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Elu maire de Rennes en 1855, à la suite de la démission de [[Frédéric de Moncuit]], il fut révoqué pour ses idées légitimistes en avril 1861.
Elu maire de Rennes en 1855, à la suite de la démission de [[Frédéric de Moncuit]], il fut révoqué pour ses idées légitimistes en avril 1861.


Il fut l’auteur d’un plan d’aménagement urbain entre 1852 et 1855 et recruta [[Jean-Baptiste Martenot]] comme architecte de la Ville. De nombreux ouvrages datent de cette époque, comme la gare de Rennes avec l'[[arrivée du chemin de fer à Rennes]] en 1857.
Ayant déclaré :"''Notre honneur exige qu'en 1855 nous léguions à nos descendants un plan digne d'être la continuation de l'oeuvre de 1720"'', il fut l’auteur d’un ambitieux plan d’aménagement urbain entre 1852 et 1855, notamment pour le développement de la ville au sud de la Vilaine et recruta, après de longues négociations avec celui-ci, [[Jean-Baptiste Martenot]], âgé de 27 ans, comme architecte de la Ville.On combla le canal des murs et fut créé l'actuel [[boulevard de la Liberté]]. De nombreux ouvrages datent de cette époque, comme la reconstruction du théâtre incendié,l'[[Hôtel-Dieu]], le lycée, la gare de Rennes avec l'[[arrivée du chemin de fer à Rennes]] en 1857.<ref> ''Rennes au XIXe siècle, architectes, urbanisme et architecture'', par Jean-Yves Veillard.  Editions du Thabor -1978</ref>
 
===références===
 
<references/>

Version du 25 novembre 2011 à 17:46


La rue de Léon se situe en prolongement de la rue Hippolyte Lucas, parallèlement à la rue Dupont des Loges et rejoint la rue de la Bourdonnaye. Elle fut créée avec ces trois rue dans le cadre du lotissement dit de la Californie à la fin du 19e siècle et entra dans le domaine public en 1908.


Elle porte le nom de :

Ange Léon des Ormeaux (1807-1873 à Rennes).

Elu maire de Rennes en 1855, à la suite de la démission de Frédéric de Moncuit, il fut révoqué pour ses idées légitimistes en avril 1861.

Ayant déclaré :"Notre honneur exige qu'en 1855 nous léguions à nos descendants un plan digne d'être la continuation de l'oeuvre de 1720", il fut l’auteur d’un ambitieux plan d’aménagement urbain entre 1852 et 1855, notamment pour le développement de la ville au sud de la Vilaine et recruta, après de longues négociations avec celui-ci, Jean-Baptiste Martenot, âgé de 27 ans, comme architecte de la Ville.On combla le canal des murs et fut créé l'actuel boulevard de la Liberté. De nombreux ouvrages datent de cette époque, comme la reconstruction du théâtre incendié,l'Hôtel-Dieu, le lycée, la gare de Rennes avec l'arrivée du chemin de fer à Rennes en 1857.[1]

références

  1. Rennes au XIXe siècle, architectes, urbanisme et architecture, par Jean-Yves Veillard. Editions du Thabor -1978