« Hubert de Solminihac » : différence entre les versions

(Page créée avec « Catégorie:Rennes sous l'occupation ==Hubert de Solminihac== Résistant (1910, Rennes - 20 juin 1990, Chantepie) D’une fratrie de sept dont le père est mort pour la France en 1914, Jacques, Hubert, Alain,Marie de Solminihac fait ses études à Rennes. Il entre dans la Résistance en participant au réseau de résistance Défense de la France dont il devient responsable militaire pour l’Ille-et-Vilaine. . C’est sous le seul prénom Hubert qi’ il... »)
 
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De Solminihac estima qu’« Herbart essaie vainement d’obtenir une entente avec d’autres mouvements », notamment le Front national communiste.
De Solminihac estima qu’« Herbart essaie vainement d’obtenir une entente avec d’autres mouvements », notamment le Front national communiste.


Le 3 août 1944 au soir, la veille de la [[libération de Rennes]],  le maire de Rennes, le docteur [[René Patay ] ] voit arriver Hubert de Solminihac, accompagné de quelques résistants, représentant du commissaire de la République nommé par le Comité d'Alger, envoyé par Herbart pour prendre possession de la mairie,  qui le contraint à démissionner. En quittant l’hôtel  de ville Patay dit : « A vous maintenant de vous occuper des ponts… »  
Le 3 août 1944 au soir, la veille de la [[libération de Rennes]],  le maire de Rennes, le docteur [[René Patay]] voit arriver Hubert de Solminihac, accompagné de quelques résistants, représentant du commissaire de la République nommé par le Comité d'Alger, envoyé par Herbart pour prendre possession de la mairie,  qui le contraint à démissionner. En quittant l’hôtel  de ville Patay dit : « A vous maintenant de vous occuper des ponts… »  
De Solminihac entra au second comité départemental de la libération où siégea aussi Emilienne Martin qu’il épousa  et Charles Foulon <ref>[[avenue Charles Foulon]]</ref> en évoquant les mémoires de ces camarades,  constata que, dans la clandestinité, ce couple comme d’autres se retrouva « doublement uni par l’amour et par l’idéal ».
De Solminihac entra au second comité départemental de la libération où siégea aussi Emilienne Martin qu’il épousa  et Charles Foulon <ref>[[avenue Charles Foulon]]</ref> en évoquant les mémoires de ces camarades,  constata que, dans la clandestinité, ce couple comme d’autres se retrouva « doublement uni par l’amour et par l’idéal ».


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