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À Rennes les lieux d'interrogatoires et de tortures furent le château d'Apigné et la [[rue du Griffon]]. Dans la nuit du 30 juin  
À Rennes les lieux d'interrogatoires et de tortures furent le château d'Apigné et la [[rue du Griffon]]. Dans la nuit du 30 juin  
deux Rennais sont assassinés en représailles de l'exécution de Philippe Henriot<ref>[[Juin 1944 : des Rennais otages, fusillés, assassinés]]</ref>. <ref>[[ Nuit du 30 juin 1944, des miliciens pour assassiner des Rennais]]</ref>Émile Schwaller, qui avait torturé des résistants comme Ginette Lion, agent de liaison de la Résistance, arrêtée en [[gare de Rennes]], sera condamné à mort et exécuté ainsi que Di Costanzo. Le dimanche 16 juillet, les Miliciens, ayant organisé une manifestation intime avec le concours des musiciens du ''Café de la Paix'', ceux-ci tinrent à faire savoir qu'ils avaient fait l'abandon de leurs cachets, soit 2000 F., au profit des sinistrés<ref>''Ouest-Eclair'' du 24 juillet 1944</ref>.
deux Rennais sont assassinés en représailles de l'exécution de Philippe Henriot<ref>[[Juin 1944 : des Rennais otages, fusillés, assassinés]]</ref>. <ref>[[ Nuit du 30 juin 1944, des miliciens pour assassiner des Rennais]]</ref>Émile Schwaller, <ref>[[Émile Schwaller, volontaire LVF puis milicien criminel]]</ref> qui avait torturé des résistants comme Ginette Lion, agent de liaison de la Résistance, arrêtée en [[gare de Rennes]], sera condamné à mort et exécuté ainsi que Di Costanzo. Le dimanche 16 juillet, les Miliciens, ayant organisé une manifestation intime avec le concours des musiciens du ''Café de la Paix'', ceux-ci tinrent à faire savoir qu'ils avaient fait l'abandon de leurs cachets, soit 2000 F., au profit des sinistrés<ref>''Ouest-Eclair'' du 24 juillet 1944</ref>.
[[Fichier:Milice.png|300px|center|thumb|Le 1er août 1944, paraît dans le dernier numéro de ''l'Ouest-Éclair'', un plaidoyer pour la Milice qui vilipende les maquisards. Il se termine par ; "À suivre" !]]
[[Fichier:Milice.png|300px|center|thumb|Le 1er août 1944, paraît dans le dernier numéro de ''l'Ouest-Éclair'', un plaidoyer pour la Milice qui vilipende les maquisards. Il se termine par ; "À suivre" !]]


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