« Bombardement du 17 juin 1940 : témoignages » : différence entre les versions

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(N.B : ''la famille habitant [[rue de Buféron]], Marc Pépin et sa mère sont à 50 mètres du pont de Nantes et le 2 [[rue de Montfort]], où était le cabinet du docteur Marivint, est à environ 1,2 km '')<ref> renseignements de M. Marc Pépin, recueillis le 10 mai 2012 par Étienne Maignen</ref>
(N.B : ''la famille habitant [[rue de Buféron]], Marc Pépin et sa mère sont à 50 mètres du pont de Nantes et le 2 [[rue de Montfort]], où était le cabinet du docteur Marivint, est à environ 1,2 km '')<ref> renseignements de M. Marc Pépin, recueillis le 10 mai 2012 par Étienne Maignen</ref>
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"17 juin, je suis retourné au travail, non par zèle, mais parce que je ne sais pas où me réfugier. Une immense lueur rouge incendie le ciel et un fracas si épouvantable, que nous croyons voir sauter la poudrière. En réalité cela provient de la gare de triage, bourrée d'explosifs, de trains de réfugiés et de convois militaires. "
''''Yves Keraudren''' <ref> ''Contre-Courant''. Éditions du Scorpion, Paris </ref>




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