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[[Fichier:Rue_Jean-Baptiste_Barr%C3%A9.png|left|250px|thumb|Entre la rue Jean-Baptiste Barré et la [[rue Marcel Sembat]], la vue aérienne révèle les jardins en cœur d'ilôt, insoupçonnés au sol]]
[[Fichier:Rue_Jean-Baptiste_Barr%C3%A9.png|left|250px|thumb|Entre la rue Jean-Baptiste Barré et la [[rue Marcel Sembat]], la vue aérienne révèle les jardins en cœur d'ilôt, insoupçonnés au sol]]
La '''rue Jean-Baptiste Barré''', axée ouest-est, ouverte en 1929, relie la [[rue de l'Alma]] à la [[rue de Châtillon]]. La plus ancienne maison de la rue, dite de la Boulais, à étage carré avec comble, située du côté de la rue de Châtillon, est citée dès 1682.<ref> Inventaire topographique. Isabelle Barbedor et Aline Carpentier - 2001</ref>
La '''rue Jean-Baptiste Barré''', axée ouest-est, ouverte en 1929, relie la [[rue de l'Alma]] à la [[rue de Châtillon]]. Elle apparaît dans la nomenclature des voies de Rennes du 24 juillet 1923. La plus ancienne maison de la rue, dite de la Boulais, à étage carré avec comble, située du côté de la rue de Châtillon, est citée dès 1682<ref>Inventaire topographique. Isabelle Barbedor et Aline Carpentier - 2001</ref>.


La ville de Rennes rappelle ainsi :
La ville de Rennes rappelle ainsi :
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- en 1836 la statue au sommet de la colonne Vaneau-Papu, rénovée en mars 2012, et la statue de Bertrand Duguesclin, détruite le 31 mai 1950 par des autonomistes, au parc du [[Thabor]],
- en 1836 la statue au sommet de la colonne Vaneau-Papu, rénovée en mars 2012, et la statue de Bertrand Duguesclin, détruite le 31 mai 1950 par des autonomistes, au parc du [[Thabor]],


- le fronton de l'Hôtel-Dieu, <ref>[[rue de l'Hôtel Dieu]]</ref>
- le fronton de l'Hôtel-Dieu<ref>[[rue de l'Hôtel Dieu]]</ref>,


- la statue ''L'Espérance'' en extérieur de la chapelle funéraire à l'entrée du cimetière du nord,
- la statue ''L'Espérance'' en extérieur de la chapelle funéraire à l'entrée du cimetière du nord,
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- en 1848, un buste de [[Jean Leperdit]] (au Musée des Beaux-Arts),
- en 1848, un buste de [[Jean Leperdit]] (au Musée des Beaux-Arts),


- la décoration, continuée à sa mort par [[Jean-Baptiste Martenot]] de l'hôtel Leofanti, à l'angle du [[boulevard de la Liberté]] et de la [[rue Maréchal Joffre]],<ref> ''Rennes au XIXe siècle, architectes, urbanisme et architecture'', par Jean-Yves Veillard, éditions du Thabor - 1978</ref>
- la décoration, continuée à sa mort par [[Jean-Baptiste Martenot]] de l'hôtel Leofanti, à l'angle du [[boulevard de la Liberté]] et de la [[rue Maréchal Joffre]]<ref>''Rennes au XIXe siècle, architectes, urbanisme et architecture'', par Jean-Yves Veillard, éditions du Thabor - 1978</ref>,


- A Fougères, 32 rue Nationale, au 1er étage d'un hôtel néo-Renaissance, des décors végétaux et le portrait de François Ier et de ses maîtresses.
- À Fougères, 32 rue Nationale, au 1er étage d'un hôtel néo-Renaissance, des décors végétaux et le portrait de François Ier et de ses maîtresses.


Il reçut aussi des commandes pour des églises du département d'Ille-et-Vilaine, telles l'église Saint-Pierre à Evran où l'on voit plusieurs statues de 1850 : Christ de la Résurrection, saint Pierre et saint Paul, et l'église de Les Brulais (Ille-et-Vilaine).
Il reçut aussi des commandes pour des églises du département d'Ille-et-Vilaine, telles l'église Saint-Pierre à Evran où l'on voit plusieurs statues de 1850 : Christ de la Résurrection, saint Pierre et saint Paul, et l'église de Les Brulais (Ille-et-Vilaine).
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