89. place du Parlement de Bretagne
  90. place Rallier du Baty
  91. alignement du XXIe siècle
  92. parc de Maurepas
  93. les Foulées rennaises
  94. Trans Musicales
  95. rue Saint-Michel
  96. allée Marbode
  97. Murs taggés à Rennes
  98. les Tombées de la nuit
  99. Ouest-France
  100. Rennes Atalante
  101. Champs Libres
  102. François Château
  103. René Patay
  104. Yves Milon
  105. Henri Fréville
  106. Edmond Hervé
  107. Métro de Rennes
Some rights reservedCreative Commons Attribution iconCreative Commons non derivative iconCreative Commons No commercial Use icon Vous avez la permission de copier et/ou distribuer ce document sauf pour un usage commercial, mais vous ne pouvez pas le modifier selon les termes de la licence Creative Commons By NC-ND et plus précisément la version 2.5 ou plus récente, plus connue sous le nom de « CC-BY-NC-ND ». En cas de réutilisation du document vous devez citer l'auteur.