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La rue du Sergent Guihard, axée nord-sud, relie la [[rue de Paris]] à la [[rue Kléber]]. De son ouverture, vers 1895 jusqu'aux années trente, elle porta le nom de rue de Bel-Air. Au n° 18 on trouve une église du rite orthodoxe.
La rue du Sergent Guihard, axée nord-sud, relie la [[rue Martenot]] à la [[rue Kléber]]. De son ouverture, vers 1895 jusqu'aux années trente, elle porta le nom de rue de Bel-Air. Au n° 18 on trouve une église du rite orthodoxe.


La rue de Bel-Air fut débaptisée pour recevoir le nom du sergent Guihard, sergent sapeur-pompier, et sergent-major des Hospitaliers Sauveteurs Bretons, qui perdit la vie en tentant de porter secours à deux employés de la compagnie du Bourbonnais asphyxiés par des émanations de gaz surpressé dans une fosse comportant un détendeur, rue de Bel-Air, le 27 mars 1933. Une explosion et un incendie tuèrent les deux employés et celui qui était descendu pour les sauver.
La rue de Bel-Air fut débaptisée pour recevoir le nom du sergent Guihard, sergent sapeur-pompier, et sergent-major des Hospitaliers Sauveteurs Bretons, qui perdit la vie en tentant de porter secours à deux employés de la compagnie du Bourbonnais asphyxiés par des émanations de gaz surpressé dans une fosse comportant un détendeur, rue de Bel-Air, le 27 mars 1933. Une explosion et un incendie tuèrent les deux employés et celui qui était descendu pour les sauver.

Version du 24 décembre 2011 à 13:03


La rue du Sergent Guihard, axée nord-sud, relie la rue Martenot à la rue Kléber. De son ouverture, vers 1895 jusqu'aux années trente, elle porta le nom de rue de Bel-Air. Au n° 18 on trouve une église du rite orthodoxe.

La rue de Bel-Air fut débaptisée pour recevoir le nom du sergent Guihard, sergent sapeur-pompier, et sergent-major des Hospitaliers Sauveteurs Bretons, qui perdit la vie en tentant de porter secours à deux employés de la compagnie du Bourbonnais asphyxiés par des émanations de gaz surpressé dans une fosse comportant un détendeur, rue de Bel-Air, le 27 mars 1933. Une explosion et un incendie tuèrent les deux employés et celui qui était descendu pour les sauver.

Des obsèques solennelles furent organisées par la ville de Rennes avec chapelle ardente à l'hôtel-de-ville et cérémonie à l'église Notre-Dame.[1]

références

  1. Ouest-Eclair du 28 mars 1933