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Après avoir découvert la musique électronique grâce au | Après avoir découvert la musique électronique grâce au «Radio Activity» de Kraftwerk, Commuter se prend de plein fouet la vague House, New Beat et Techno qui déferle sur l’europe à la fin des années 80. | ||
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Au début des années 2000, il s’installe à PARIS et | C'est pourtant via le rap qu'il démarre ses premières expérimentations musicales : la culture DJ, le breakdance, le sampler et les boites à rythmes le fascine…. A la fin des 90's, Il se met sérieusement à composer, et ses influences synthpop, italo disco, EBM ou new wave, le pousse naturellement vers les sonorités electro & techno du moment... | ||
Ce morceau marque le début de | |||
En 2009, le | Au début des années 2000, il s’installe à PARIS et y rencontre le crew du label Elektrofon avec qui il sortira son premier EP : une collaboration avec LAAG,un autre artiste briochin, qui prête sa voix au track techno/EBM «Electrostate of Mind». | ||
Il décide alors d’envoyer une démo à Electric Rescue, boss de Skryptöm Records, et en 2010 le Template EP | |||
Ce morceau marque le début de sa discographie et se verra remixé par une de ses idoles : The Hacker. | |||
En 2013, il remixe | |||
Récemment son morceau "No heat" , remixé par Nomenklatür | |||
En 2009, le «Black Friday EP» amorce un virage plus techno, et se voit remixé par Julian Jeweil, auteur du tube «Air Conditionné». La même année, Commuter remixe le titre «Time Machine» de Nomenklatür, sur Space Factory, le label de David Carretta. | |||
Il décide alors d’envoyer une démo à Electric Rescue, boss de Skryptöm Records, et en 2010, le Template EP arrive dans les bacs. Il enchaine ensuite les EP’s sur des labels comme AFU Ltd (label de Thomas P Heckmann ) ou Goog records (Dj Lowkey et Kardinal), et après avoir remixé le "Everglades" des briochins de Rafale, il s'attaque au «What’s going on ?» de John Lord Fonda sur Citizen Records, label de Vitalic. | |||
En 2013, il remixe la légendaire Miss Kittin , dans un style purement Electro, ce style initié par les pionniers de Kraftwerk ..Ce remix est libérateur, et pousse cet enfant des années 80 à assumer pleinement ses racines hip hop et son amour pour une musique purement machinique…. | |||
Récemment son morceau "No heat" , remixé par Nomenklatür , s'est vu playlisté par Richie Hawtin et ses dernières sorties sur les labels Bass Agenda Recordings ou Battery Park studio ont été plébiscitées par des artistes comme Dave Clarke… | |||
En proposant un son résolument différent de la techno qui l'a fait connaitre, Commuter négocie un virage salvateur = le maitre-mot : définitivement Electro…. | |||
Ses productions se retrouvent aujourd'hui sur certaines des meilleures compilations du genre, comme l'Interstate 101 de Djedjotronic sur Boysnoize Records , Stigmates#1 la compilation du label parisien Mille Feuilles, mixé pas son boss Molécule , ou enfin Galactic Creatures sur Space Factory, compilation où l'on retrouve les tauliers du genre comme Anthony Rother, Silicon Scally, ou Umwelt. | |||
Sa musique, s’inspire aussi bien de Depeche Mode que de la techno/electro de Detroit et oscille entre inspiration minimaliste, puissance techno et rigueur electro à la Kraftwerk. Son live act fédérateur lui a déjà permis de s’illustrer sur de nombreuses scènes et festivals comme Astropolis, Panoramas, le Batofar, ou le Rex Club… | |||
== Discographie == | == Discographie == | ||
Version du 27 juin 2015 à 10:13
Après avoir découvert la musique électronique grâce au «Radio Activity» de Kraftwerk, Commuter se prend de plein fouet la vague House, New Beat et Techno qui déferle sur l’europe à la fin des années 80.
C'est pourtant via le rap qu'il démarre ses premières expérimentations musicales : la culture DJ, le breakdance, le sampler et les boites à rythmes le fascine…. A la fin des 90's, Il se met sérieusement à composer, et ses influences synthpop, italo disco, EBM ou new wave, le pousse naturellement vers les sonorités electro & techno du moment...
Au début des années 2000, il s’installe à PARIS et y rencontre le crew du label Elektrofon avec qui il sortira son premier EP : une collaboration avec LAAG,un autre artiste briochin, qui prête sa voix au track techno/EBM «Electrostate of Mind».
Ce morceau marque le début de sa discographie et se verra remixé par une de ses idoles : The Hacker.
En 2009, le «Black Friday EP» amorce un virage plus techno, et se voit remixé par Julian Jeweil, auteur du tube «Air Conditionné». La même année, Commuter remixe le titre «Time Machine» de Nomenklatür, sur Space Factory, le label de David Carretta.
Il décide alors d’envoyer une démo à Electric Rescue, boss de Skryptöm Records, et en 2010, le Template EP arrive dans les bacs. Il enchaine ensuite les EP’s sur des labels comme AFU Ltd (label de Thomas P Heckmann ) ou Goog records (Dj Lowkey et Kardinal), et après avoir remixé le "Everglades" des briochins de Rafale, il s'attaque au «What’s going on ?» de John Lord Fonda sur Citizen Records, label de Vitalic.
En 2013, il remixe la légendaire Miss Kittin , dans un style purement Electro, ce style initié par les pionniers de Kraftwerk ..Ce remix est libérateur, et pousse cet enfant des années 80 à assumer pleinement ses racines hip hop et son amour pour une musique purement machinique….
Récemment son morceau "No heat" , remixé par Nomenklatür , s'est vu playlisté par Richie Hawtin et ses dernières sorties sur les labels Bass Agenda Recordings ou Battery Park studio ont été plébiscitées par des artistes comme Dave Clarke…
En proposant un son résolument différent de la techno qui l'a fait connaitre, Commuter négocie un virage salvateur = le maitre-mot : définitivement Electro….
Ses productions se retrouvent aujourd'hui sur certaines des meilleures compilations du genre, comme l'Interstate 101 de Djedjotronic sur Boysnoize Records , Stigmates#1 la compilation du label parisien Mille Feuilles, mixé pas son boss Molécule , ou enfin Galactic Creatures sur Space Factory, compilation où l'on retrouve les tauliers du genre comme Anthony Rother, Silicon Scally, ou Umwelt.
Sa musique, s’inspire aussi bien de Depeche Mode que de la techno/electro de Detroit et oscille entre inspiration minimaliste, puissance techno et rigueur electro à la Kraftwerk. Son live act fédérateur lui a déjà permis de s’illustrer sur de nombreuses scènes et festivals comme Astropolis, Panoramas, le Batofar, ou le Rex Club…
