« Camp Victor Rault - n° 25 » : différence entre les versions

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[[Fichier:Christian - sa maman et moi 05-04-059.jpg|thumb|200px|''Christian à droite devant sa mère, le militaire des trans, moi à 19 ans.'']]
[[Fichier:Christian - sa maman et moi 05-04-059.jpg|thumb|200px|''Christian à droite devant sa mère, le militaire des trans, moi à 19 ans.'']]
Christian Vallier, mon cher copain, habite au camp Victor Rault dans un pavillon de type suédois. Toujours souriant, toujours gai, d’une grande gentillesse, nous blaguons souvent. Il possède toujours, en réserve, une histoire drôle à raconter. Ensemble, nous allons quelquefois nous promener à vélo. Une journée d’été, Il fait chaud, nous avons soif, nous nous désaltérons dans un café en bordure de route et dégustons une bonne bolée de cidre doux coupé d’eau. Une bolée coûte cent sous (5 francs anciens). Nous nous sommes connus dans la classe de monsieur Ory, à l’école Victor Rault, en 1946 et sommes restés copains jusqu’au CET du [[Boulevard Laënnec]] à Rennes et même plus tard quand j’étais militaire, engagé à 18 ans.  
Christian Vallier, mon cher copain, habite au camp Victor Rault dans un pavillon de type suédois. Toujours souriant, toujours gai, d’une grande gentillesse, nous blaguons souvent. Il possède constamment, en réserve, une histoire drôle à raconter. Ensemble, nous allons quelquefois nous promener à vélo. Une journée d’été, Il fait chaud, nous avons soif, nous nous désaltérons dans un café en bordure de route et dégustons une bonne bolée de cidre doux coupé d’eau. Une bolée coûte cent sous (5 francs anciens). Nous nous sommes connus dans la classe de monsieur Ory, à l’école Victor Rault, en 1946 et sommes restés copains jusqu’au CET du [[Boulevard Laënnec]] à Rennes et même plus tard quand j’étais militaire, engagé à 18 ans.  
Christian est quelques fois distrait, monsieur Ory l’appelle même affectueusement ''ballot''. Il a un jour, fait une chute de vélo, la poignée du frein qui lui a perforé une cuisse, a failli lui sectionner l’artère fémorale. Il lui arrive parfois d’être victime de petits accidents. En permission de fin de stage, je lui rends visite, la joie est communicative dans la famille Vallier.
Christian est quelques fois distrait, monsieur Ory l’appelle même affectueusement ''ballot''. Il a un jour, fait une chute de vélo, la poignée du frein qui lui a perforé une cuisse, a failli lui sectionner l’artère fémorale. Il lui arrive parfois d’être victime de petits accidents. En permission de fin de stage, je lui rends visite, la joie est communicative dans la famille Vallier.


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