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La '''rue Barbey d'Aurevilly''' se situe dans le quartier 8 : Sud-Gare entre la [[rue Pierre Corneille]] et la [[rue Bernard Salmon]]. Cette voie fut dénommée par délibération du Conseil Municipal de la Ville de Rennes le 27 octobre 1938<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D313 Archives de Rennes]</ref>.  
[[File:Barbey.jpg|thumb|Jules Barbey d'Aurevilly en 1882 par Emile Lévy|200x200px]]La '''rue Barbey d'Aurevilly''' se situe dans le quartier 8 : Sud-Gare entre la [[rue Pierre Corneille]] et la [[rue Bernard Salmon]], et à moins d'une centaine de mètres de la [[rue Octave Mirbeau]]. Cette voie fut dénommée par délibération du Conseil Municipal de la Ville de Rennes le 27 octobre 1938<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D313 Archives de Rennes]</ref>.  


Cette voie rend hommage à Jules Barbey d'Aurevilly, littérateur et romancier (1808 - 1889)
Cette voie rend hommage à {{w|Jules Barbey d'Aurevilly}}, littérateur et romancier (2 novembre 1808, Saint-Sauveur-le-Vicomte, Manche - 23 avril 1889, Paris)
 
Jules Barbey d'Aurevilly achève ses études secondaires au collège Stanislas, à Paris, puis s'inscrit en 1831 à la faculté de droit de Caen. Après plusieurs années à mener une vie de dandy à Paris, Barbey revient au catholicisme pur et dur et au royalisme le plus intransigeant. Il devient rédacteur en chef de la "''Revue du monde catholique''". Il mène par la suite une activité considérable de critique littéraire.
 
Dans les années 1870, le rennais [[Paul Féval]] s'est rapproché du normand Jules Barbey d'Aurevilly. Ce dernier a aussi pour relations Paul Bourget<ref>[[rue Paul Bourget]]</ref> et Jean Richepin<ref>[[rue Jean Richepin]]</ref>. L'écrivain et critique d'art Octave Mirbeau vouait une admiration inconditionnelle à Jules Barbey d'Aurevilly, qui l'a fortement influencé à ses débuts.
 
Son œuvre critique est dense, la plupart de ses victimes portent des noms illustres : Victor Hugo<ref>[[rue Victor Hugo]]</ref>, George Sand<ref>[[rue George Sand]]</ref>, Jules Michelet<ref>[[rue Michelet]]</ref>, Ernest Renan<ref>[[rue Ernest Renan]]</ref>, Gustave Flaubert<ref>[[rue Gustave Flaubert]]</ref>, Émile Zola<ref>[[quai Émile Zola]]</ref>...


== Sur la carte ==
== Sur la carte ==

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Jules Barbey d'Aurevilly en 1882 par Emile Lévy

La rue Barbey d'Aurevilly se situe dans le quartier 8 : Sud-Gare entre la rue Pierre Corneille et la rue Bernard Salmon, et à moins d'une centaine de mètres de la rue Octave Mirbeau. Cette voie fut dénommée par délibération du Conseil Municipal de la Ville de Rennes le 27 octobre 1938[1].

Cette voie rend hommage à Jules Barbey d'Aurevilly Wikipedia-logo-v2.svg, littérateur et romancier (2 novembre 1808, Saint-Sauveur-le-Vicomte, Manche - 23 avril 1889, Paris)

Jules Barbey d'Aurevilly achève ses études secondaires au collège Stanislas, à Paris, puis s'inscrit en 1831 à la faculté de droit de Caen. Après plusieurs années à mener une vie de dandy à Paris, Barbey revient au catholicisme pur et dur et au royalisme le plus intransigeant. Il devient rédacteur en chef de la "Revue du monde catholique". Il mène par la suite une activité considérable de critique littéraire.

Dans les années 1870, le rennais Paul Féval s'est rapproché du normand Jules Barbey d'Aurevilly. Ce dernier a aussi pour relations Paul Bourget[2] et Jean Richepin[3]. L'écrivain et critique d'art Octave Mirbeau vouait une admiration inconditionnelle à Jules Barbey d'Aurevilly, qui l'a fortement influencé à ses débuts.

Son œuvre critique est dense, la plupart de ses victimes portent des noms illustres : Victor Hugo[4], George Sand[5], Jules Michelet[6], Ernest Renan[7], Gustave Flaubert[8], Émile Zola[9]...

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