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Horloges Lognoné dans l'archidiocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo
Depuis le Second Empire, les Horloges Lognoné dans l'archidiocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo ont donné naissance à un arc horloger transmanche dont l’histoire pluricentenaire a été le thème d'un dialogue cosmopolite destiné à faire grandir à Rennes et en Bretagne l’innovation et le retour des inventeurs.
La recherche se nourrit de la diversité des idées, de nouvelles perspectives, du talent et de la créativité.
121 objets de collection et documents relatifs au savoir-faire de la famille Lognoné et son ancrage à Rennes (rue des Carmes), Vitré (24 rue Duguesclin), dans la cité corsaire de Saint-Malo (place brevet) et la baie du Mont-Saint-Michel (Grande rue des Stuarts) sont conservés au Musée de Bretagne (Les Champs Libres)[1]. La quête infinie de précision et l’aspect intangible de la mesure du temps donnent à cette pratique une forte dimension philosophique.
Des horlogers maîtrisant la gravure des platines en laiton ont pu être chargés de la fabrication d’instruments de pointage ou de calcul, comme les équerres à fil à plomb, ou les compas de proportion « de Galilée » permettant toute sorte de calculs et qui comportaient souvent des échelles destinées à un usage en artillerie.
Un savoir-faire pluricentenaire marqué par plusieurs influences
Sensibilisé par son père Julien François Lognoné contemporain du Second Empire, Théophile Joseph Lognoné, né le 10 juillet 1869 et décédé le 4 février 1920 à l'âge de 50 ans, a été un horloger de première génération à transmettre la passion de son métier conjuguée à celle de la musique aux jeunes et compagnons de son orchestre philharmonique.
Son premier fils, Théophile Lognoné(1895-1974), bijoutier-horloger a souhaité reconvertir des micro-techniques d'horlogerie pour exploiter des brisures de coquillages dans la baie du Mont-Saint-Michel. Et ainsi fonder les Industries Probiomer.
Son deuxième fils, Léon Lognoné(1898-1984) fut marié à Emilienne Gallerand, issue d'une famille d'horlogers de Rennes et de Vitré.
Sa fille, Marie Lognoné (1897-1984) a fondé Au Carillon, bijouterie-horlogerie de Vitré avec son conjoint Charles Jouet issu d'une famille d'horlogers de Pontivy.
Son petit-fils, Claude Lognoné , horloger de profession décédé le 7 juin 2014, à l'âge de 84 ans, a été en activité pendant 26 ans dans l'intramuros de Saint-Malo.
L'influence du Second-Empire
Entre révolutions agricole et industrielle
Les descendants de Julien François Lognoné (1821-1884), passionné d'horlogerie à la suite de l'exposition universelle de 1855, ont commencé à fabriquer des horloges du XIXème siècle jusqu'au milieu du XXème siècle, horloges Lognoné.
Un modèle particulier remonte aux influences de la période de Napoléon III marquée par des pendules murales noires aux incrustations de nacre.
Autrement appelées horloges "oeil de boeuf", elles reflètent le style du Second Empire avec un certain goût pour les bois noirs ou noircis.
Si les mécanismes horlogers étaient produits dans d'autres régions, ils étaient assemblés avec le bâti en bois, lui produit localement.
Elisa-Napoleone Baciocchi, Initiatrice des comices agricoles en Bretagne
Le rôle de l’horlogerie et son empreinte historique à l'époque de la princesse Elisa Napoleone Baciocchi est à souligner à Rennes.
Le séjour de Napoléon III à Rennes termine en apothéose son voyage en Bretagne en août 1858.
La Bretagne n’est pas entièrement acquise à l’empereur. Il s’agit alors pour le régime en place de séduire les Bretons en valorisant notamment leur capacité d'innovation et leur religiosité avec comme point d’orgue la visite de l'empereur à Sainte-Anne d’Auray le 15 août 1858. Napoléon III cherche également le soutien des catholiques dans l’objectif d’une confédération italienne dont le Pape deviendrait le président, le tout dans un contexte international tendu avec la Grande Bretagne à qui la France reproche d’abriter des révolutionnaires italiens qui ont attenté à la vie de l’empereur[2].
La Passerelle Elisa Napoleone Baciocchi(Treuzell Elisa-Napoleone Baciocchi) a été dénommée par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes en date du 1er avril 2019 pour rendre hommage à : Elisa-Napoleone Baciocchi, Initiatrice des comices agricoles en Bretagne (1806 – 1869)[3].
L'influence de l'Empire Ottoman
Rennes et l'autre Genève de l'Orient, entre Mer Egée et Mer Noire
La Saison de la Turquie en France en juillet 2010 et la nomination d'Istanbul la même année comme capitale européenne de la culture ont offert deux occasions pour s’intéresser aux Turcs de Rennes. Au dernier recensement, ils étaient 1 579 (4 821 en Bretagne). Leurs associations sont anciennes (Association d’entraide des travailleurs franco-turcs de Rennes)et ils participent depuis bientôt trente ans au festival Convergences culturelles. La culture, la religion, la langue… et l'horlogerie permettent d'entretenir des ponts intellectuels et créatifs[4].
Zenith entre Orient et Occident
Très jeune, Théophile Joseph Lognoné se fixe pour objectif de créer sa propre entreprise d'horlogerie et projette d’être un détaillant de la manufacture de montres Zenith. Celle-ci avait réussi à s’implanter aux Indes et dans l’Empire ottoman. Il se dit en effet que, puisque des trains circulent désormais, les gens auront de plus en plus besoin d'avoir une appréhension précise du temps. K.Serkisoff & Co étaient des fournisseurs exclusifs des chemins de fer nationaux turcs depuis 1880.
L'Empire ottoman avait signé un accord avec K.Serkisoff & Co en 1880.
K.Serkisoff & Co et le développement des chemins de fers ottomans, russes, italiens, grecs et d'Anatolie
Lorsqu'on prenait sa retraite des chemins de fer en Turquie, il était de tradition de donner à la personne une montre ferroviaire Serkisoff en cadeau. Si cette tradition n’existe certainement plus aujourd’hui, en 2008 les chemins de fer nationaux turcs célèbrèrent leur 150e anniversaire. Ils commandèrent 1 100 montres Serkisof pour leur personnel.
K.Serkisoff & Co est une société turque bien connue spécialisée dans la production et la vente de produits de luxe de haute qualité, notamment de montres et de bijoux. Le nom turc complet de K.Serkisoff Co est « K. Serkisof İstanbul Saatçilik ve Mücevherat A.Ş ».
Le « K » dans K.Serkisoff & Co signifie « Keçecizade », qui est un nom de famille turc important. La famille Keçecizade a une longue histoire dans l'industrie du luxe et est connue pour son expertise en matière d'horlogerie et de joaillerie. Par conséquent, le nom complet derrière le « K » est « Keçecizade».
Des montres de poche de haute qualité conçues spécifiquement pour les cheminots
En effet, la famille Keçecizade est associée à plusieurs marques célèbres de produits de luxe. L'une des marques les plus remarquables associées à la famille est « Serkisof Demiryolu Saatleri » (Montres Serkisof Railroad). Cette marque a été fondée par Keçecizade Nureddin Pacha à la fin du XIXe siècle et s'est fait connaître grâce à ses montres de poche de haute qualité conçues spécifiquement pour les cheminots. La marque est devenue synonyme de précision et de fiabilité. De plus, la famille Keçecizade est connue pour son association avec la marque de bijoux de luxe « Keçecizade Mücevherat » (Bijoux Keçecizade). Keçecizade Mücevherat est réputée pour ses créations exquises, notamment des bijoux raffinés fabriqués avec des pierres précieuses et des métaux précieux de haute qualité. Serkisof Demiryolu Saatleri et Keçecizade Mücevherat sont devenues des marques de luxe turques emblématiques associées à l'héritage et au savoir-faire de la famille Keçecizade.
Famille Keçecizade, une longue histoire dans l'industrie du luxe
Les fondateurs de K.Serkisoff & Co, également connu sous le nom de Keçecizade Serkisof, étaient Keçecizade Nureddin Pacha et son frère Keçecizade İbrahim Pacha. Il s'agissait de membres éminents de la famille Keçecizade, qui avait une longue histoire dans l'industrie du luxe en Turquie. Keçecizade Nureddin Pacha et Keçecizade İbrahim Pacha ont fondé l'entreprise à la fin du 19ème siècle. Keçecizade Nureddin Pacha, en particulier, a joué un rôle important dans la création et le succès de l'entreprise. Il était connu pour son expertise en horlogerie et son dévouement à la production de montres de haute qualité. Ensemble, les frères ont jeté les bases de K.Serkisoff & Co, qui est devenue une marque renommée associée aux montres et bijoux de luxe en Turquie.L'histoire et le savoir-faire de la famille restent partie intégrante du patrimoine de l'entreprise, soulignant leur engagement envers l'artisanat, l'élégance et les compétences horlogères de haute précision.
L'influence des Indes
La montre de poche de Gandhi signalant ses heures de prière
S'agissant des années d'apprentissage dans l'horlogerie de Théophile Lognoné, Léon Lognoné et Marie Lognoné (1897-1984), la bijouterie-horlogerie de leur père, Théophile Joseph Lognoné où ils ont travaillé pendant leur jeunesse était un comptoir détaillant de la marque horlogère suisse Zenith, fondée par Georges Favre-Jacot et récompensée par le Grand prix de l'Exposition universelle de 1900.
Parmi les personnalités ayant porté une montre Zénith, figure notamment Gandhi. Une montre de poche (à gousset) Zenith en argent était devenue l'une de ses rares possessions matérielles et accompagnait son quotidien, signalant notamment ses heures de prière grâce à une fonction d'alarme.
Les prières et l'influence de quête spirituelle
À la croisée des sciences, des arts et de la technique
Les savoir-faire en mécanique horlogère et mécanique d'art sont inscrits depuis 2020 (15.COM) sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité[5].
À la croisée des sciences, des arts et de la technique, les savoir-faire en mécanique horlogère et mécanique d’art permettent de créer des objets d’horlogerie destinés à mesurer et indiquer le temps (montres, pendules, horloges et chronomètres), des automates d’art et des androïdes mécaniques, des sculptures et des tableaux animés, des boîtes à musique et des oiseaux chanteurs. Ces objets techniques et artistiques comportent un dispositif mécanique permettant de générer des mouvements ou d’émettre des sons. Si les mécanismes sont généralement cachés, ils peuvent également être visibles, et cela contribue à la dimension poétique et émotionnelle de ces objets.
Une forte dimension philosophique
La pratique véhicule de nombreuses valeurs telles que le goût du travail bien fait, la ponctualité, la persévérance, la créativité, la dextérité et la patience. Par ailleurs, la quête infinie de précision et l’aspect intangible de la mesure du temps donnent à cette pratique une forte dimension philosophique.
La mesure du temps au carrefour des sociétés civiles et religieuses
L'exemple de l'église paroissiale Saint-Louis de Vildé-la-Marine
L'église paroissiale Saint-Louis de Vildé-la-Marine est l'œuvre de l'architecte malouin Jean-Gabriel Frangeul (corps des édifices) et de son fils Alfred-Louis Frangeul (tours et massifs occidentaux). Elle a été réalisée en deux temps : 1855 puis 1870[6].
- Église Saint-Louis de Vildé-la-Marine[7].
La participation de l'orfèvre-horloger Léon Lognoné (1899 - 1984)
Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Louis compte une horloge d'exception réalisée par l'orfèvre-horloger Léon Lognoné (1899 - 1984), inscrite à l'inventaire du patrimoine culturel de la région Bretagne[8].
Au milieu du 19e siècle, l'architecte malouin Jean-Gabriel Frangeul reconstruit l'église Saint-Louis démolie en 1793. Le mobilier très simple, et dont on peut souligner l'homogénéité, est le fruit de deux campagnes principales.
Une évolution architecturale progressive
Pendant la première, vers 1850, apparaissent les autels secondaires de style néoclassique, oeuvres d'artisans locaux, et la très belle chaire, dont les panneaux galbés sont recouverts d'un placage d'orme et dont Frangeul fournit probablement le dessin à deux menuisiers du pays : J. M. Bunel et J. Lemercier, qui travaillent sous la direction du recteur. L'ensemble des bancs de chêne, réalisé peu après, est encore conservé, de même qu'une partie de la clôture du sanctuaire qui reprend, à presque 50 ans d'intervalle, le dessin de celle de Saint-Etienne de Rennes (1819).
L'influence d'Arthur Regnault connu à Rennes pour ses édifices religieux d'inspiration orientale
Vers 1890, alors qu'il dirige les travaux de restauration des autels, l'architecte diocésain Arthur Regnault, fidèle à son habitude de conserver et de mettre en valeur le mobilier en place, donne au sculpteur Pierre Aubert, de Romillé, le dessin des retables latéraux, dans le style néo-Renaissance. Dans le même temps, Aubert construit le "panneau supérieur" du retable du maître-autel : c'est donc sa main que l'on pourrait voir dans le second niveau et dans le décor des parties basses dont les chutes de fleurs vigoureuses s'opposent au reste de la sculpture de l'autel et du tabernacle, plus plate et maladroite. Dans les niches des retables, sont disposées des statues saint-sulpiciennes sorties de l'atelier de Raffl, dont se distingue celle de Notre-Dame des Victoires, particulièrement remise à l'honneur à cette date. En 1900, un ensemble de verrières décoratives est mis en place par le maître verrier angevin Jean Clemens.
Face à l'entrée sud, la statue en bois de saint Louis, de bonne facture, est traitée dans l'esprit du 17e siècle : il porte la couronne d'épines, la main de justice et un manteau semé de fleurs de lys ; la présence à son cou du collier de l'ordre de Saint-Michel, rétabli de 1815 à 1830, pourrait consolider l'hypothèse de datation vers 1820.
Lors de cette enquête, il n'a été ouvert aucun dossier sur les cloches. Par convention, on considère que l'église est orientée est-ouest ; les verrières sont numérotées impaires au nord, paires au sud, en commençant par l'est[9].
Le savoir-faire d'Arthur Regnault exporté à l'étranger
Il est surtout connu pour ses édifices religieux, des églises d'inspiration orientale comme l'église Sainte-Jeanne-d'Arc de Rennes ou encore les églises de Saint-Senoux et de Corps-Nuds aux clochers à bulbes néo-byzantins très atypiques dans le paysage breton.
Centralien de formation (promotion 1859),Arthur Regnault en sort ingénieur diplômé à l'âge de 20 ans. Il a construit, agrandi, transformé ou réparé plus de 150 édifices publics ou privés principalement en Ille-et-Vilaine et dans les départements voisins. Certains de ses plans ont été exportés au Canada (Halifax, Caraquet, Église Sainte-Marie en Nouvelle-Écosse, église Saint-Cœur-de-Marie à Québec).
En 1911, Arthur Regnault reçoit la médaille d'or de l'Association Provinciale des Architectes Français.
La tombe d'Arthur Regnault est située au cimetière du Nord (Rennes).
Rennes et les manufactures d'horlogerie
Rennes et les manufactures d'horlogerie regroupent la science, la technique, l'art, l'industrie, le commerce des instruments propres à mesurer le temps.
On peut distinguer trois catégories d'horlogeries :
- l'horlogerie ancienne décrivant différents types d'instruments, dits horologia pouvant indiquer les heures anciennes, tels les cadrans solaires, horloges hydrauliques, sablier ;
- l'horlogerie traditionnelle à l'origine entièrement mécanique, invention de la fin du XIIIe siècle dite simplement horlogerie ; elle concerne les horloges mécaniques, montres et pendules ;
- l'horlogerie actuelle où les mécanismes d'horlogerie mécanique sont remplacés par des fonctions non mécaniques : systèmes électroniques, informatiques, etc.
Il se peut que des instruments soient à la croisée de catégories différentes comme les horloges électriques ayant des composants mécaniques et une motorisation électrique par exemple.
Rennes et l'horlogerie ancienne
Le patrimoine horloger ancien s'exprime à travers les nombreux Cadrans solaires de Rennes (Parlement, hôtel de ville, Beauregard, Villejean, Beaulieu).
Plus discret que le grand cadran solaire au fronton de son voisin, le palais du Parlement de Bretagne, le cadran solaire de l'hôtel de ville de Rennes, dont les dimensions ne sont pourtant pas minimes, est bien différent.
Rennes et l'horlogerie traditionnelle
La célébration du 50ème anniversaire du jumelage entre Rennes et Exeter a été l’occasion de mettre en valeur quatre horloges, les deux astronomiques des deux villes et puis celles des gares en mouvement.
Depuis le 16 décembre 2020, l’UNESCO a inscrit les savoir-faire en mécanique horlogère et mécanique d’art sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Cette inscription met en valeur une tradition vivante emblématique (Jura Suisse) mais aussi une histoire souvent oubliée d'un « arc horloger » transmanche avec nos voisins britanniques et la baie du Mont-Saint-Michel pour développer les industries Probiomer. Et y exploiter des minéraux marins et coquillages à l'immense richesse.
Rennes et l'horlogerie actuelle
Le Lycée Jean Jaurès de Rennes recevait en 2014 une délégation de la manufacture d'horlogerie de luxe suisse Jaeger-LeCoultre. En présence de la conseillère régionale Marie-Pierre Rouger et de l'inspectrice académique Michèle Caine, un partenariat a été signé. Celui-ci permettra aux élèves de suivre des formations en milieu professionnel au sein d'une des plus prestigieuses maisons, dont la fondation remonte à la première moitié du XIXe siècle[10].
Rennes et Exeter
Un royaume de l’horloge qui résiste à son temps depuis 1956
La célébration du 50ème anniversaire du jumelage entre Rennes et Exeter a été l’occasion de mettre en valeur quatre horloges, les deux astronomiques des deux villes et puis celles des gares en mouvement..
Références
Bibliographie
- Vildé-la-Marine : mon village dans l'histoire - éditions du Phare - Trouver dans les bibliothèques de Rennes
- ↑ http://www.collections.musee-bretagne.fr/resultat.php?type_rech=rs&index%5B%5D=fulltext&bool%5B%5D=&reset=1&nr=1&value%5B%5D=Lognon%C3%A9
- ↑ https://patrimoines-archives.morbihan.fr/decouvrir/instants-dhistoire/les-millesimes-du-patrimoine/voyage-de-napoleon-iii-en-aout-1858
- ↑ https://www.mir-rennes.fr/evenement/foire-elisa-napoleon-baciocchi-un-marche-international-pour-la-paix/
- ↑ http://www.placepublique-rennes.com/article/Immigrants-turcs-une-presence-qui-saffirme-a-Rennes-1
- ↑ https://ich.unesco.org/fr/RL/les-savoir-faire-en-mecanique-horlogere-et-mecanique-d-art-01560
- ↑ Véronique Orain (Dir.), Ille-et-Vilaine. Églises et chapelles. Indicateurs du patrimoine., Association pour l'inventaire Bretagne, Rennes, 1996, {{#invoke:Biblio|ISBN}}.
- ↑ Modèle:Base Mérimée.
- ↑ https://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/horloge/d119c787-f73c-4b34-b39e-560c74d6ac56
- ↑ https://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/le-mobilier-de-l-eglise-paroissiale-saint-louis-hirel/1471ca0d-f83b-44dc-be9c-57ba7061b0c7
- ↑ https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/partenariat-entre-le-lycee-jaures-et-jaeger-lecoultre-2679558