« " À Rennes, rien ne prend, sauf le feu " » : différence entre les versions

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On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples  :
On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples  :


* l'abbaye de Saint-Melaine, sauf l'église ( 19 Mars [[1663]]
* l'ancienne église Toussaints (frimaire an II - novembre 1793)
* l'ancienne église Toussaints (frimaire an II - novembre 1793)
* [[rue Saint-Melaine]], les immeubles des numéros 2 à 10 ( 27 septembre [[1851]])
* [[rue Saint-Melaine]], les immeubles des numéros 2 à 10 ( 27 septembre [[1851]])

Version du 25 mai 2011 à 08:58

"À Rennes, rien ne prend sauf le feu" est un dicton populaire local d'abord apparu à la suite de l'incendie de 1720, qui avait ravagé la ville, laissant un habitant sur trois sans logement.

Monseigneur Brossais-Saint-Marc, archevêque de Rennes, accrut la renommée de ce dicton en le reprenant vers 1860.

On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples  :

Cette liste non exhaustive ne doit pas, pour autant, faire penser que le dicton aurait, à Rennes, un fondement plus vérifiable que dans bien des villes.

Sources

  • article Rennes 500 ans d’incendies par Claire Staes dans Le mensuel de Rennes, n°17, septembre 2010.