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(13 août 1888 - 18 juillet 1944 )
(13 août 1888 - 18 juillet 1944 )


Le 28 novembre [[1943]], la Gestapo l'arrête à sa ferme en Saint-Brieuc-des-Iffs, avec son frère Albert, ses fils Jean et Marie, Eugène Charpentier et Henri Levey, les domestiques, Louis Moyne agent du réseau ''Buckmaster'', et un soldat anglais détaché à l'organisation du réseau. Un dépôt d'armes de 3 tonnes parachutées fut découvert dans un champ dépendant de la ferme. Déportés de Compiègne le 6 avril 1944 vers Mauthausen. Seul son fils Jean survivra.
Le 28 novembre [[1943]], la Gestapo l'arrête à sa ferme en Saint-Brieuc-des-Iffs, avec son frère Albert, ses fils Jean et Marie, Eugène Charpentier et Henri Levey, les domestiques, Louis Moyne agent du réseau ''Buckmaster'', et un soldat anglais détaché à l'organisation du réseau. Un dépôt de 3 tonnes d'armes parachutées fut découvert dans un champ dépendant de la ferme. Déportés de Compiègne le 6 avril 1944 vers Mauthausen. Seul son fils Jean survivra.


Un monument rappelle le sacrifice de ces résistants, érigé près de l'église de Saint-Brieuc-des-Iffs
Un monument rappelle le sacrifice de ces résistants, érigé près de l'église de Saint-Brieuc-des-Iffs

Version du 19 juillet 2012 à 16:41


La rue Jean Nobilet est en liaison avec le boulevard Emile Combes au nord et la rue Cécile Brunschvicg au sud.

Elle rappelle :

Jean-Baptiste Nobilet

résistant, mort en déportation

(13 août 1888 - 18 juillet 1944 )

Le 28 novembre 1943, la Gestapo l'arrête à sa ferme en Saint-Brieuc-des-Iffs, avec son frère Albert, ses fils Jean et Marie, Eugène Charpentier et Henri Levey, les domestiques, Louis Moyne agent du réseau Buckmaster, et un soldat anglais détaché à l'organisation du réseau. Un dépôt de 3 tonnes d'armes parachutées fut découvert dans un champ dépendant de la ferme. Déportés de Compiègne le 6 avril 1944 vers Mauthausen. Seul son fils Jean survivra.

Un monument rappelle le sacrifice de ces résistants, érigé près de l'église de Saint-Brieuc-des-Iffs