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Il fréquenta les ateliers et salons de peinture et les cénacles littéraires où il côtoya Catulle Mendès, Henri Rochefort, Jean Richepin, Villiers de l'Isle-Adam, François Coppée, Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé, José-Maria de Heredia, Émile Zola, Alphonse Daudet, Édouard Manet, Edgar Degas, Léon Gambetta et l’astronome Camille Flammarion. Richepin et lui deviendront inséparables : ils fondent ensemble le groupe des Vivants. | Il fréquenta les ateliers et salons de peinture et les cénacles littéraires où il côtoya Catulle Mendès, Henri Rochefort, Jean Richepin, Villiers de l'Isle-Adam, François Coppée, Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé, José-Maria de Heredia, Émile Zola, Alphonse Daudet, Édouard Manet, Edgar Degas, Léon Gambetta et l’astronome Camille Flammarion. Richepin et lui deviendront inséparables : ils fondent ensemble le groupe des Vivants. | ||
Ponchon passa de nombreuses vacances dans la maison de Richepin en Bretagne. Celui-ci écrit plusieurs textes sur Ponchon, dont un dans ''la Chanson des gueux'', et la dédicace de ''la muse au Cabaret''(1920) sera à ses très chers amis Jean Richepin et Maurice Bouchor. Il considérait les Richepin comme sa seconde famille, et repose à côté de son ami Jean au cimetière de Pléneuf-Val-André (Côtes d’Armor). Il publia son premier texte, ''Chanson vineuse'', dans la ''République des Lettres'', le 3 décembre 1876, et dix ans plus tard, il est embauché au ''Courrier français''pour y tenir une chronique en vers hebdomadaire, et c’est le début des gazettes rimées, qu’il étendra à d’autres publications : ''La Presse'', journal boulangiste, puis ''Le Journal'' à partir de 1897. | Ponchon passa de nombreuses vacances dans la maison de Richepin en Bretagne. Celui-ci écrit plusieurs textes sur Ponchon, dont un dans ''la Chanson des gueux'', et la dédicace de ''la muse au Cabaret'' (1920) sera à ses très chers amis Jean Richepin et Maurice Bouchor. Il considérait les Richepin comme sa seconde famille, et repose à côté de son ami Jean au cimetière de Pléneuf-Val-André (Côtes d’Armor). Il publia son premier texte, ''Chanson vineuse'', dans la ''République des Lettres'', le 3 décembre 1876, et dix ans plus tard, il est embauché au ''Courrier français'' pour y tenir une chronique en vers hebdomadaire, et c’est le début des gazettes rimées, qu’il étendra à d’autres publications : ''La Presse'', journal boulangiste, puis ''Le Journal'' à partir de 1897. | ||
Dédaignant les honneurs, il est membre de l’Académie Goncourt à partir de 1924, probablement sur initiative de ses amis pour qu’il puisse avoir la pension associée, alors qu’il ne publiait plus de gazettes). Il fut fait chevalier de la Légion d’honneur. Ponchon se considérait comme un petit poète de la vie quotidienne, indigne d’être publié. Malgré lui, parurent des recueils de ses poèmes. A 89 ans, il se cassa le col du fémur en descendant de son lit. Il mourut quelques jours plus tard. | Dédaignant les honneurs, il est membre de l’Académie Goncourt à partir de 1924, probablement sur initiative de ses amis pour qu’il puisse avoir la pension associée, alors qu’il ne publiait plus de gazettes). Il fut fait chevalier de la Légion d’honneur. Ponchon se considérait comme un petit poète de la vie quotidienne, indigne d’être publié. Malgré lui, parurent des recueils de ses poèmes. A 89 ans, il se cassa le col du fémur en descendant de son lit. Il mourut quelques jours plus tard. |
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