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« Groupe scolaire Sonia Delaunay » : différence entre les versions
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Version du 16 février 2023 à 16:43
Le groupe scolaire Sonia Delaunay est situé dans le quartier de Beauregard et a été dénommée par délibération du conseil municipal en date du 14 janvier 2012 pour rendre hommage à :
Sonia Delaunay
Sonia Ilinitchna Stern naît dans une famille juive ukrainienne. Elle décrit sa famille en ces mots : "Mon père était ouvrier. A Gradjisk, en Ukraine, il travaillait dans une fabrique de clous. Je tiens de lui une grande intransigeance, l'horreur de la cupidité et de la mesquinerie (...) Mon oncle, le frère de ma mère m'avait ouvert un milieu de culture (...) mon père, lui, m'a légué l'honnêteté. À trois ans, une ligne de vie intérieure était tracée, je ne m'en suis jamais écartée"[1].
À l'âge de cinq ans, Sonia est adoptée par son oncle Terk qui est avocat à Saint-Pétersbourg[2], à la demande de son oncle lui-même[1]. La mère de Sonia n'a tout d'abord pas accepté l'adoption complète, elle a seulement confié à Henri Terk l'éducation de l'enfant dès l'âge de trois ans<{{#invoke:Biblio|lienWeb}}. Deux ans plus tard, définitivement adoptée par les Terk, Sonia vit dans un milieu cultivé. Elle passe ses vacances en Finlande où l'oncle a une maison, en Suisse, en Italie, en Allemagne[3].
[6]. Ces peintres ont fondé un nouveau style : le fauvisme qui l'enthousiasme, mais qu'elle veut dépasser. Selon Jacques Damase, "Même en dehors du fauvisme, Sonia appartient, par la couleur de ses premiers tableaux à l'espèce des grands fauves. Sa force de création est instinctive comme la puissance animale"[6].
Sonia se considérait avant tout comme française et plus encore, comme parisienne : "Je ne me sens bien qu'en France, et encore pas partout. Avant tout l'Île-de-France , c'est ce que j'aime le plus — Sonia Delaunay, propos recueilli par Jacques Damase en 1978"[7].
Notes et références
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Sur la carte
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesDamase Delaunay 12
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