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Cette voie fait référence à une maison de l'ancienne Chevalerie du Duché de Bretagne.
Cette voie fait référence à une maison de l'ancienne Chevalerie du Duché de Bretagne.
La '''rue du Bobéril''' ne s'inscrit pas dans le quartier de Bréquigny par hasard:
" A Rennes, au XVIIème siècle, on retrouve un certain René du Bobéril marié à Julienne Hévin, la fille d'un certain Pierre Hevin, jurisconsulte et procureur-syndic de Rennes qui est l'équivalent actuel de maire. Ce gendre, René du Bobéril du Molant, après la mort de sa femme, a hérité d'un hôtel particulier qu'avait construit Pierre Hévin<ref>[[rue Pierre Hévin]]</ref>, au bas de la [[place des Lices]], et qui porte maintenant le nom d'[[Hôtel du Moland]]. Il est probable que ce soit un descendant qui était propriétaire du château de Bréquigny, dans les années 1930. "<ref>Quiz de la Caravane des Quartiers : http://metropole.rennes.fr/fileadmin/rrm/documents/Politiques_publiques/Elus_et_institutions/La_Politique_quartiers/Docs/Brequigny/Quiz_Caravane_de_Quartier12-Reponses.pdf</ref>


== Sur la carte ==
== Sur la carte ==

Version actuelle datée du 6 novembre 2015 à 10:09

La rue du Bobéril se situe dans le quartier 12 : Bréquigny entre l'avenue Georges Graff et le square de Menou. Cette voie fut dénommée par délibération du Conseil Municipal de la Ville de Rennes le 28 octobre 1966 puis prolongée par délibération du Conseil Municipal de la Ville de Rennes le 27 novembre 1972[1].

Cette voie fait référence à une maison de l'ancienne Chevalerie du Duché de Bretagne.

La rue du Bobéril ne s'inscrit pas dans le quartier de Bréquigny par hasard:

" A Rennes, au XVIIème siècle, on retrouve un certain René du Bobéril marié à Julienne Hévin, la fille d'un certain Pierre Hevin, jurisconsulte et procureur-syndic de Rennes qui est l'équivalent actuel de maire. Ce gendre, René du Bobéril du Molant, après la mort de sa femme, a hérité d'un hôtel particulier qu'avait construit Pierre Hévin[2], au bas de la place des Lices, et qui porte maintenant le nom d'Hôtel du Moland. Il est probable que ce soit un descendant qui était propriétaire du château de Bréquigny, dans les années 1930. "[3]

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