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Depuis 1949, une place du centre de Rennes , la [[place Honoré Commeurec]], porte son nom.
Depuis 1949, une place du centre de Rennes , la [[place Honoré Commeurec]], porte son nom.
[[Fichier:25_condam%C3%A9s_d%C3%A9c._1942.png|350px|right|thumb|''Ouest-Eclair'', 26 décembre 1942]]
===Les fusillés de la Maltière===


===Les fusillés de la Maltière===
Le 12 mai 1942, les quatre préfets de Bretagne sont réunis à Vannes sous la présidence du préfet régional Ripert, pour des problèmes de ravitaillement mais, au premier chef, devant la recrudescence des attentats terroristes  contre l'armée d'occupation, pour arrêter des dispositions en vue de "réprimer énergiquement les actes criminels et pour découvrir leurs auteurs qui seront impitoyablement châtiés".<ref>''Ouest-Eclair'' du 13 mai 1942</ref>
 
En décembre 1942, 25 membres résistants communistes, d'une moyenne d'âge de 29 ans, dont 18 habitaient Rennes, passèrent devant le tribunal de la Feldkommandantur 748 siégeant au palais de justice et, après un procès de sept jours, furent condamnés à mort, le 22 décembre, pour transport d'explosifs et d'armes, sabotages de voies ferrées, de pylônes, de câbles et attentats contre divers organismes collaborateurs et exécutés le 30 décembre à la [[butte  des Fusillés de la Maltière]]. Un témoin les vit passer en camion : ils chantaient.


En septembre 1942, 25 membres résistants communistes, d'une moyenne d'âge de 29 ans, dont 18 habitaient Rennes, passèrent devant le tribunal de la Feldkommandantur 748 siégeant au palais de justice et furent condamnés à mort, le 22 septembre, pour transport d'explosifs et d'armes, sabotages de voies ferrées, de pylônes, de câbles et attentats contre divers organismes collaborateurs et exécutés le 30 décembre à la [[butte  des Fusillés de la Maltière]]. Un témoin les vit passer en camion : ils chantaient.


Le 12 mai 1942, les quatre préfets de Bretagne sont réunis à Vannes sous la présidence du préfet régional Ripert, pour des problèmes de ravitaillement mais, au premier chef, devant la recrudescence des attentats terroristes  contre l'armée d'occupation, pour arrêter des dispositions en vue de "réprimer énergiquement les actes criminels et pour découvrir leurs auteurs qui seront impitoyablement châtiés".<ref>''Ouest-Eclair'' du 13 mai 1942</ref>




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