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Serrurier à la SNCF à Rennes, il fut un responsable clandestin du PCF en Ille-et-Vilaine. Il participa à la diffusion de tracts et de journaux clandestins et assura plusieurs transports de matériel de propagande, ainsi que du matériel de sabotage. | Serrurier à la SNCF à Rennes, il fut un responsable clandestin du PCF en Ille-et-Vilaine. Il participa à la diffusion de tracts et de journaux clandestins et assura plusieurs transports de matériel de propagande, ainsi que du matériel de sabotage. | ||
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Il s’était marié à Rennes le 22 septembre 1941 avec Anne-Marie Barbot<ref>https://maitron.fr/spip.php?article137904</ref>, il habitait alors au 107 [[rue de Châtillon]]<ref>L'Ouest-Eclair du 6 septembre 1941, page 4</ref>. | Il s’était marié à Rennes le 22 septembre 1941 avec Anne-Marie Barbot<ref>https://maitron.fr/spip.php?article137904</ref>, il habitait alors au 107 [[rue de Châtillon]]<ref>L'Ouest-Eclair du 6 septembre 1941, page 4</ref>. | ||
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Version actuelle datée du 30 mars 2023 à 11:39
La rue Antoine Joly se situe dans le quartier 10 : Villejean - Beauregard et prend son origine sur la rue de Coëtlogon. Cette voie fut dénommée par délibération du Conseil Municipal de la Ville de Rennes le 6 avril 1998[1]. Anciennement cette portion de voie faisait partie de l'avenue de Coëtlogon. Au 53 de la rue Antoine Joly, à l'extrémité de la rue, existe un lycée professionnel dans l'Ancien château de Coëtlogon.
Cette voie rend hommage à
Antoine Joly
Résistant mort en déportation (3 octobre 1917, Rouen - fin avril 1945, Ravensbrück, Allemagne)
Serrurier à la SNCF à Rennes, il fut un responsable clandestin du PCF en Ille-et-Vilaine. Il participa à la diffusion de tracts et de journaux clandestins et assura plusieurs transports de matériel de propagande, ainsi que du matériel de sabotage.
Arrêté le 23 novembre 1943 à Rennes par la SPAC (Service de police anti-communiste), il est interné à la prison Jacques Cartier du 23 novembre au 23 décembre 1943, transféré à Laval puis à Angers enfin au camp de Royallieu à Compiègne. Il fut déporté le 4 juin 1944 vers Neuengamme, et mourut à Ravensbrück. Son acte de naissance porte en marge "mort en Allemange à une date inconnue antérieure au 1er juillet 1946".
Il s’était marié à Rennes le 22 septembre 1941 avec Anne-Marie Barbot[2], il habitait alors au 107 rue de Châtillon[3].
Sur la carte
Note et références
- ↑ Délibérations municipales, Archives de Rennes
- ↑ https://maitron.fr/spip.php?article137904
- ↑ L'Ouest-Eclair du 6 septembre 1941, page 4