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« Octrois de Rennes » : différence entre les versions
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Comme toutes les villes, [[Rennes]] possédait des octrois, aussi appelés barrières puisqu'il fallait les franchir en acquittant un droit si on voulait rentrer dans la ville avec des marchandises. | Comme toutes les villes, [[Rennes]] possédait des octrois, aussi appelés barrières puisqu'il fallait les franchir en acquittant un droit si on voulait rentrer dans la ville avec des marchandises. Des employés veillaient à l'exact versement de cet impôt, à proximité de ce qui était appelé ''bureau d'octrois'' ou ''maison d'octrois''. Leur nombre a varié et leur implantation a évolué avec la croissance de la ville. | ||
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Version du 24 novembre 2017 à 21:56
Comme toutes les villes, Rennes possédait des octrois, aussi appelés barrières puisqu'il fallait les franchir en acquittant un droit si on voulait rentrer dans la ville avec des marchandises. Des employés veillaient à l'exact versement de cet impôt, à proximité de ce qui était appelé bureau d'octrois ou maison d'octrois. Leur nombre a varié et leur implantation a évolué avec la croissance de la ville.
1718
En 1718, le présidial de Rennes est chargé de la Prise de possessions des cohues ou boucheries et halle à bled ou nonnerie de cette ville et des droits de lignage...[1]. Cette espèce d'état des lieux, du 12 septembre, commençant par les halles, se termine par le tour des octrois, sachant que François Ruée, et Magdelaine Trochu, sa femme[2], sont les fermiers généraux des droits de lignages de la ville : Ils ont fait des sous-fermes pour les huit barriere et passages : barrière de la rue Hue ; barrière Saint Just ; barrière Saint Laurent ; barrière Saint Martin ; barriere du faubourg Levesque ; pompe et passage de Chicoignée ; barrière de la Magdelaine ; barrière de Saint Hellier.
1782
En 1782, les registres d'octrois eux-mêmes ne font plus état que de cinq barrières. Voir passages de mules à Rennes.