1620
- Les pères minimes concrétisent leur établissement dans la ville sous la forme d'une chapelle bâtie sur le commun qui deviendra la place des Lices, avant que leur couvent prenne place au niveau de la rue Saint-Louis. Plus au nord, rue Saint-Melaine, les premières carmélites voient aussi leur chapelle commencer à s'élever, près de ce qui s'appellera le passage des Carmélites qui conduisit au grand séminaire, édifié, au 19e siècle, sur le site de leur couvent détruit[1].
- Date du plus ancien registre de sépultures conservé de la paroisse Saint-Pierre-en-Saint-Georges, mais celui pour Saint-Sauveur date de 1552, celui de Saint-Étienne de 1559.
Références
- ↑ Bruno Isbled. Moi, Claude Bordeaux... Journal d'un bourgeois de Rennes au 17e siècle. Éditions Apogée. Page 58.