« Avenue Germaine Dulac » : différence entre les versions

aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 12 : Ligne 12 :




Germaine Dulac réside à Paris pendant son adolescence où elle découvre la photographie. Elle collabore au journal La Fronde <ref>{{w|La fronde(journal)}}</ref>, dont les revendications sont féministes, sociales et anticléricales. Elle épouse en 1905 Albert Dulac, universitaire et écrivain.  
Germaine Dulac réside à Paris pendant son adolescence où elle découvre la photographie. Elle collabore au journal La Fronde <ref>{{w|La Fronde(journal)}}</ref>, dont les revendications sont féministes, sociales et anticléricales. Elle épouse en 1905 Albert Dulac, universitaire et écrivain.  


Germaine Saisset-Schneider de son nom de jeune fille, épouse en 1905 le romancier Albert Dulac. D'abord au journal féministe ''La Française'', elle rédige surtout des portraits de femmes et des critiques de théâtre de 1906 à 1913 puis, en 1916, elle monte avec son mari unemaison de production, « Delia film ».
Germaine Saisset-Schneider de son nom de jeune fille, épouse en 1905 le romancier Albert Dulac. D'abord au journal féministe ''La Française'', elle rédige surtout des portraits de femmes et des critiques de théâtre de 1906 à 1913 puis, en 1916, elle monte avec son mari unemaison de production, « Delia film ».
Ligne 19 : Ligne 19 :
Après ''Les Sœurs ennemies'' (1915) et ''Venus Victrix'' (1917), elle réalise, d'après un scénario de son ami Louis Delluc, ''La Fête espagnole''. Dès 1920, elle publie de nombreux écrits historiques aux vues nouvelles.
Après ''Les Sœurs ennemies'' (1915) et ''Venus Victrix'' (1917), elle réalise, d'après un scénario de son ami Louis Delluc, ''La Fête espagnole''. Dès 1920, elle publie de nombreux écrits historiques aux vues nouvelles.


Après ''La Mort du Soleil'' (1921), vient ''La Souriante Madame Beudet'' (1923), critique de la vie conjugale petite-bourgeoise. Elle milite pour répandre l'amour du cinéma et contribue à développer les ciné-clubs. Plus tard, elle rejoint la « seconde avant-garde », avec ''La Coquille'' et ''le Clergyman'' (1928) puis réalise des symphonies d'images en musique, avec ''Disque 927'' (1927) (d'après Chopin) ou ''Thèmes et Variations'' (1928).
Après ''La Mort du Soleil'' (1921), vient ''La Souriante Madame Beudet'' (1923), critique de la vie conjugale petite-bourgeoise. Elle milite pour répandre l'amour du cinéma et contribue à développer les ciné-clubs. Plus tard, elle rejoint la « seconde avant-garde », avec ''La Coquille'' et ''le Clergyman'' (1928) puis réalise des symphonies d'images en musique, avec ''Disque 927'' (1927) (d'après Chopin)<ref>[https://www.youtube.com/watch?v=rAJVSoRlz-k]<ref> ou ''Thèmes et Variations'' (1928).


Le cinéma parlant arrêtant la production indépendante, elle œuvre aux Actualités Gaumont dont elle est directrice adjointe.
Le cinéma parlant arrêtant la production indépendante, elle œuvre aux Actualités Gaumont dont elle est directrice adjointe.


==Lien interne==
* [[rue Aurélie Nemours]]
==Liens externes==
* [https://www.youtube.com/watch?v=1yFjO53uK7U "L'invitation au voyage 1927 de Germaine Lulac]
* [https://www.youtube.com/watch?v=rAJVSoRlz-k ''Disque 927'' (1927) (d'après Chopin) de Germaine Dulac]
== Sur la carte ==
== Sur la carte ==
{{#display_points: Avenue Germaine Dulac, Rennes |width=450|zoom=14}}
{{#display_points: Avenue Germaine Dulac, Rennes |width=450|zoom=14}}


1 685

modifications