Table d'orientation - Quai des futurs

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La démolition du parking Vilaine, construit dans les années 1960. Un véritable serpent de mer
Le deuxième scénario de transformation du parking Vilaine en un grand parc a été écarté par le conseil municipal de Rennes.

La Table d'orientation du Quai des futurs est un projet citoyen imaginé comme tremplin au pavillon des femmes déployé à l'Exposition universelle d'Osaka (Japon) et vise à intégrer la notion de matrimoine dans la construction de la cité à horizon 2030.

Cette table d'orientation est mise en débat dans le cadre du budget participatif au sein de la fabrique citoyenne - ville de Rennes.

Cette proposition s'appuie sur le champ prospectif des thèses et écrits académiques de Louis Lemarié et du plaidoyer de son épouse Aline Marie Pauline Lognoné en faveur de la défense de l'honneur des femmes si engagées à servir (et notamment des "Travailleuses de la Mer").

Une table d'orientation entre la Bretagne et le Japon avait déjà été envisagée dans l'île d'Awaji, en face du port de Kobé, en baie d'Osaka. Un bloc de granit avait été extrait de l'île Verte, devant l'île de Batz, pour rejoindre l'île d'Awaji, en baie d'Osaka. Ce bloc devait devenir table d'orientation. En janvier 1995, un tremblement de terre a anéanti la région et enterré à jamais le projet.

Reconstruire une ville à la confluence de l'eau : un serpent de mer

Contexte du chantier de réaménagement des quais

Le lancement du grand chantier de réaménagement des quais de Vilaine, au second semestre 2025, marquera le centre de Rennes[1].

Phytolab (paysagiste), associé à Ingérop (bureau d’études techniques), agence Unité (architecte), Studio Vicarini (concepteur lumière) et Biotope (écologues) ont été retenus par Rennes Métropole pour concevoir le projet d’aménagement des quais de Vilaine[2].

Découverture du parking Vilaine et restauration de l'axe fluvial : une Place de la République revégétalisée

Le reste de l’opération de transformation de l’hypercentre, avec espaces végétalisés, gradins et nouvelle passerelle, devrait durer trois ans[3].

Passerelle, pontons, jardins flottants… quel nouveau visage de Rennes ?

184 arbres seront plantés et plus de 5 000 m2 d’espace public seront végétalisés ou désimperméabilisés.

Deux gradins surplomberont le fleuve. L’un sera près de la place de Bretagne et « orienté vers le soleil levant ». L’autre, adossé au pont de Nemours, « offrira un point de vue vers le soleil couchant ».

Des pontons flottants ont aussi été imaginés le long du quai Duguay-Trouin. Cette nouvelle zone de promenade permettra aux passants de bénéficier « d’un point de vue très particulier, méconnu, lance le délégué à l’urbanisme. On a l’habitude d’être en surplomb de la Vilaine, là, on sera au ras de l’eau ». D’autre part, le nombre de jardins flottants augmentera[4].

Côté est, « un encorbellement (construction en saillie sur le pan d’un mur, NDLR) sur la Vilaine sera créé face au Musée des beaux-arts, afin d’élargir le trottoir nord du quai Zola et d’améliorer ainsi le confort des usagers de la future station de Trambus »

La voie des femmes largement invisibilisées dans l'histoire de Rennes, ville de tanneurs et sa relation inhérente à l'eau

Le travail du cuir fait partie de l'histoire de Rennes et notamment son importance a été soulignée sous la mandature d'Edgar Le Bastard.

C'est la concurrence du chemin de fer qui entraina le déclin de la batellerie sur le canal. Disparition définitive ? Qui sait...

Un table d'orientation : un mélange de chaleur humaine, d'histoire vibrante et de paysages à couper le souffle

Rennes, une ville qui surprendre, toucher et marquer bien plus qu'on ne pourrait l'imaginer

Développer une magie rare où chaque sourire semble sincère, où les rencontres ne sont jamais banales. Que ce soit dans un café, en discutant avec un passionné d'histoire ou simplement en ne promenant le long de la rivière.

Inspirations de l'autre côté de l'océan : les comptoirs de la traite des fourrures

Le Musée canadien des droits de la personne[5] a de quoi profondément émouvoir. Son architecture audacieuse, sa lumière qui danse sur les murs et surtout les histoires qu'il renferme font réfléchir et ressentir une multitude d'émotions. C'est un lieu qui marque l'âme, qui rappelle à quel point chaque histoire humaine compte.

Puis, il y a The Forks, ce lieu de rencontre où l'histoire et la modernité se mêlent parfaitement. Flâner dans le marché, goûter à des saveurs locales, écouter des musiciens de rue et observer les gens profiter de l'instant présent. Un endroit vivant, chaleureux, où chaque coin recèle une nouvelle surprise.

Winnipeg sait aussi émerveiller par sa nature. Voir les couchers de soleil s'étirer à l'infini sur l'horizon, se perdre dans les sentiers du parc Assiniboine, observer les bisons au parc du fort Whyte...

Quand on quitte cette ville, on comprend que Winnipeg n'est pas un simple arrêt sur une route. C'est une rencontre marquant, un moment suspendu, une émotion gravée dans la mémoire. Winnipeg n'est pas seulement une destination : c'est une expérience, une sensation, un coup de coeur inattendu.

L'histoire de Winnipeg, la Porte de l’Ouest canadien : « Commerce, prudence et industrie »

Winnipeg a été fondé au confluent des rivières Rouge et Assiniboine, près du centre géographique de l’Amérique du Nord[6].

« Winnipeg » est un nom cri qui désigne le lac situé à 65 kilomètres au nord de la ville. « Win » signifie « boueux » et « nipi », « eau ». Ce nom est parfois traduit par « eaux troubles ».