« Hôtel de la Noue » : différence entre les versions
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Construits vers 1660 par deux familles de magistrats, les La Noue (n°26) et Racapée de la Feuillée (n°28), ces hôtels particuliers, qui nécessitent de larges parcelles, n'ont pu trouver place qu'extra-muros. En effet, en 1656, la mise à disposition de la ville des terrains bordant la place des Lices permet à des riches familles nobiliaires de faire édifier des hôtels particuliers sans contraintes foncières. La conception, tant en plan que dans la composition des façades, apparaît réellement innovante. | [[Fichier:Exemple.jpg]]Construits vers 1660 par deux familles de magistrats, les La Noue (n°26) et Racapée de la Feuillée (n°28), ces hôtels particuliers, qui nécessitent de larges parcelles, n'ont pu trouver place qu'extra-muros. En effet, en 1656, la mise à disposition de la ville des terrains bordant la place des Lices permet à des riches familles nobiliaires de faire édifier des hôtels particuliers sans contraintes foncières. La conception, tant en plan que dans la composition des façades, apparaît réellement innovante. | ||
Version du 3 novembre 2012 à 14:30
Construits vers 1660 par deux familles de magistrats, les La Noue (n°26) et Racapée de la Feuillée (n°28), ces hôtels particuliers, qui nécessitent de larges parcelles, n'ont pu trouver place qu'extra-muros. En effet, en 1656, la mise à disposition de la ville des terrains bordant la place des Lices permet à des riches familles nobiliaires de faire édifier des hôtels particuliers sans contraintes foncières. La conception, tant en plan que dans la composition des façades, apparaît réellement innovante.
