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Georges Duhamel à Rennes en 1940 (voir la source)
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Et de vanter l'institut du cancer du professeur Marquis. Puis, "dans cette ville où l'on marche facilement, avec plaisir, sans fatigue" il admire le palais de justice, le Thabor. <ref> "J'ai fait une belle découverte : Rennes!", Paul Béguier. ''Ouest-Eclair'' 14 avril 1940 </ref> | Et de vanter l'institut du cancer du professeur Marquis. Puis, "dans cette ville où l'on marche facilement, avec plaisir, sans fatigue" il admire le palais de justice, le Thabor. <ref> "J'ai fait une belle découverte : Rennes!", Paul Béguier. ''Ouest-Eclair'' 14 avril 1940 </ref> | ||
Dès l'exode qui se traduit à Rennes par l'afflux des réfugiés, Georges Duhamel est à Rennes et "il a retrouvé toute l'expérience et la sûreté de main du jeune aide-major de 1914, pour extraire les balles dont les Teutons criblèrent les pauvres fuyards". <ref> Une rencontre imprévue au centre de Pontchaillou. ''Ouest-Eclair'' 31 mai 1940</ref> Quinze jours plus tard, après le [[Bombardement du 17 juin 1940]], le médecin major chirurgien sera au chevet de victimes à l"hôpital de Pontchaillou. | Dès l'exode qui se traduit à Rennes par l'afflux des réfugiés, Georges Duhamel est à Rennes pour aider son ami, le professeur Marquis, et "il a retrouvé toute l'expérience et la sûreté de main du jeune aide-major de 1914, pour extraire les balles dont les Teutons criblèrent les pauvres fuyards". <ref> Une rencontre imprévue au centre de Pontchaillou. ''Ouest-Eclair'' 31 mai 1940</ref> Quinze jours plus tard, après le [[Bombardement du 17 juin 1940]], le médecin major chirurgien sera toujours au chevet de victimes à l"hôpital de Pontchaillou. De son expérience rennaise, il publia en 1941, un petit livre, ''Lieu d'asile''. | ||
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