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La '''rue Nathalie lemel''' se situe entre la [[rue Jules Vallès]] et la [[rue Eugène Pottier]] en face le centre commerciale Leclerc.
La '''rue Nathalie lemel''' se situe entre la [[rue Jules Vallès]] et la [[rue Eugène Pottier]] en face du centre commercial Leclerc Cleunay.
Voie dénominée en séance du conseil municipal du 7 fév 1983.
Voie dénominée en séance du conseil municipal du 7 fév 1983.




Nathalie Lemel
 
Menbre de la commune de paris
== Nathalie Lemel ([[1827]]-[[1921]])<ref>Biographie inspirée du travail de [[Bernard Fournier]],'' [[Les gens de chez nous]]''</ref>==
1827-1921.
 
Nathalie Lemel est née à Brest le 24 aout 1826,décédée à Ivry sur Seine en 1921.mariée à un relieur .elle quitte son nom de jeune fille (Nathalie Perrine Duval ),  pour prendre celui de son mari.Ils séjourne à Quimper ou ils sont libraires relieurs.En 1861 elle se rend à Paris ou elle devient ouvriére religieuse.En 1866 elle fonde avec Eugène Varlin (1839 - 1871 ), la sociétée de consommation « la marmite «  .elle fréquente des clubs durant le siége de Paris (19 sept 1870 à mai 1871 ).Lors de l 'insurrection des »fédérées «  de la commune (18 mars-28 mai 1871 ),elle est chargée des questions sociales.Au cours de la « semaine sanglante » (21 – 28 mai ), elle dirige la construction et la défense de la barricade place de pigalle. Arrétée aprés la chute de la commune,elle connait l'hôpital puis la prison desChantiers à Versailles.Le10 sept 1872 elle est condamnée à la déportation en Nouvelle Calédonie par le conseil de guerre.elle séjourne alors au bagne de Nouméa jusq'en 1872,elle partage sa chambre avec « L'institutrice rouge « Louise Michel (1830-1905 ) autre «  fédérée «  déportée.Graciée en 1879 elle revient à Paris où elle reprend sa place de militante ouvriére et devient journaliste.elle décéde à l'hospice d'Ivry sur Seine dans la banlieue parisienne.
Membre de la Commune de Paris.
Sources: "[[ Les gens de chez nous]]"  ,de[[ Bernard Fournier]].
 
Nathalie Lemel est née à Brest le 24 août [[1826]], décédée à Ivry sur Seine en [[1921]]. Mariée à un relieur, elle quitte son nom de jeune fille (Nathalie Perrine Duval),  pour prendre celui de son mari. Ils séjournent à Quimper ils sont libraires relieurs.  
 
En [[1861]], elle se rend à Paris ou elle devient ouvriére religieuse.
 
En [[1866]] elle fonde avec Eugène Varlin (1839 - 1871 ) la société de consommation "La marmite", elle fréquente des clubs durant le siège de Paris (19 sept [[1870]] à mai [[1871]]). Lors de l'insurrection des "fédérées"  de la commune (18 mars-28 mai 1871 ), elle est chargée des questions sociales.  
 
Au cours de la « semaine sanglante » (21 – 28 mai ), elle dirige la construction et la défense de la barricade place de pigalle. Arrêtée après la chute de la Commune, elle connait l'hôpital puis la prison des Chantiers à Versailles. Le10 septembre [[1872]] elle est condamnée à la déportation en Nouvelle-Calédonie par le Conseil de guerre. elle séjourne alors au bagne de Nouméa jusqu'en [[1872]], elle partage sa chambre avec "L'institutrice rouge" {{w|Louise Michel}} ([[1830]]-[[1905]]), autre "fédéréedéportée.
 
Graciée en [[1879]] elle revient à Paris où elle reprend sa place de militante ouvrière et devient journaliste.
 
Elle décède à l'hospice d'Ivry-sur-Seine dans la banlieue parisienne.
 
 
 
==Notes et références==
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Version du 21 mars 2011 à 10:22

La rue Nathalie lemel se situe entre la rue Jules Vallès et la rue Eugène Pottier en face du centre commercial Leclerc Cleunay. Voie dénominée en séance du conseil municipal du 7 fév 1983.


Nathalie Lemel (1827-1921)[1]

Membre de la Commune de Paris.

Nathalie Lemel est née à Brest le 24 août 1826, décédée à Ivry sur Seine en 1921. Mariée à un relieur, elle quitte son nom de jeune fille (Nathalie Perrine Duval), pour prendre celui de son mari. Ils séjournent à Quimper où ils sont libraires relieurs.

En 1861, elle se rend à Paris ou elle devient ouvriére religieuse.

En 1866 elle fonde avec Eugène Varlin (1839 - 1871 ) la société de consommation "La marmite", elle fréquente des clubs durant le siège de Paris (19 sept 1870 à mai 1871). Lors de l'insurrection des "fédérées"  de la commune (18 mars-28 mai 1871 ), elle est chargée des questions sociales.

Au cours de la « semaine sanglante » (21 – 28 mai ), elle dirige la construction et la défense de la barricade place de pigalle. Arrêtée après la chute de la Commune, elle connait l'hôpital puis la prison des Chantiers à Versailles. Le10 septembre 1872 elle est condamnée à la déportation en Nouvelle-Calédonie par le Conseil de guerre. elle séjourne alors au bagne de Nouméa jusqu'en 1872, elle partage sa chambre avec "L'institutrice rouge" Louise Michel Wikipedia-logo-v2.svg (1830-1905), autre "fédérée"  déportée.

Graciée en 1879 elle revient à Paris où elle reprend sa place de militante ouvrière et devient journaliste.

Elle décède à l'hospice d'Ivry-sur-Seine dans la banlieue parisienne.


Notes et références

  1. Biographie inspirée du travail de Bernard Fournier, Les gens de chez nous


Sur la carte

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