« " À Rennes, rien ne prend, sauf le feu " » : différence entre les versions

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- l'ancienne église Toussaints (frimaire an II)
- l'ancienne église Toussaints (frimaire an II)
- [[rue Saint-Melaine]], les immeubles des numéros 2 à 10 ( 27 septembre [[1851]])


- le théâtre ([[1856]])
- le théâtre ([[1856]])

Version du 20 mars 2011 à 09:28

"À Rennes, rien ne prend sauf le feu" est un dicton populaire local d'abord apparu à la suite de l'incendie de 1720, qui avait ravagé la ville, laissant un habitant sur trois sans logement.

Monseigneur Brossais -Saint-Marc, archevêque de Rennes, accrut la renommée de ce dicton en le reprenant vers 1860.

On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples  :

- l'ancienne église Toussaints (frimaire an II)

- rue Saint-Melaine, les immeubles des numéros 2 à 10 ( 27 septembre 1851)

- le théâtre (1856)

- le palais du Commerce (1911)

- le palais Saint-Georges (1921)

- le cinéma Omnia Pathé, ancien couvent des Calvairiennes (12 avril1931)

- le palais du Parlement (nuit du 4 au 5 février 1994)

- immeuble de la CRAM Bretagne (19 juillet 2006)

- immeuble rue d'Orléans, trois morts (21 septembre 2007)

- immeubles place Saint-Michel (nuit du 21 au 22 juin 2010)

Cette liste non exhaustive ne doit pas, pour autant, faire penser que le dicton aurait, à Rennes, un fondement plus vérifiable que dans bien des villes.