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En 1889, la ville décide de modifier le profil de la chaussée et l'année suivante un rang d'arbres est supprimé sur chaque digue pour établir la chaussée de 7 m. En 1893, les habitants indiquent que la construction des trottoirs et le comblement des fossés ne sont toujours pas réalisés. | En 1889, la ville décide de modifier le profil de la chaussée et l'année suivante un rang d'arbres est supprimé sur chaque digue pour établir la chaussée de 7 m. En 1893, les habitants indiquent que la construction des trottoirs et le comblement des fossés ne sont toujours pas réalisés. | ||
[[Fichier:La_vilaine_canalisee_dans_Rennes_en_1937.jpeg|400px|left|thumb|De l'ouest vers l'est, en 1937 la Vilaine canalisée, non couverte de part et d'autre de la place de la République vers le pont de Strasbourg, au fond avec, à gauche, l'avenue Aristide Briand<ref>''Rennes capitale accueillante vous ouvre la porte de l'admirable Bretagne'' - plaquette éditée par la municipalité de Rennes - 1937</ref>.]]En 1899, les habitants du Mail-Donges se plaignent que la circulation piétonne est rendue impossible par la présence de la voie ferrée des tramways départementaux, les [[T.I.V.]], et redemandent la construction de trottoirs dont en 1913, M. Château, entrepreneur à Granville (Manche), est adjudicataire, travaux auxquels les habitants participent financièrement pour la partie comprise entre la [[rue Kléber]] et la [[rue de Châteaudun]]. L'année suivante, les trottoirs et les caniveaux sont construits depuis la rue de Châteaudun jusqu'au boulevard de Strasbourg. Le bel immeuble de rapport, aux n° 27 et 29, fut construit en 1909 par l'entrepreneur Poivrel, sur les plans de P. Deslandes, pour un promoteur qui possédait un hôtel particulier construit un an plus tôt sur la parcelle voisine<ref>Glad. Inventaire topographique par Isabelle Barbedor - 1998</ref>. | [[Fichier:La_vilaine_canalisee_dans_Rennes_en_1937.jpeg|400px|left|thumb|De l'ouest vers l'est, en 1937 la Vilaine canalisée, non couverte de part et d'autre de la place de la République vers le pont de Strasbourg, au fond avec, à gauche, l'avenue Aristide Briand<ref>''Rennes capitale accueillante vous ouvre la porte de l'admirable Bretagne'' - plaquette éditée par la municipalité de Rennes - 1937</ref>.]] | ||
[[Fichier:Canal_de_l%27est_vers_l%27ouest.png|400px|left|thumb|De l'est vers l'ouest le canal avec, à droite l'avenue Aristide Briand, l'écluse, et, à gauche l'avenue Sergent Maginot qui ne débouche pas jusqu'au pont de Strasbourg]] | |||
En 1899, les habitants du Mail-Donges se plaignent que la circulation piétonne est rendue impossible par la présence de la voie ferrée des tramways départementaux, les [[T.I.V.]], et redemandent la construction de trottoirs dont en 1913, M. Château, entrepreneur à Granville (Manche), est adjudicataire, travaux auxquels les habitants participent financièrement pour la partie comprise entre la [[rue Kléber]] et la [[rue de Châteaudun]]. L'année suivante, les trottoirs et les caniveaux sont construits depuis la rue de Châteaudun jusqu'au boulevard de Strasbourg. Le bel immeuble de rapport, aux n° 27 et 29, fut construit en 1909 par l'entrepreneur Poivrel, sur les plans de P. Deslandes, pour un promoteur qui possédait un hôtel particulier construit un an plus tôt sur la parcelle voisine<ref>Glad. Inventaire topographique par Isabelle Barbedor - 1998</ref>. | |||
En 1886, on posa des canalisations de gaz pour éclairer la voie entre la cale de Viarmes et la rue de Châteaudun, car il n'existe que cinq lanternes espacées de 125 m. Les supports de câbles électriques sont posés en 1903. | En 1886, on posa des canalisations de gaz pour éclairer la voie entre la cale de Viarmes et la rue de Châteaudun, car il n'existe que cinq lanternes espacées de 125 m. Les supports de câbles électriques sont posés en 1903. |
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