« Avenue Janvier » : différence entre les versions

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[[Fichier:Maison_de_la_radio_en_construction.jpeg|250px|left|thumb|La "Maison de la Radio de Rennes" en construction, avenue Janvier, en 1952 (de ''la Semaine Radiophonique'')]]
[[Fichier:Maison_de_la_radio_en_construction.jpeg|250px|left|thumb|La "Maison de la Radio de Rennes" en construction, avenue Janvier, en 1952 (de ''la Semaine Radiophonique'')]]
[[Fichier:Avenue_janviet_et_rue_St_h%C3%A9lier.png|300px|left|thumb|L'avenue Janvier avec le débouché de la [[rue Saint-Hélier]] à gauche, vers 1950]]
 


[[File:Immeuble_odorico.JPG|250px|right|thumb|Immeuble Art-déco Odorico, à l'angle de l'avenue Janvier et de la [[rue Duhamel]] - (de Wikimedia Commons)]]
[[File:Immeuble_odorico.JPG|250px|right|thumb|Immeuble Art-déco Odorico, à l'angle de l'avenue Janvier et de la [[rue Duhamel]] - (de Wikimedia Commons)]]
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Bordant la voie on trouvait jusqu'en [[1944]], la prison militaire, au coin de la [[rue Saint-Hélier]] et de la [[rue Duhamel]] et la caserne Kergus, ancien hôtel des Gentilshommes réalisé par l'abbé Kergus, entre le [[boulevard de la Liberté]] et la [[rue Saint-Thomas]], bel édifice dont la façade donnait sur l'avenue,<ref>[[ Square de Kergus]]</ref> transformé en caserne après la Révolution, puis occupé par divers bureaux militaires (État-major, intendance, service de Santé, de la Place, anciens combattants)<ref>''Rennes capitale de la Bretagne'', par Ad. Orain. Ed. L. Bahon-Rault - 1925</ref>. Ces deux édifices furent détruits lors des bombardements de 1944, ainsi d'ailleurs que les trois quarts des immeubles bordant l'avenue. Le grand lycée avec sa chapelle, endommagé, a été restauré. Subsiste au n°3 l'immeuble ''Tomine'' à huit niveaux, conçu par l'architecte [[Yves Lemoine]] et au n°7 un immeuble à six niveaux construit en 1931 par [[Jean Poirier]], qui présente une façade entièrement décorée de mosaïques gris et or avec deux larges frises à fond bleu, œuvre d'[[Isidore Odorico]].  
Bordant la voie on trouvait jusqu'en [[1944]], la prison militaire, au coin de la [[rue Saint-Hélier]] et de la [[rue Duhamel]] et la caserne Kergus, ancien hôtel des Gentilshommes réalisé par l'abbé Kergus, entre le [[boulevard de la Liberté]] et la [[rue Saint-Thomas]], bel édifice dont la façade donnait sur l'avenue,<ref>[[ Square de Kergus]]</ref> transformé en caserne après la Révolution, puis occupé par divers bureaux militaires (État-major, intendance, service de Santé, de la Place, anciens combattants)<ref>''Rennes capitale de la Bretagne'', par Ad. Orain. Ed. L. Bahon-Rault - 1925</ref>. Ces deux édifices furent détruits lors des bombardements de 1944, ainsi d'ailleurs que les trois quarts des immeubles bordant l'avenue. Le grand lycée avec sa chapelle, endommagé, a été restauré. Subsiste au n°3 l'immeuble ''Tomine'' à huit niveaux, conçu par l'architecte [[Yves Lemoine]] et au n°7 un immeuble à six niveaux construit en 1931 par [[Jean Poirier]], qui présente une façade entièrement décorée de mosaïques gris et or avec deux larges frises à fond bleu, œuvre d'[[Isidore Odorico]].  
[[Fichier:Avenue_Janvier_en_1946.png|450px|center|thumb|L'avenue Janvier en février 1946: tramway entre les ruines : en arrière plan la gare. Par delà les excavations, on aperçoit à droite le toit de l'hôtel Dugesclin, à gauche les arrières des maisons de la rue Duhamel]]
[[Fichier:Avenue_janviet_et_rue_St_h%C3%A9lier.png|300px|left|thumb|L'avenue Janvier avec le débouché de la [[rue Saint-Hélier]] à gauche, vers 1950]]
[[Fichier:H%C3%B4tel_des_N%C3%A9tumi%C3%A8res.png|center|200px|thumb|L'hôtel des Nétumières]]
[[Fichier:H%C3%B4tel_des_N%C3%A9tumi%C3%A8res.png|center|200px|thumb|L'hôtel des Nétumières]]


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