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Démobilisé le 31 août 1940, il intègre alors le Parti communiste clandestin avant d’être arrêté une première fois le 6 décembre 1940, , interné au camp d’Aincourt (Seine-et-Oise), où il organise la grève en avril 1941 pour le droit aux visites, il est transféré à la centrale de Poissy puis, en mai, au camp de Choisel à Châteaubriant  où il eut la surprise d’apprendre qu’on lui avait attribué la Médaille militaire et la Croix de guerre. Il s’en évade le 25 novembre 1941 et se réfugie à Treffieux, à 15 km au sud-ouest de Chateaubriant.<ref> ''La Bretagne dans la guerre'', t.2, p 173 et 239. Hervé Le Boterf, éd. France-Empire – 1979 </ref>
Démobilisé le 31 août 1940, il intègre alors le Parti communiste clandestin avant d’être arrêté une première fois le 6 décembre 1940, , interné au camp d’Aincourt (Seine-et-Oise), où il organise la grève en avril 1941 pour le droit aux visites, il est transféré à la centrale de Poissy puis, en mai, au camp de Choisel à Châteaubriant  où il eut la surprise d’apprendre qu’on lui avait attribué la Médaille militaire et la Croix de guerre. Il ne fait heureusement pas partie des 22 otages communistes fusillés le 22 octobre. Il s’évade le 25 novembre 1941 et se réfugie à Treffieux, à 15 km au sud-ouest de Chateaubriant.<ref> ''La Bretagne dans la guerre'', t.2, p 173 et 239. Hervé Le Boterf, éd. France-Empire – 1979 </ref>


Il fut dès lors un des principaux dirigeants du Parti communiste clandestin en Picardie, en Normandie, puis en Bretagne.
Il fut dès lors un des principaux dirigeants du Parti communiste clandestin en Picardie, en Normandie, puis en Bretagne.