A l'occasion des 80 ans de la libération de Rennes, (re)découvrez l'ensemble des
contributions autour de la Seconde Guerre mondiale et de la libération sur Wiki-Rennes.
« 1956 » : différence entre les versions
De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche (les Rennais voient rouge) |
(lien interne) |
||
| (2 versions intermédiaires par 2 utilisateurs non affichées) | |||
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
* L'invasion de la Hongrie par l'URSS exacerbe les convictions anticommunistes. Des Rennais décident d'envoyer des colis par solidarité et rendez-vous leur est donné à midi place de la Mairie. Une fois les discours des formations politiques terminés, une partie des participants se dirige vers le siège du parti [[rue des Dames]] et dévaste son local, les pompiers devant intervenir. Ensuite, [[place Rallier | * [[8 novembre 1956 : une colère rennaise]] L'invasion de la Hongrie par l'URSS exacerbe les convictions anticommunistes. Des Rennais décident d'envoyer des colis par solidarité et rendez-vous leur est donné à midi [[place de la Mairie]]. Une fois les discours des formations politiques terminés, une partie des participants se dirige vers le siège du parti [[rue des Dames]] et dévaste son local, les pompiers devant intervenir. Ensuite, [[place Rallier du Baty]], sont détruites avec la même détermination les rotatives du quotidien communiste [[Ouest-Matin]], celui-ci ayant cessé de paraître le 15 juin<ref>''Les années 50 en Ille-et-Vilaine'', hors-série Ouest-France [[2005]], p. 45.</ref>. | ||
==Naissance== | |||
*[[Gilles Barbedette]] | |||
==Notes et références== | ==Notes et références== | ||
Version actuelle datée du 16 mars 2018 à 20:36
- 8 novembre 1956 : une colère rennaise L'invasion de la Hongrie par l'URSS exacerbe les convictions anticommunistes. Des Rennais décident d'envoyer des colis par solidarité et rendez-vous leur est donné à midi place de la Mairie. Une fois les discours des formations politiques terminés, une partie des participants se dirige vers le siège du parti rue des Dames et dévaste son local, les pompiers devant intervenir. Ensuite, place Rallier du Baty, sont détruites avec la même détermination les rotatives du quotidien communiste Ouest-Matin, celui-ci ayant cessé de paraître le 15 juin[1].
