1911
- 2 janvier : deux élus socialistes refusent de serrer la main du maire Jean Janvier prétextant qu'il ne s'est pas suffisamment opposé à la répression contre les meneurs de la grève des cheminots, licenciés après les mouvements en fin 1910.[1]
- 11 janvier : 200 terrassiers se mettent en grève pour réclamer une augmentation de leurs salaire, qui oscillent entre 20 et 40 centimes de l'heure.[2]
- 7 mars : le conseil municipal ratifie l'acquisition du bâtiment situé 10, rue saint Louis, qui deviendra la Maison du Peuple
- Mars : six étudiants écopent d'une contravention pour tapage nocturne sur la place Saint-Anne[3].
- Mars : un conseiller municipale socialiste demande la création d'un asile de nuit pour héberger les sans-abris (aucun équipement de ce type n'existait auparavant).[4]
- 30 avril : Marc Sangnier préside une réunion à Rennes.
- 28 octobre : inauguration des nouveaux locaux universitaires (ouverts quelques temps auparavant) : la faculté de Lettres s'installe dans les locaux du Grand séminaire de la Place Hoche, actuel emplacement de la Faculté de Sciences économiques ; la faculté de Droit s'installe place Saint-Melaine; la Faculté des Beaux Arts s'installe rue Hoche dans l'ancien couvent de la Visitation.
- 29 octobre : inauguration de la sculpture située sur l'Hôtel de ville, réalisée par Jean Boucher, représentant l'union de la Bretagne à la France.
Notes et références
- ↑ Source : L'Ouest-Éclair, cité par Jean Quéniart, professeur émérite d'Histoire à l'université Rennes 2 lors d'une conférence organisée le 30 novembre 2010 par l'Association Les Trois Maisons
- ↑ Source : L'Ouest-Éclair, cité par Jean Quéniart, professeur émérite d'Histoire à l'université Rennes 2 lors d'une conférence organisée le 30 novembre 2010 par l'Association Les Trois Maisons
- ↑ Source : L'Ouest-Éclair
- ↑ Source : L'Ouest-Éclair, cité par Jean Quéniart, professeur émérite d'Histoire à l'université Rennes 2 lors d'une conférence organisée le 30 novembre 2010 par l'Association Les Trois Maisons