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[[Fichier:E.Carr%C3%A9.jpg|150px|right|thumb|Ernest Carré]] | [[Fichier:E.Carr%C3%A9.jpg|150px|right|thumb|Ernest Carré]] | ||
Ernest Carré est né le 31 août 1924 à [[Chantepie]] . Il est matelot sur le cuirassé Dunkerque et après le sabordage du navire, le 27 novembre 1942, à Toulon, il vient se réfugier non loin de sa famille. En mars 1944, il rejoint le maquis à [[Chartres-de-Bretagne]] et appartient au groupe FTPF (Francs-tireurs et partisans français). Son réseau s’appelle « France-d’abord », de [[Louis Pétri]] | Ernest Carré est né le 31 août 1924 à [[Chantepie]] . Il est matelot sur le cuirassé Dunkerque et après le sabordage du navire, le 27 novembre 1942, à Toulon, il vient se réfugier non loin de sa famille. En mars 1944, il rejoint le maquis à [[Chartres-de-Bretagne]] et appartient au groupe FTPF (Francs-tireurs et partisans français). Son réseau s’appelle « France-d’abord », de Louis Pétri <ref>[[rue Louis Pétri]]</ref> | ||
Sous les ordres d'[[Émile Favennec]] et d’André Kermarrec, il désarme des Allemands, à Rennes, rue de Saint-Malo et rue de Brest, ainsi que des policiers en faction devant les sièges des partis collaborationnistes de Rennes : LVF (Légion des volontaires français), RNP (Rassemblement national populaire), PPF (Parti populaire français). Le 26 juin 1944, il est arrêté à Rennes, [[place du Parlement]] par des militaires allemands. Reconnu par l’un de ceux qu’il aurait désarmé,[[ rue Alphonse Leray]], il est retenu au siège de la Gestapo, 3 jours durant puis il est incarcéré à Rennes, à la [[prison Jacques-Cartier]]. | Sous les ordres d'[[Émile Favennec]] et d’André Kermarrec, il désarme des Allemands, à Rennes, rue de Saint-Malo et rue de Brest, ainsi que des policiers en faction devant les sièges des partis collaborationnistes de Rennes : LVF (Légion des volontaires français), RNP (Rassemblement national populaire), PPF (Parti populaire français). Le 26 juin 1944, il est arrêté à Rennes, [[place du Parlement]] par des militaires allemands. Reconnu par l’un de ceux qu’il aurait désarmé,[[ rue Alphonse Leray]], il est retenu au siège de la Gestapo, 3 jours durant puis il est incarcéré à Rennes, à la [[prison Jacques-Cartier]]. |
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