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Charles-Hippolyte-Jean Géniaux suit son père militaire de garnison en garnison, et de retour d'Alger, il fonde à Rennes ''Bretagne-Revue'' et apparaît comme un original. Il quitte Rennes pour Paris en octobre 1898. Il publie ''La Cité de la Mort'', puis ''L'Homme de Peine'', ''Les Forces de la Vie'', ''Mes Voisins de campagne'', ''La Passion d'Armelle Louanais'', oeuvres inspirées par la Bretagne. ''La Bretagne vivante'' parut en 1912.<ref> ''Charles Géniaux'', revue "Bretagne" | Charles-Hippolyte-Jean Géniaux suit son père militaire de garnison en garnison, et de retour d'Alger, il fonde à Rennes une revue dont le cartouche représentait un gars chevauchant un bidet de Corlay et tenant un étendard sur lequel était inscrit en gros caractères le nom de la revue, ''Bretagne-Revue'' et apparaît comme un original. Il quitte Rennes pour Paris en octobre 1898. Il publie ''La Cité de la Mort'', puis ''L'Homme de Peine'', ''Les Forces de la Vie'', ''Mes Voisins de campagne'', ''La Passion d'Armelle Louanais'', oeuvres inspirées par la Bretagne. ''La Bretagne vivante'' parut en 1912.<ref> ''Charles Géniaux'', revue "Bretagne" - mai 1937</ref> | ||
Il a aussi été inspiré par le Maghreb, évoquant l'Algérie et notamment la Kabylie (''Sous les figuiers de Kabylie''), le Maroc (''Une sultane marocaine''), la Tunisie (''Le Choc des races''), ''Les Musulmanes''. Il a été une voix discordante sur les questions coloniales et a notamment entretenu des liens durables avec les mouvements nationalistes tunisiens. Il fut le troisième lauréat du Grand prix du roman de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre. | Il a aussi été inspiré par le Maghreb, évoquant l'Algérie et notamment la Kabylie (''Sous les figuiers de Kabylie''), le Maroc (''Une sultane marocaine''), la Tunisie (''Le Choc des races''), ''Les Musulmanes''. Il a été une voix discordante sur les questions coloniales et a notamment entretenu des liens durables avec les mouvements nationalistes tunisiens. Il fut le troisième lauréat du Grand prix du roman de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre. |
Version du 5 juin 2013 à 10:45
La rue Charles Géniaux est une voie nord-sud reliant la rue Maurice Le Lannou, dans la zone Rennes Atalante Champeaux en franchissant la voie ferrée Rennes-Brest, et la rue de Lorient. Se trouve en sa partie est un complexe sportif éponyme.
Sa dénomination est à la mémoire du Rennais :
Charles Géniaux
(12 novembre 1870, Rennes - 19 mars 1931, Cagnes)
Charles-Hippolyte-Jean Géniaux suit son père militaire de garnison en garnison, et de retour d'Alger, il fonde à Rennes une revue dont le cartouche représentait un gars chevauchant un bidet de Corlay et tenant un étendard sur lequel était inscrit en gros caractères le nom de la revue, Bretagne-Revue et apparaît comme un original. Il quitte Rennes pour Paris en octobre 1898. Il publie La Cité de la Mort, puis L'Homme de Peine, Les Forces de la Vie, Mes Voisins de campagne, La Passion d'Armelle Louanais, oeuvres inspirées par la Bretagne. La Bretagne vivante parut en 1912.[1]
Il a aussi été inspiré par le Maghreb, évoquant l'Algérie et notamment la Kabylie (Sous les figuiers de Kabylie), le Maroc (Une sultane marocaine), la Tunisie (Le Choc des races), Les Musulmanes. Il a été une voix discordante sur les questions coloniales et a notamment entretenu des liens durables avec les mouvements nationalistes tunisiens. Il fut le troisième lauréat du Grand prix du roman de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre.
Références
- ↑ Charles Géniaux, revue "Bretagne" - mai 1937