Bonjour Stéphanus,
Je m'aperçois seulement aujourd'hui de votre excellent travail de correction et par voie de conséquence Je constate mes nombreuses fautes. Je n'y avais pas prêté attention ou plutôt je ne savais pas comment procéder pour arriver ici. Un grand merci donc de me permettre d'éviter d'être trop idiot. Bien que je lise et relise le texte plusieurs fois, je passe sur des fautes d'hortograffe ou de syntaxe.
Pour ce qui concerne la manière d'orthographier GI, je souhaiterais de ne pas y mettre de points. Encore merci Cordialement Albert
Concerne la chronique à venir.
Bonjour , Oui bien sûr j'en conviens, mais nous nous privons d'une suite qui brosse un tableau de comparaison intéressant entre le Nord et Rennes en cette période de fin de guerre. Et puis, en fin de compte, cette prochaine chronique explique la raison de notre très proche retour à Rennes. Parce que, oui en effet,nous revenons à Rennes 9 mois après notre arrivée la bas. Nous traverserons en automobile le récent champ de bataille de Normandie qu'il est intéressant de décrire. Il est toutefois exact qu'il s'agisse d’événements personnels, comme d'ailleurs l'ensemble des événements qui composent mon discours. Rennes reste quand-même le point central du texte. Au printemps 1946, notre installation à Rennes au camp Victor Rault dans les baraquements qui ont servi aux réfugiés républicain espagnols de 1936. la vie dans ce camp pendant cinq années, tout un programme. Sans cette digression concernant notre retour dans le nord comment expliquer la suite.
Si vous ne souhaitez pas que j'édite cette chronique du Nord, veuillez avoir l'obligeance de supprimer les trois photos qui la concernent
Bien à vous
Albert
Bonsoir Stéphanus, 1947 à Lille!!! Eh bien cher ami, vous ne devez plus être, comme moi, de la première jeunesse. Enfin, si la santé est bonne, alors le reste suit. Bien cordialement et encore merci pour vos corrections passées,présentes et à venir. Albert Albert