« La Bellangerais : les colonies de vacances » : différence entre les versions
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Dans les années 80, la professionnalisation de l'encadrement en était à ses débuts, les obligations en terme de normes de sécurité et d'hygiène étaient toutes relatives, les bénévoles prenaient alors part à l'organisation pour des colonies qui se transformaient en véritables épopées. | Dans les années 80, la professionnalisation de l'encadrement en était à ses débuts, les obligations en terme de normes de sécurité et d'hygiène étaient toutes relatives, les bénévoles prenaient alors part à l'organisation pour des colonies qui se transformaient en véritables épopées. | ||
Un été, ils partirent vers {{w|Penmarch}} avec "40 gamins", planter leurs tentes dans ce qui n'était encore qu'un champ. A leur arrivée, le terrain était impraticable, l'agriculteur du coin leur avait prêté une faux pour couper l'herbe haute. Pas très agile les rennais avançaient difficilement dans leur ouvrage. L'agriculteur, non sans avoir pris le temps de s'amuser de la situation, les aida finalement à nettoyer le pré. | |||
Le camp improvisé ne disposait que d'une seule douche, la solution du tuyau d'arrosage avait été choisie pour permettre aux enfants de faire leur toilette au retour de la plage. Des baignoires de bébé avaient été achetées pour faire office d'éviers pour la vaisselle. | Le camp improvisé ne disposait que d'une seule douche, la solution du tuyau d'arrosage avait été choisie pour permettre aux enfants de faire leur toilette au retour de la plage. Des baignoires de bébé avaient été achetées pour faire office d'éviers pour la vaisselle. |
Version actuelle datée du 30 janvier 2013 à 08:34
Les colonies de vacances tiennent une place importante dans l'histoire de la Maison de quartier La Bellangerais.[1]
Dans les années 80, la professionnalisation de l'encadrement en était à ses débuts, les obligations en terme de normes de sécurité et d'hygiène étaient toutes relatives, les bénévoles prenaient alors part à l'organisation pour des colonies qui se transformaient en véritables épopées.
Un été, ils partirent vers Penmarch avec "40 gamins", planter leurs tentes dans ce qui n'était encore qu'un champ. A leur arrivée, le terrain était impraticable, l'agriculteur du coin leur avait prêté une faux pour couper l'herbe haute. Pas très agile les rennais avançaient difficilement dans leur ouvrage. L'agriculteur, non sans avoir pris le temps de s'amuser de la situation, les aida finalement à nettoyer le pré.
Le camp improvisé ne disposait que d'une seule douche, la solution du tuyau d'arrosage avait été choisie pour permettre aux enfants de faire leur toilette au retour de la plage. Des baignoires de bébé avaient été achetées pour faire office d'éviers pour la vaisselle.
Des camps de vacances de la débrouille dont les acteurs gardent de bons souvenirs.
Notes et références
- ↑ Source : atelier mémoire, Maison de quartier La Bellangerais, jeudi 23 mars 2012