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<big>[[Si j'inventais Villejean]]</big>
<big>[[Matrimoine]]</big><br>
[[Fichier:Christine de pisan.jpg|right|180px*180px|thumb|Christine de Pizan écrivant dans sa chambre (1407)]]
« Le terme "patrimoine", issu du latin "patrimonium" fait référence au "pater familias". Il désigne, à l'origine, l'héritage que l'on tient de son père et que l'on transmet à ses enfants en vertu des lois de succession.
Le terme "matrimoine", issu du latin "matrimonium" évoque le mariage, et induit la différenciation sexuelle des rôles: aux hommes, la transmission des biens ; aux femmes la transmission de la vie. La femme et la mère semblaient n'avoir rien à transmettre, puisque leurs biens propres entraient, dans la dot, dans le patrimoine marital. Actuellement, le patrimoine définit également l'ensemble des richesses d'ordre culturel, matérielles et immatérielles appartenant à une communauté. C'est la conservation et la transmission collective intergénérationnelle de notre passé.


Si j'inventais Villejean est un atelier d’échange de paroles, d'écriture et de dessin conçu et animé par l'association La Maison des Mots-Arts, qui a pour but la lutte contre l’illettrisme et la promotion du monde de l'écrit par des supports artistiques. Il s'est déroulé dans le cadre des Talents Z'Anonymes de Villejean, manifestation organisée par les Centres Sociaux de Rennes avec un public d'enfants et d'adultes.
[[Matrimoine|Lire la suite]]
 
[[Si j'inventais Villejean|Lire la suite]]


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<big>[[Jardin de l'hôtel de Robien]]</big>
<big>[[Bombardement du 17 juin 1940]]</big>
[[Fichier:Plan de 1726 (Porte aux Foulons - Parlement).jpg|right|150px]]
[[Fichier:Triage bombardé.jpg|left|250px|thumb|Vue prise du N-E vers le S-O secteur rue Auguste-Pavie]]
Les Rennais − qui avaient été surpris, le 24 février, par le premier exercice d'alerte − et les nombreux réfugiés ont entendu des tirs de la D.C.A dans le ciel de Rennes tout bleu, probablement pensera-t-on ensuite, sur un avion allemand venu repérer le triage ferroviaire de la [[plaine de Baud]] avec les trains qui y stationnaient nombreux. En fin d'après-midi, encore quelques trains de troupes françaises et britanniques se succèdent après avoir stationné sur la voie ferrée, du côté du [[boulevard Voltaire]], attendant d'entrer en gare.


Le jardin de l'hôtel de Robien est un lieu d'agrément et de rencontre qui se situait entre les murs de Rennes et la place du Champ-Jacquet, d'abord pour les besoins et les visites de la famille des Robien, juges au parlement de Bretagne, et trois siècles plus tard - vers 1900 - quand le public pouvait se divertir à l'Alcazar, café-concert aménagé dans le Trianon et ses dépendances édifiés dans ce jardin à différentes époques.
[[Bombardement du 17 juin 1940|Lire la suite]]
 
[[Jardin de l'hôtel de Robien|Lire la suite]]


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<big>[[Cabaret L'Alcazar de Rennes]]</big>
<big>[[Libération de Rennes]]</big>
 
[[Fichier:Rennes fete sa liberation.jpeg|right|230px|thumb|Vue partielle de la foule rennaise devant la mairie le 4 août.]]
L'Alcazar est un cabaret de Rennes ouvert en octobre 1892, remplaçant le Café central ouvert en 1882, renommé Café des Sports, un des multiples débits de boisson de la ville, mais aussi café-concert inspiré des salles parisiennes, le seul avec l'Éden à animer Rennes à cette époque.
Dès le 6 juin, l'annonce du débarquement des alliés en Normandie a des effets immédiats à Rennes. Les bombardements des 9 et 12 juin 1944 déclenchent un affolement qui s'avérera prématuré de près de deux mois, chez les Allemands : des troupes commencent à quitter Rennes. Les soldats prennent partout les bicyclettes. Des officiers partent en auto, en camions, emportant leurs valises. Les "souris grises" ont été embarquées en camions . "Ils partent ! Personne n'en croit ses yeux." Les routes sont barrées par les Allemands, ce qui a empêché l'arrivée du ravitaillement.  


[[Cabaret L'Alcazar de Rennes|Lire la suite]]
[[Libération de Rennes|Lire la suite]]


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<big>[[Jeanne Vandewalle]]</big>
<big>[[Piscine Saint-Georges]]</big>
 
[[Fichier:Rennes-Piscine Saint-Georges.jpg|left|280px|thumb|Piscine Saint-Georges]]
La Rennaise Jeanne Bétin, "Jany", avait accepté en 1940 un poste à la Kriegsmarine, rue de Lorient, à Rennes : elle est mise à recopier des commandes de matériel pour les sous-marins allemands en escale à La Pallice, près de la Rochelle, à Lorient, à Saint-Nazaire… Au foyer du boulevard Magenta où elle loge, en mars 1943, une amie la met en contact avec des résistants auxquels elle communiquera les noms de ces sous-marins, les dates et lieux des escales.
La piscine Saint-Georges, la première construite à Rennes, comprend, au-delà d'un vestibule d'entrée, un bassin entouré d'une série de cabines et de tribunes supérieures. La partie postérieure du bâtiment abrite les bains-douches qui disposent d'une entrée indépendante, [[rue Victor Hugo]]. La façade joue sur la diversité et sur la polychromie des matériaux : au dessus d´un soubassement de granite appareillé en pierre de taille, le parement de briques jaunes de Hollande ...  


[[Jeanne Vandewalle|Lire la suite]]
[[Piscine Saint-Georges|Lire la suite]]


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<big>[[Mémoire et Vécus du Quartier Villejean]]</big>
<big>[[Halles centrales]]</big>
[[Fichier:Bâtiments université rennes 2.jpeg|right|150px]]
[[Fichier:Halles côté bd de la Liberté171.jpg|right|250px|Les halles centrales, côté boulevard de la Liberté 'carte postale La Cigogne)]]
Les halles centrales sont un bâtiment à vocation commerciale de l'architecte Emmanuel Le Ray situé dans le centre de Rennes, entre la rue de Nemours et la rue Jules Simon, sur le côté nord du boulevard de la Liberté et au sud de la [[Place Honoré Commeurec]]. Les halles sont construites à l'emplacement de la Halle aux grains qu'avait précédée l'ancienne église Toussaints, maintenant située à un autre endroit. Cette église lors de la Révolution Française fut d'abord livrée aux prêtres jureurs, puis cette église fut transformée en écurie pour l'armée républicaine; dans la nuit du Ier au 2 décembre 1793, un incendie ravage l'église Toussaints.
[[Halles centrales|Lire la suite]]


La Maison des Mots-Arts, association de lutte contre l’illettrisme et de promotion de la lecture et de l’écriture par des supports artistiques, a animé un atelier d’échange de paroles et de recueil de témoignages en 2013, à destination des habitants du quartier de Villejean, notamment avec les habitants seniors, résidant à la Maison de Retraite Raymond Thomas et en partenariat avec le centre de loisirs Andrée Chédid.
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[[Mémoire et Vécus du Quartier Villejean|Lire la suite]]