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États nominatifs du canton nord-est de Rennes en 1844


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[[Rue Saint-Hélier]]


6e cahier - 7e cahier - ? - 10e cahier - 11e cahier
# 1 - Information en août 1624 concernant Gilles Fallaize, le nommé Lory et le nommé Barillon, pour les coups donnés à Jeanne Ysambart, femme de Julien Bretier, à l'auberge de l'Aigle d'or, rue Saint Hélier, à Rennes. 4 pièces. 2B 1036.


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# 1269 - Interrogatoire le 10 juin 1775 de Michelle Salmon, 48 ans, née à Combourg, fille de Mathurin et d'Yvonne Dumoulin, femme de Jacques David (matelot), marchande de lait, rue Saint Hélier, à Rennes, pour vol de deux vaches appartenant à Julien Jamois, mari de Jeanne Lallouet, fermier laboureur à la métairie de la Galmaudière, rue Saint Hélier, à Rennes, vaches attachés près de l'auberge de l'Aigle d'or, rue Saint Hélier, et qu'ils venaient d'acheter à la foire Saint Georges, le 24 avril 1775. Fouet requis pour elle le 24 novembre 1775, bannissement pendant dix ans pour deux de ses fils, contumaces. Renvoyés preuves néanmoins subsistantes par la sentence du 28 novembre 1775. 2B 1105.
|-
# 2347 - Interrogatoire le 16 février 1786 de Renée Havard, 41 ans, fille fileuse, ou gardienne de malades, près du pont Saint Martin, à Rennes, pour vol de ruches, la nuit du 9 février, appartenant à Jean Dubreil et Charlotte Labbé, fermier laboureur à la Boullais, à Rennes. Carcan, fouet et marque, requis le 9 juin 1789 et confirmé par la sentence du 22 juin 1786.
|Voie
"Elle se reposa deux fois en routte : l'unne près l'Aigle d'or, rue Saint Hellier, et l'autre près la tour aux poudres.". 2B 1390.
|Vue
# 2723 - Interrogatoire le 14 août 1789 de Jean Gabriel Leveau, 35 ans, mari de Marie Bertin, marchand de bas et d'étoffes, rue d'Orléans à Rennes, pour le meurtre d'Etienne Lebreton, mari de Marie Geffroy, facteur chez Robiquet, libraire, le 12 août, dans l'auberge L'Aigle d'or, rue Saint Hélier, où trente personnes se querellaient, se disant "commandé par le Sieur amiral de veiller à la sûreté publique et aux differents postes qui avoient eté établis pour la garde de la ville". Condamné à la pendaison par la sentence du 17 août 1789, ses biens saisis, une somme de six mille livres devant aller à la veuve, sentence dont il se porte appelant. 2B 1210.
|Page
|Observations
|-
|[[Rue de Bertrand]]
|201
|3
|
|-
|[[Rue de la Motte-Fablet]]
|213
|9
|
|-
|[[Douve de la Visitation]]
|217
|11
|
|-
|[[Rue des Fossés]]
|233
|19
|
|-
|[[Contour de la Motte]]
|240
|26
|
|-
|[[Rue du Point du Jour]]
|240
|26
|ou [[rue de Belair]]
|-
|[[Faubourg de Paris]]
|248
|31
|(Commencement)
|-
|[[Faubourg de Fougères]]
|299
|59
|
|-
|[[Rue Saint-Melaine]]
|329
|77
|Suite dans la 10e cahier
|-
|[[Rue de Paris]]
|360
|93
|Seulement Hôpital général.
|-
|[[Cour des Carmélites]]
|381
|106
|
|-
|[[Rue d'Antrain]]
|384
|108
|
|-
|[[Faubourg d'Antrain]]
|407
|122
|(Commencement)
|}


----
# Vol dans jardin de Jean Bizeul, rue Saint Hélier, à Rennes, en 1783. 2B 1025.
 
Mettez vous bien en un mot une fois dans la tête que nous couperons et taillerons tout ce que vous planterez dans votre jardin, à fur et à mesure que nous jugerons qu'il sera à propos de le couper. Convenez que nous sommes des gens bien méchants de vous priver du plaisir de présenter ce que vous avez de plus belles fleurs à l'hôtesse de l'Aigle d'or et à sa servante. C'est de quoi précisément nous sommes jaloux, et nous aurons le plaisir en votre place de leur en présenter. C'est de quoi nous vous prévenons. Nous pensons avec raison que vous n'aimez tant à cultiver les fleurs que pour la fleur de l'Aigle d'or que vous aimez mieux que toutes celles de votre jardin. Vous nous entendez. Vous avez une femme ; pourquoi ne pas vous y tenir ? Pour nous nous n'en avons point. Par consequent, il nous est bien pardonable de nous adresser à celle des autres. Soyez juste et convenez-en.
États nominatifs du canton nord-ouest de Rennes en 1844
 
1F 4/10 - 117 vues
 
1er cahier - 2e cahier - 3e cahier - 4e cahier - 5e cahier
 
{| border="1" cellpadding="1" cellspacing="0"; style="text-align:center;"
|-
|Voie
|Vue
|Page
|Observations
|-
|[[Rue aux Foulons]]
|1
|3
|
|-
|[[Rue de la Motte Fablet]]
|9
|7
|
|-
|[[Rue d'Antrain]]
|14
|10
|
|-
|[[Faubourg d'Antrain]]
|35
|20
|
|-
|[[Rue d'Estrées]]
|39
|23
|Suite dans le 2e cahier
|-
|[[Rue d'Orléans]]
|42
|28
|Partie
|-
|[[Rue Châteaurenault]]
|45
|29
|
|-
|[[Rue de l'Hermine]]
|53
|33
|
|-
|[[Rue de l'Horloge]]
|56
|35
|
|-
|[[Place de la mairie]]
|61
|37
|
|-
|[[Rue de Volvire]]
|62
|38
|
|-
|[[Rue de la Poissonnerie]]
|65
|39
|ou [[Rue de Rohan]] d'après le cahier
|-
|[[Rue de Beaumanoir]]
|70
|42
|
|-
|[[Place du Calvaire]]
|74
|44
|
|-
|[[Rue du Cartage]]
|77
|45
|écrit Carthage - Se termine par [[rue des Juifs]] "quai du nord de la rue du Cathage" et "quai près St ives"
|-
|[[Rue de la Clisson]]
|79
|46
|Suite dans le 3e cahier
|-
|[[Rue de Montfort]]
|87
|53
|
|-
|[[Rue Du Guesclin]]
|92
|56
|
|-
|[[Rue du Four-du-Chapitre]]
|103
|61
|
|-
|[[Rue de la Psalette]]
|120
|70
|Suite dans le 4e cahier
|-
|[[Rue Saint-Sauveur]]
|124
|75
|
|-
|[[Rue Saint-Yves]]
|128
|77
|
|-
|[[Rue des Dames]]
|132
|80
|
|-
|[[Rue du Griffon]]
|141
|84
|
|-
|[[Rue des Lauriers]]
|143
|85
|
|-
|[[Port Saint-Yves ]]
|143
|85
|
|-
|[[Rue de Toulouse]]
|145
|86
|
|-
|[[Rue Rallier]]
|157
|92
|Suite dans le 5e cahier
|-
|[[Portes Saint-Michel]]
|162
|98
|
|-
|[[Place Saint-Michel]]
|178
|106
|
|-
|[[Rue de la Monnaie]]
|185
|109
|"Monnoie"
|-
|[[Rue Saint-Guillaume]]
|195
|114
|
|-
|[[Rue de la Trinité]]
|198
|116
|Suite
|}

Version actuelle datée du 30 septembre 2017 à 21:01

Rue Saint-Hélier

  1. 1 - Information en août 1624 concernant Gilles Fallaize, le nommé Lory et le nommé Barillon, pour les coups donnés à Jeanne Ysambart, femme de Julien Bretier, à l'auberge de l'Aigle d'or, rue Saint Hélier, à Rennes. 4 pièces. 2B 1036.
  1. 1269 - Interrogatoire le 10 juin 1775 de Michelle Salmon, 48 ans, née à Combourg, fille de Mathurin et d'Yvonne Dumoulin, femme de Jacques David (matelot), marchande de lait, rue Saint Hélier, à Rennes, pour vol de deux vaches appartenant à Julien Jamois, mari de Jeanne Lallouet, fermier laboureur à la métairie de la Galmaudière, rue Saint Hélier, à Rennes, vaches attachés près de l'auberge de l'Aigle d'or, rue Saint Hélier, et qu'ils venaient d'acheter à la foire Saint Georges, le 24 avril 1775. Fouet requis pour elle le 24 novembre 1775, bannissement pendant dix ans pour deux de ses fils, contumaces. Renvoyés preuves néanmoins subsistantes par la sentence du 28 novembre 1775. 2B 1105.
  2. 2347 - Interrogatoire le 16 février 1786 de Renée Havard, 41 ans, fille fileuse, ou gardienne de malades, près du pont Saint Martin, à Rennes, pour vol de ruches, la nuit du 9 février, appartenant à Jean Dubreil et Charlotte Labbé, fermier laboureur à la Boullais, à Rennes. Carcan, fouet et marque, requis le 9 juin 1789 et confirmé par la sentence du 22 juin 1786.

"Elle se reposa deux fois en routte : l'unne près l'Aigle d'or, rue Saint Hellier, et l'autre près la tour aux poudres.". 2B 1390.

  1. 2723 - Interrogatoire le 14 août 1789 de Jean Gabriel Leveau, 35 ans, mari de Marie Bertin, marchand de bas et d'étoffes, rue d'Orléans à Rennes, pour le meurtre d'Etienne Lebreton, mari de Marie Geffroy, facteur chez Robiquet, libraire, le 12 août, dans l'auberge L'Aigle d'or, rue Saint Hélier, où trente personnes se querellaient, se disant "commandé par le Sieur amiral de veiller à la sûreté publique et aux differents postes qui avoient eté établis pour la garde de la ville". Condamné à la pendaison par la sentence du 17 août 1789, ses biens saisis, une somme de six mille livres devant aller à la veuve, sentence dont il se porte appelant. 2B 1210.
  1. Vol dans jardin de Jean Bizeul, rue Saint Hélier, à Rennes, en 1783. 2B 1025.

Mettez vous bien en un mot une fois dans la tête que nous couperons et taillerons tout ce que vous planterez dans votre jardin, à fur et à mesure que nous jugerons qu'il sera à propos de le couper. Convenez que nous sommes des gens bien méchants de vous priver du plaisir de présenter ce que vous avez de plus belles fleurs à l'hôtesse de l'Aigle d'or et à sa servante. C'est de quoi précisément nous sommes jaloux, et nous aurons le plaisir en votre place de leur en présenter. C'est de quoi nous vous prévenons. Nous pensons avec raison que vous n'aimez tant à cultiver les fleurs que pour la fleur de l'Aigle d'or que vous aimez mieux que toutes celles de votre jardin. Vous nous entendez. Vous avez une femme ; pourquoi ne pas vous y tenir ? Pour nous nous n'en avons point. Par consequent, il nous est bien pardonable de nous adresser à celle des autres. Soyez juste et convenez-en.