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L' '''allée Léon Le Berre''' se situe dans le quartier 8 : Sud-Gare et prend son origine sur le [[boulevard Jacques Cartier]]. Cette voie fut dénommée impasse par délibération du Conseil Municipal de la Ville de Rennes le 22 juillet 1960 puis allée par délibération du Conseil Municipal de la Ville de Rennes le 2 juin 1986<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D313 Archives de Rennes]</ref>.  
L' '''allée Léon Le Berre''' se situe dans le quartier 8 : Sud-Gare et prend son origine sur le [[boulevard Jacques Cartier]]. Cette voie fut dénommée impasse par délibération du Conseil Municipal de la Ville de Rennes le 22 juillet 1960 puis allée par délibération du Conseil Municipal de la Ville de Rennes le 2 juin 1986<ref>Délibérations municipales, [http://www.archives.rennes.fr/recherche/fonds/affichedetailmod.php?cot=1D313 Archives de Rennes]</ref>.  


Cette voie rend hommage à Léon Le Berre, folkloriste (1874 - 1946)
Cette voie rend hommage à Léon Le Berre, journaliste, homme de lettres et folkloriste (30 septembre 1874, Ergué-Armel, Finistère - 4 décembre 1946, Rennes)
 
Léon Le Berre suit ses études secondaires au collège Saint-Sauveur, à Redon, puis étudie la littérature et le droit à l'université de Rennes. Il y fonde, le 29 avril 1900, la ''Fédération des étudiants bretons'' dont il est président. À cette occasion, [[L'Ouest-Éclair]] publie pour la première fois un texte en breton, un conte écrit par Le Berre.
 
Il est secrétaire général de l'"Union régionaliste bretonne" de 1901 à 1911. En 1907, il participe à un festival de littérature, musique et théâtre à Swansea (Pays de Galles) en compagnie de François Vallée<ref>[[rue François Vallée]]</ref>. Il est employé dans, et dirige même plusieurs journaux en Bretagne, notamment à Vannes, et finit par acheter, en janvier 1914, pour « ''pouvoir vivre complètement sa pensée'' », l'''Union agricole et maritime'', un hebdomadaire imprimé à Quimperlé, pour en faire un journal traitant aussi de la Bretagne et des questions bretonnes. Il écrit sous le pseudonyme d'Abalor.
 
En 1928, Léon Le Berre se résout à vendre son hebdomadaire, qui, du fait d'une nouvelle législation, n'obtient plus assez d'annonces légales, et se fait embaucher par L'Ouest-Éclair à Rennes. Il ne lui est confié, à titre principal, que la chronique judiciaire, ce qui n'est pas au niveau de son expérience et de ses vastes capacités de rédaction.
 
Il a écrit plusieurs livres, historiques et touristiques, ainsi que des pièces de théâtre en breton, des nouvelles, des contes et des poèmes.


== Sur la carte ==
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