« Louis Coquillet » : différence entre les versions
(Page créée avec « '''Louis Coquillet''' [Saint-Méen-le-Grand, 6 mars 1921 - fusillé au Mont-Valérien, Suresnes (92), 17 avril 1942]. Résistant français, dès juin 1940, il organise la… ») |
m (catégorie) |
||
Ligne 8 : | Ligne 8 : | ||
Le 17 avril [[2010]], une plaque à la mémoire du jeune héros a été dévoilée dans la cour de la [[caserne Saint-Georges]]. (source : [[Ouest-France]], édition des 17 et 18 avril 2010. | Le 17 avril [[2010]], une plaque à la mémoire du jeune héros a été dévoilée dans la cour de la [[caserne Saint-Georges]]. (source : [[Ouest-France]], édition des 17 et 18 avril 2010. | ||
[[Catégorie:Seconde Guerre mondiale]] | |||
[[Catégorie:Personnalité (classement alphabétique)|C]] | |||
[[Catégorie:Personnalité (Histoire)|C]] |
Version du 20 avril 2010 à 10:45
Louis Coquillet [Saint-Méen-le-Grand, 6 mars 1921 - fusillé au Mont-Valérien, Suresnes (92), 17 avril 1942]. Résistant français, dès juin 1940, il organise la Jeunesse Communiste, et appelle à lutter contre l'occupant et le gouvernement de Vichy.
Surnommé "René", il prend une part active à la lutte clandestine. Comme son père, Louis Coquillet sera sapeur-pompier volontaire à Rennes, habitant avec sa famille au Palais Saint-Georges.
A Rennes, il parvint à s'échapper à un premier contrôle policier, en août 1941, mais sera finalement arrêté lors d'un second contrôle, à Paris, au tout début de janvier 1942. Incarcéré à la prison de la Santé, torturé puis jugé (procès de la Maison de la Chimie) et condamné à mort, Louis Coquillet sera fusillé avec 23 de ses compagnons, au Mont-Valérien, le 17 avril 1942.
En 1949, la municipalité de Rennes devait honorer sa mémoire en baptisant une "rue Louis Coquillet".
Le 17 avril 2010, une plaque à la mémoire du jeune héros a été dévoilée dans la cour de la caserne Saint-Georges. (source : Ouest-France, édition des 17 et 18 avril 2010.