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On se venge comme on peut. Le père Poganne, galettier au coin de la [[rue de la Visitation]] et de la [[rue Motte-Fablet]], refusa de servir des Prussiens au motif qu'ils n'étaient ni bretons, ni français et, pour échapper à leurs menaces sur sa vie, il dut s'exécuter mais étala sur la tuile, du méchant suif au lieu de beurre. | On se venge comme on peut. Le père Poganne, galettier au coin de la [[rue de la Visitation]] et de la [[rue Motte-Fablet]], refusa de servir des Prussiens au motif qu'ils n'étaient ni bretons, ni français et, pour échapper à leurs menaces sur sa vie, il dut s'exécuter mais étala sur la tuile, du méchant suif au lieu de beurre. | ||
<ref>Cuisine traditionnelle de Bretagne, par Simone Morand. Ed. Jean-Paul Gisserot - 1998</ref> | <ref>Cuisine traditionnelle de Bretagne, par Simone Morand. Ed. Jean-Paul Gisserot - 1998</ref> | ||
Il est alors l'un des premiers "''faisoux de galettes''". | |||
M. Henry Jouin, dans son ''Rennes il y a cent ans'', vante « la fine galette de Nelleau-Poganne, rue Beaurepaire, aujourd'hui [[rue Motte-Fablet]], un galette cuite sur la tuile, au feu de bois, « beurrée et molle, sur laquelle se serait épanoui un jaune d'œuf bien cuit. » | |||
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En janvier 1918, voilà que l'on voudrait interdire la fabrication des galettes ! | En janvier 1918, voilà que l'on voudrait interdire la fabrication des galettes ! | ||
== Avril 1941 == | == Avril 1941 == |
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