A l'occasion des 80 ans de la libération de Rennes, (re)découvrez l'ensemble des
contributions autour de la Seconde Guerre mondiale et de la libération sur Wiki-Rennes.
« Rue Jean-Claude Camors » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications |
m (→Jean-Claude Camors : Ajout d'un lien externe) |
||
Ligne 18 : | Ligne 18 : | ||
Jean-Claude Camors est retrouvé mort le lendemain matin sur un palier du 3, [[rue Maréchal Joffre]]. Il avait 24 ans. | Jean-Claude Camors est retrouvé mort le lendemain matin sur un palier du 3, [[rue Maréchal Joffre]]. Il avait 24 ans. | ||
Lien externe sur Memoiredeguerre[http://memoiredeguerre.free.fr/fusilles/fusilles35-alpha.htm#deb] | |||
== Sur la carte == | == Sur la carte == |
Version du 2 juin 2018 à 17:47
La rue Jean-Claude Camors se situe dans le quartier Bellangerais.
Cette voie dénommée par délibération du Conseil municipal de Rennes du 13 Avril 1953, porte le nom d'un résistant, Jean-Claude Camors, retrouvé mort à Rennes en 1943.
Jean-Claude Camors
Chef du réseau Bordeaux-Loupiac
(27 octobre 1919, Pau – 11 octobre 1943, Rennes)
Jean-Claude Camors est né à Pau dans une famille de militaires.
Durant la seconde guerre mondiale, il est le fondateur et chef national du réseau "Bordeaux-Loupiac", chargé de retrouver des aviateurs et parachutistes tombés sur le sol français.
Le 11 octobre 1943, il est à Rennes au café de l'Époque, pour rencontrer des membres de son réseau. Entre un ancien résistant, travaillant alors pour la Gestapo. Il reconnaît Jean-Claude Camors, avec qui il a travaillé.
S'ensuit une bagarre suivie d'une fusillade. Jean-Claude Camors est touché, mais réussit à s'enfuir et à mettre à l'abri ceux qui étaient avec lui.
Jean-Claude Camors est retrouvé mort le lendemain matin sur un palier du 3, rue Maréchal Joffre. Il avait 24 ans. Lien externe sur Memoiredeguerre[1]