« Les Demoiselles de Renac » : différence entre les versions

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En 1802, Bouaissier serait mort dans d'atroces convulsions consécutives à la grande émotion qu'il aurait ressentie en entendant, passant devant leur hôtel (à l'emplacement de l'actuel Hôtel Villemain), les voix des deux demoiselles l'appelant par son nom<ref>''A travers la Bretagne'', Revue de Bretagne et de Vendée,t.XLV - jan-fév 1911</ref> <ref> ''Actes des prêtres insermentés de l'arrondissement de Rennes et guillotinés en 1794'', par l'abbé Auguste Lemasson. Bureau du secrétariat de l'archevêché XXII - 1927</ref>.
En 1802, Bouaissier serait mort dans d'atroces convulsions consécutives à la grande émotion qu'il aurait ressentie en entendant, passant devant leur hôtel (à l'emplacement de l'actuel Hôtel Villemain), les voix des deux demoiselles l'appelant par son nom<ref>''A travers la Bretagne'', Revue de Bretagne et de Vendée,t.XLV - jan-fév 1911</ref> <ref> ''Actes des prêtres insermentés de l'arrondissement de Rennes et guillotinés en 1794'', par l'abbé Auguste Lemasson. Bureau du secrétariat de l'archevêché XXII - 1927</ref>.
[[Fichier:D%C3%A9c%C3%A9s_place_de_l%27%C3%A9galit%C3%A9.png|400px|left|thumb|Quatre guillotinés place de l'Égalité, le 8 thermidor, an II]]
Force est de constater que s'il y eut bien quatre guillotinés  le 8 thermidor, soit le 26 juillet 1794, on n'y trouve point mention des demoiselles Dufresne de Renac, ce jour ni les jours suivants...


===références===
===références===
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