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Le docteur est fait chevalier de la Légion d'Honneur en même temps que le directeur du musée archéologique [[rue Paul Banéat|Paul Banéat]], par décret du 23 février 1921, quelques jours après son décès<ref>Selon la base Léonore</ref>. | Le docteur reçoit en 1919 la médaille française d'honneur créée par décret du 13 juillet 1917 et décernée à titre civil pour témoigner notamment de la reconnaissance du gouvernement envers ceux qui, sans obligation légale ni militaire, étaient venus aider les blessés, les invalides, les réfugiés. Il est fait chevalier de la Légion d'Honneur en même temps que le directeur du musée archéologique [[rue Paul Banéat|Paul Banéat]], par décret du 23 février 1921, quelques jours après son décès<ref>Selon la base Léonore</ref>. | ||
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La rue Docteur Ferrand se situe dans le quartier 7 : Francisco Ferrer - Landry - Poterie entre la rue Adolphe Leray à l'ouest et la rue Francisco Ferrer à l'est. Cette voie fut dénommée par délibération du conseil municipal de la Ville de Rennes le 11 décembre 1931[1].
Docteur Alfred Ferrand
chirurgien
(3 juillet 1848, Saint-Malo - 12 février 1921, Rennes)
Domicilié au 10 avenue du Gué-de-Baud à Rennes (aujourd'hui avenue Sergent Maginot), Alfred Ferrand est docteur en médecine depuis le 14 juillet 1873. Il est chirurgien-chef de la clinique Saint-Yves où il travailla pendant 23 ans. Transformée temporairement en hôpital auxiliaire durant la première guerre mondiale (Hôpital militaire complémentaire n°2) cette dernière vit le docteur participer aux soins de plus de 4000 blessés[2]. La rue Adolphe Leray, sur laquelle débouche la rue Docteur Ferrand à l'ouest au niveau du n°99, est d'ailleurs aussi celle sur laquelle est adressée la clinique, au n°4. [3]
Chirurgien-chef du dispensaire de la Société française de secours aux blessés militaires (S.S.B.M.) depuis 1903 à Rennes, il enseigna à plusieurs centaines d'infirmières.
Le docteur reçoit en 1919 la médaille française d'honneur créée par décret du 13 juillet 1917 et décernée à titre civil pour témoigner notamment de la reconnaissance du gouvernement envers ceux qui, sans obligation légale ni militaire, étaient venus aider les blessés, les invalides, les réfugiés. Il est fait chevalier de la Légion d'Honneur en même temps que le directeur du musée archéologique Paul Banéat, par décret du 23 février 1921, quelques jours après son décès[4].
Sur la carte
Note et références
- ↑ Délibérations municipales, Archives de Rennes
- ↑ https://www.augustines-misericorde.fr/fr/france/monastere-saint-yves
- ↑ Guerre de 1914. Hôpitaux militaires temporaires
- ↑ Selon la base Léonore
