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[[Fichier:Caserne_Margueritte_vue_a%C3%A9rienne.png|400px|right|thumb|Vue d'ensemble de la caserne]] | [[Fichier:Caserne_Margueritte_vue_a%C3%A9rienne.png|400px|right|thumb|Vue d'ensemble de la caserne]] | ||
En 1929 y est installé le 505e régiment de chars de combat. En 1936 le ministère de la Guerre envisage l’implantation à Rennes de trois pelotons de gardes mobiles. Au moment de l'ouverture de la [[rue du Garigliano]], on construit donc des logements supplémentaires pour le casernement des gardes mobiles : 12 pavillons destinés au logement, des bâtiments administratifs et des annexes. Xavier de Gaulle, frère aîné de Charles, ingénieur civil des mines, surveille les travaux. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la caserne et les terrains adjacents servent de camp aux Allemands qui y internent notamment des prisonniers de guerre coloniaux et alliés <ref> http://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/caserne-dite-quartier-margueritte-boulevard-jacques-cartier-rennes/e44bf034-c565-4975-8210-1370bee1ed5f</ref> | En 1929 y est installé le 505e régiment de chars de combat. En 1936 le ministère de la Guerre envisage l’implantation à Rennes de trois pelotons de gardes mobiles. Au moment de l'ouverture de la [[rue du Garigliano]], on construit donc des logements supplémentaires pour le casernement des gardes mobiles : 12 pavillons destinés au logement, des bâtiments administratifs et des annexes. Xavier de Gaulle, frère aîné de Charles, ingénieur civil des mines, surveille les travaux. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la caserne et les terrains adjacents servent de camp aux Allemands qui y internent notamment des prisonniers de guerre coloniaux et alliés <ref> http://patrimoine.bzh/gertrude-diffusion/dossier/caserne-dite-quartier-margueritte-boulevard-jacques-cartier-rennes/e44bf034-c565-4975-8210-1370bee1ed5f</ref> | ||
=== 2016 : la caserne | === 2016 : la caserne Général Maurice Guillaudot === | ||
En mai 2016, exit le général Margueritte de la caserne du boulevard Georges-Clemenceau, mais il a toujours son nom pour une rue voisine.<ref>[[Rue Général Margueritte]]</ref> La caserne est rebaptisée du nom de général Maurice Guillaudot, <ref>[[Rue Général Maurice Guillaudot]]</ref> illustre gendarme, déporté-résistant, Compagnon de la Libération, général commandant de la région de gendarmerie de Bretagne. <ref>[[17 juin 1941 : manifestation rennaise]]</ref> La caserne Général Maurice Guillaudot abrite des services de divers échelons : l’état-major de la zone de défense de Rennes, le centre de transmission de la 3e région militaire, la région de gendarmerie de Bretagne, la brigade numérique de la gendarmerie, le groupement de gendarmerie départementale, | En mai 2016, exit le général Margueritte de la caserne du boulevard Georges-Clemenceau, mais il a toujours son nom pour une rue voisine.<ref>[[Rue Général Margueritte]]</ref> La caserne est rebaptisée du nom de général Maurice Guillaudot, <ref>[[Rue Général Maurice Guillaudot]]</ref> illustre gendarme, déporté-résistant, Compagnon de la Libération, général commandant de la région de gendarmerie de Bretagne. <ref>[[17 juin 1941 : manifestation rennaise]]</ref> La caserne Général Maurice Guillaudot abrite des services de divers échelons : l’état-major de la zone de défense de Rennes, le centre de transmission de la 3e région militaire, la région de gendarmerie de Bretagne, la brigade numérique de la gendarmerie, le groupement de gendarmerie départementale, | ||
===Références=== | ===Références=== |
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