Bannière liberation Rennes 2.jpg

A l'occasion des 80 ans de la libération de Rennes, (re)découvrez l'ensemble des
contributions autour de la Seconde Guerre mondiale et de la libération sur Wiki-Rennes.

« De Gaulle à Rennes » : différence entre les versions

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche
aucun résumé des modifications
(relecture)
Aucun résumé des modifications
Ligne 20 : Ligne 20 :




'''Le  31 janvier 1969''' est la date du dernier passage à Rennes du général de Gaulle. Arrivé en Caravelle à l’ [[Aéroport de Rennes – Saint-Jacques]] sous la pluie, il gagne le centre par la [[rue de l’Alma]], passe par les quais et monte à la préfecture. Le lendemain il prend un bain de foule place de la Mairie. A l’hôtel de Ville H. Fréville affirme que «  nous ne séparons pas dans nos affections la Bretagne de la France. Dans sa réponse le général constate que « Rennes, métropole, grande ville industrielle, universitaire et technique lie la péninsule bretonne au reste du corps de la patrie» et il annonce qu'elle sera le chef-lieu d’une région officiellement reconnue comme les autres régions de France ( c’est une des mesures prévues par la réforme constitutionnelle qui sera mise au référendum et repoussée avec toute la réforme, ce qui amènera le général à démissionner de la présidence de la République). Sur la place, parmi les applaudissements, on entend des cris : »Libérez la Bretagne ! » et « Le fascisme ne passera pas ». Puis, pendant une demi-heure le général survola en hélicoptère l’agglomération pour prendre la mesure des efforts universitaires (Baulieu), en matière de logements ( Maurepas et amorce de la ZUP sud) et pour l’industrie ( Citroën qui fournit déjà 8000 emplois).
'''Le  31 janvier 1969''' est la date du dernier passage à Rennes du général de Gaulle. Arrivé en Caravelle à l’   [[ Aéroport de Rennes– Saint-Jacques ]] sous la pluie, il gagne le centre par la [[rue de l’Alma]], passe par les quais et monte à la préfecture. Le lendemain il prend un bain de foule place de la Mairie. A l’hôtel de Ville [[ Henri Fréville]] affirme que «  nous ne séparons pas dans nos affections la Bretagne de la France. Dans sa réponse le général constate que « Rennes, métropole, grande ville industrielle, universitaire et technique lie la péninsule bretonne au reste du corps de la patrie» et il annonce qu'elle sera le chef-lieu d’une région officiellement reconnue comme les autres régions de France ( c’est une des mesures prévues par la réforme constitutionnelle qui sera mise au référendum et repoussée avec toute la réforme, ce qui amènera le général à démissionner de la présidence de la République). Sur la place, parmi les applaudissements, on entend des cris : »Libérez la Bretagne ! » et « Le fascisme ne passera pas ». Puis, pendant une demi-heure le général survola en hélicoptère l’agglomération pour prendre la mesure des efforts universitaires (Baulieu), en matière de logements ( Maurepas et amorce de la ZUP sud) et pour l’industrie ( Citroën qui fournit déjà 8000 emplois).


===références===
===références===
<references/>
<references/>
24 748

modifications

Menu de navigation