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L’assistance à domicile fonctionnait déjà à Rennes ; ce service dénommé « la Marmite des Pauvres », sous la direction des ci-devant Sœurs Grises, et sous la surveillance de la Commission de bienfaisance, secourait un nombre considérable d’indigents.Les sœurs reprirent leur vie communautaire de prière et de service des pauvres et des malades. | L’assistance à domicile fonctionnait déjà à Rennes ; ce service dénommé « la Marmite des Pauvres », sous la direction des ci-devant Sœurs Grises, et sous la surveillance de la Commission de bienfaisance, secourait un nombre considérable d’indigents.Les sœurs reprirent leur vie communautaire de prière et de service des pauvres et des malades. | ||
En [[1849]], le docteur rennais Adolphe Toulmouche | En [[1849]], le docteur rennais Adolphe Toulmouche<ref>[[rue Toulmouche]]</ref>, observe qu'à l'hôpital Saint-Yves, "la mortalité est de 7 1/2, celle de la ville étant de 5 sur 100 habitants, il est mal situé, trop vieux, malpropre, trop petit de moitié, car il faudrait qu'il pût contenir au moins 360 à 400 lits c'est-à-dire un peu plus du centième de la population. En outre, il manque de salles pour les convalescents, de cours, de promenoirs, de jardins où les malades puissent prendre l'air, de lingerie, de séchoirs, de matelasserie, de magasins, de salles pour les femmes en couches. Il est donc urgent de le remplacer." | ||
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trop petit de moitié, car il faudrait qu'il pût contenir au moins 360 à | |||
400 lits c'est-à-dire un peu plus du centième de la population. En outre, il manque de salles pour les convalescents, de cours, de promenoirs, de jardins où les malades puissent prendre l'air, de lingerie, de | |||
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En vue de permettre l'achèvement de la ligne des quais, la translation de cet hospice eut lieu le 21 novembre 1858, au nouvel Hôtel-Dieu construit au nord-ouest de Rennes. | En vue de permettre l'achèvement de la ligne des quais, la translation de cet hospice eut lieu le 21 novembre 1858, au nouvel Hôtel-Dieu construit au nord-ouest de Rennes. | ||
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