« Rue Saint-Yves » : différence entre les versions

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Au n°7, entre les fenêtres du rez-de-chaussée de l'ancienne maison conventuelle des Augustines hospitalières qui servaient l'hôpital Saint-Yves, on voit, assez effacées, les deux écussons des armes du seigneur de Ligouyer,  propriétaire de l'hôtel à l'emplacement duquel les soeurs construisirent avec obligation de garder les armes de l'ancien hôtel.
Au n°7, entre les fenêtres du rez-de-chaussée de l'ancienne maison conventuelle des Augustines hospitalières qui servaient l'hôpital Saint-Yves, on voit, assez effacées, les deux écussons des armes du seigneur de Ligouyer,  propriétaire de l'hôtel à l'emplacement duquel les soeurs construisirent avec obligation de garder les armes de l'ancien hôtel.
    
    
Au bout de la rue s'élève '''l'ancienne chapelle Saint-Yves''', construite au dernier quart du 15e siècle, avec son portail ouest de style ogival  aux élégantes sculptures. Elle était la chapelle de l'hôpital Saint-Yves, construit au 14e siècle sur initiative d'Eudon Le Bouteiller, prêtre du diocèse de Tréguier, et détruit vers [[1860]] pour permettre l'alignement du quai. Négligée, elle fut même laissée, aux 19e et 20e siècles, à usage d'entrepôt de quivaillerie. Objet d'une heureuse réhabilitation en [[1997]], elle abrite l'office du tourisme et une exposition permanente sur l'histoire architecturale de "Rennes, métropole d'art et d'histoire". Les cinq vitraux modernes de Gérard Lardeur s'harmonisent heureusement avec cette construction d'âge avancé.
Au bout de la rue s'élève '''l'ancienne chapelle Saint-Yves''', construite au dernier quart du 15e siècle, avec son portail ouest de style ogival  aux élégantes sculptures. Elle était la chapelle de l'hôpital Saint-Yves, construit au 14e siècle sur initiative d'Eudon Le Bouteiller, prêtre du diocèse de Tréguier, et détruit vers [[1860]] pour permettre l'alignement du quai. Négligée, elle fut même laissée, aux 19e et 20e siècles, à usage d'entrepôt de quincaillerie. Objet d'une heureuse réhabilitation en [[1997]], elle abrite l'office du tourisme et une exposition permanente sur l'histoire architecturale de "Rennes, métropole d'art et d'histoire". Les cinq vitraux modernes de Gérard Lardeur s'harmonisent heureusement avec cette construction d'âge avancé.


[[File:Plan de 1616 (St Pierre - Cartage).jpg|thumb|300px|La [[rue Saint-Yves]] (24) sur le plan de [[1616]] dit d'Argentré <br />''Autres éléments représentés :''<br />[[Cathédrale Saint-Pierre]] ;<br />[[Rue des Lauriers]] : (25) ; à l'arrière<br />[[Grand bout de cohue]] ; en haut<br />[[Rue de la Mitrie]] plus bas<br />"Les deux cours de Rennes" : (29) <br />[[Rue du Chapitre]] : (23)<br />"Calvaire et grande pompe"<br />[[Rue Tristin]] rue montant à droite.]]
[[File:Plan de 1616 (St Pierre - Cartage).jpg|thumb|300px|La [[rue Saint-Yves]] (24) sur le plan de [[1616]] dit d'Argentré <br />''Autres éléments représentés :''<br />[[Cathédrale Saint-Pierre]] ;<br />[[Rue des Lauriers]] : (25) ; à l'arrière<br />[[Grand bout de cohue]] ; en haut<br />[[Rue de la Mitrie]] plus bas<br />"Les deux cours de Rennes" : (29) <br />[[Rue du Chapitre]] : (23)<br />"Calvaire et grande pompe"<br />[[Rue Tristin]] rue montant à droite.]]
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