« " À Rennes, rien ne prend, sauf le feu " » : différence entre les versions

De WikiRennes
Aller à la navigationAller à la recherche
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 5 : Ligne 5 :
On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples  :
On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples  :


* rue Basse Baudrairie ( 5 janvier et 5 juillet [[1657]])
* l'abbaye de Saint-Melaine, sauf l'église ( 19 Mars [[1663]]
* l'abbaye de Saint-Melaine, sauf l'église ( 19 Mars [[1663]]
* l'ancienne église Toussaints (frimaire an II - novembre 1793)
* l'ancienne église Toussaints (frimaire an II - novembre 1793)

Version du 9 novembre 2011 à 11:34

"À Rennes, rien ne prend sauf le feu" est un dicton populaire local d'abord apparu à la suite de l'incendie de 1720, qui avait ravagé la ville, laissant un habitant sur trois sans logement.

Monseigneur Brossais-Saint-Marc, archevêque de Rennes, accrut la renommée de ce dicton en le reprenant vers 1860.

On retrouve ce dicton repris assez régulièrement dans l'histoire locale, à l'occasion d'incendies dont voici quelques exemples  :

Cette liste non exhaustive ne doit pas, pour autant, faire penser que le dicton aurait, à Rennes, un fondement plus vérifiable que dans bien des villes, mais il est vrai que l'incendie de 1720 eut des conséquences déterminantes dans l'évolution de l'urbanisme du noyau central de la ville. * [1]

voirRennes d'histoire et de souvenirs

Sources

  • article Rennes 500 ans d’incendies par Claire Staes dans Le mensuel de Rennes, n°17, septembre 2010.
  1. De bois, de pierre, d'eau et de feu, quatre siècles d'urbanisme et d'architecture à Rennes (XVIIe-XVIIIe siècle) Archives départementales d'Ille-et Vilaine- 1995