« Retour d'Algérie à Rennes, une nuit de février 1961 » : différence entre les versions

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- Oui. On t'y attends, tu penses. Tiens, mets ton barda dans le coffre.
- Oui. On t'y attends, tu penses. Tiens, mets ton barda dans le coffre.


Quelques enseignes lumineuses marquaient les hôtels bordant la place. Les portes claquèrent  et l'Aronde s'engagea dans l'[[avenue Janvier]]. Au début, à droite, flambaient les anneaux entrelacés de ''l'Olympic Bar''. De chaque côté, les points jaunes des lampadaires balisaient, tout droit, l'avenue. A gauche, Charlier aperçut la pâle et plate façade de la cité administrative, puis l'abside de la chapelle et la longue bâtisse, de tufeau et de briques, du [[lycée Chateaubriand]], puis à droite, la devanture du magasin de jouets Tomine.
Quelques enseignes lumineuses marquaient les hôtels bordant la place. Les portes claquèrent  et l'Aronde s'engagea dans l'[[avenue Janvier]]. Au début, à droite, flambaient les anneaux entrelacés de ''l'Olympic Bar''. De chaque côté, les points jaunes des lampadaires balisaient, tout droit, l'avenue. A gauche, Charlier aperçut la pâle et plate façade de la cité administrative, puis l'abside de la chapelle et la longue bâtisse, de tufeau et de briques, du lycée Chateaubriand,<ref>[[Lycée Émile Zola]]</ref> puis à droite, la devanture du magasin de jouets Tomine.


Ils coupèrent la longue et large trouée des quais, piqués de réverbères, enserrant, dans leurs profondes parois de granit, l'eau noire de la [[Vilaine]].
Ils coupèrent la longue et large trouée des quais, piqués de réverbères, enserrant, dans leurs profondes parois de granit, l'eau noire de la [[Vilaine]].
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